Ladmdi a écrit : Le féminisme n'est pas un défaut en lui même. Il le devient à partir du moment où il justifie toutes sortes d'outrances vis-à-vis de l'autre sexe. En l'occurrence, la phrase de Fancat qui se sent insultée est très claire. Il faudrait être curieusement constitué(e) pour considérer l'expression "le/la dénommée" comme une insulte. Afficher tout Je dois être curieusement constituée alors, car c’est mon cas. N’oubliez pas que nous sommes tous uniques, avec un vécu, un parcours différent, et qu’une tournure de phrase qui vous semble banale peut outrer quelqu’un d’autre sans que vous ne compreniez où est le problème.

zryip a écrit : Je dois être curieusement constituée alors, car c’est mon cas. N’oubliez pas que nous sommes tous uniques, avec un vécu, un parcours différent, et qu’une tournure de phrase qui vous semble banale peut outrer quelqu’un d’autre sans que vous ne compreniez où est le problème. J'ai appris une nouvelle insulte aujourd'hui: "espèce de dénommé!" JMCMB.

Ladmdi a écrit : J'ai appris une nouvelle insulte aujourd'hui: "espèce de dénommé!" JMCMB. L’expression « le/la dénommé(e) » est souvent utilisé dans le langage juridique pour désigner un coupable ou un accusé. Il y a donc pour certaines personnes une connotation péjorative. Je dis bien « pour certaines personnes ». Je n’ai écrit nulle part que c’était une insulte, c’est juste une appréciation personnelle. Vous n’êtes pas d’accord, très bien. Il n’empêche que pour certains, l’expression n’est pas neutre. On n’est pas obligés d’être d’accord, mais il faudrait juste admettre sans mauvaise foi que tout le monde n’a pas votre point de vue.
La discussion s’arrête là pour moi, d’autant plus que ça n’a rien à voir avec l’anecdote.