Le 6 août 2011, jour de sa mort, Roman Opalka acheva l'oeuvre de sa vie : "le fini défini par le non fini". Peintre français d'origine polonaise, Opalka décida en 1965 d'écrire sur des toiles tous les nombres en ordre croissant de 1 à l'infini sans s'arrêter jusqu'à sa mort. Il réussit à inscrire plus de 5 millions de nombres, dans le but de définir le temps qui nous échappe, un temps insaisissable, irréversible.
Il réalisa en 46 ans 231 tableaux "Détails" et le dernier nombre qu'il a écrit est 5 569 249.
Tous les commentaires (168)
Le mec a du se faire chier a un point pas imaginable!!
www.laboiteverte.fr/roman-opalka-compte-jusqua-linfini/
Ensuite "comparé" ,même si le mots est mal choisit, quelqu'un a un autiste comme tu l'as fait car tu ne comprend pas l'intérêt de son travaille est immoral. Une maladie ne peut être utiliser comme insulte.
Si un modérateur pourrais donc supprimer son commentaire (et le mien si vous voulez car il n'aurais plus d'utilité)je pense que sa ne serai pas plus mal.
"Comme les gens devaient se faire vachement chier en 2015 pour passer leur temps sur leur Iphone, à se muscler les pouces!" Et pourtant ce Monsieur a laissé une grande oeuvre derrière lui...pourrez-vous en faire autant avec votre téléphone intelligent? P.S. Je ne suis aucunement contre la technologie mais au moins cet homme a débuté un projet auquel il a travaillé jusqu'à sa mort. Je ne connais personne de ma génération (et encore moins dans les suivantes) à avoir fait preuve d'autant de tenacité, de rigueur et de patience pour mener à bien une "mission" de cet envergure. C'est ce qui mérite respect selon moi. Et de plus, je trouve que ces peintures ont un certain style que j'aime bien! Sans rancune...
46 ans foutu en l'air juste pour nous expliquer qui faut pas passer à côté de la vie ?!
De quoi vivait-il? Est ce qu'il dépensait sans compter ?
A savoir aussi: à chaque fois qu'il devait changer de tableau, il ajoutait un pourcentage de blanc de le fond croissant, ainsi on voit de moins en moins bien les nombre au fil du temps, la fin étant quasiment blanc sur blanc.
Un très léger pête au casque...
Il me semble également que plus les années se succédaient , plus la couleur des nombres était clair, dans ses derniers tableaux on distingue d'ailleurs difficilement les nombres du fond tant le contraste est faible..souvenir de mes cours d'art..
Une œuvre inutile d'un homme qui voulait satisfaire son égo en s'assurant de faire parler de lui après sa mort.
Au final, il aurait pris une toile et peint le symbole "infini" (le 8 à l'horizontale), ça aurait été + rapide et efficace.
Je ne m'attendais pas du tout à découvrir un tableau aussi beau avec juste des chiffres !
Il est intéressant (attristant ?) de noter à quel point le contenu de beaucoup de commentaires montrent que, malgré les siècles ayant passé, Philippe Destouches reste d'actualité : "la critique est aisée, mais l'art est difficile."
C'est ... surprenant ! Il y a de la poésie là-dedans! "Le fini défini par le non fini", c'est joli, non ?