On doit le bracelet électronique à Spiderman

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Le bracelet électronique utilisé pour contrôler les déplacements des délinquants doit son invention au comic Spiderman de Stan Lee. C'est en lisant un épisode dans lequel Spiderman se voit équipé d'un bracelet de localisation que le juge Jack Love décida de l'utiliser dans la surveillance des prisonniers américains. L'idée lui rapporta d'ailleurs un beau pactole, puisqu'il fonda une société qui les commercialise.


Commentaires préférés (3)

Je n'ai pas lu les source mais ... comment sont gérés les conflits d'intérêts dans ce cas? Ce juge à tout intérêt à 1/ condamner les accusés 2/ à une peine avec bracelet ....

"Je vous condamne à 1 an de prison avec aménagement de peine pour purger votre peine à domicile.

Pour votre sécurité, nous vous condamnons à porter des bracelets aux chevilles et aux poignets. Oui oui, 4 bracelets, c'est le prix à payer pour la sécurité de la société (oui c'est cher, et la société c'est la mienne hinhinhin...).

Voulez vous l’abonnement bracelet basique/normal ou premium? La premium peut-être customisée à votre couleur, ou avec une photo de votre choix, les bracelets sont molletonnée et permettent les massages (pour un coût additionnel)"

a écrit : Je n'ai pas lu les source mais ... comment sont gérés les conflits d'intérêts dans ce cas? Ce juge à tout intérêt à 1/ condamner les accusés 2/ à une peine avec bracelet ....

"Je vous condamne à 1 an de prison avec aménagement de peine pour purger votre peine à domicile.

Pour vo
tre sécurité, nous vous condamnons à porter des bracelets aux chevilles et aux poignets. Oui oui, 4 bracelets, c'est le prix à payer pour la sécurité de la société (oui c'est cher, et la société c'est la mienne hinhinhin...).

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Tu as mis le doigts sur un problèmes très présent aux états unis, le système carcéral est très capitaliste. la majorité des prisons sont gérée par des sociétés privé dont les juges y ont plus ou moins directement des intérêt financier.

Il y a eu déjà plusieurs scandale de juges infligeant des peines de prison parfois très lourde pour gonfler les chiffres de ces prisons et que les société aie un bilan positif (plus de prisonniers, plus d'aide de l'État).

Et ces prisons s'assurent aussi que les phase de réinsertion soit le plus inexistant possible, les USA sont l'un des pays avec le plus haut taux de récidive à la sortie de prison.

a écrit : C'est vrai que c'est plus facile d'inventer sa propre histoire quand on ne lit pas les sources. Pour être bien certain de pouvoir inventer moi aussi une histoire fantasmée, je n'ai pas lu les sources et je n'ai pas lu ce commentaire non plus ! Et en effet ça n'empêche pas de commenter et de répondre quand on n'a pas lu. Afficher tout Oui tu as raison, pour bien faire j'aurais du lire les sources avant de commenter, d'habitude je le fais, mea culpa.

Bon là, j'étais à peu près sûr qu'il n'y aurait rien sur le conflit d'intérêt dans les sources (quand je vois boingboing.net comme source, ça me fait rêver/fantasmer ;)), et effectivement maintenant que je les ai lu, je le confirme. Toujours est-il que j'attends ton histoire fantasmée avec impatience (si tu lis ce commentaire ;)).


Tous les commentaires (33)

Je n'ai pas lu les source mais ... comment sont gérés les conflits d'intérêts dans ce cas? Ce juge à tout intérêt à 1/ condamner les accusés 2/ à une peine avec bracelet ....

"Je vous condamne à 1 an de prison avec aménagement de peine pour purger votre peine à domicile.

Pour votre sécurité, nous vous condamnons à porter des bracelets aux chevilles et aux poignets. Oui oui, 4 bracelets, c'est le prix à payer pour la sécurité de la société (oui c'est cher, et la société c'est la mienne hinhinhin...).

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Je me posais la même question… en effet comment est géré cela ?

a écrit : Je me posais la même question… en effet comment est géré cela ? L'éthique US n'est pas la même que chez nous

a écrit : L'éthique US n'est pas la même que chez nous Au pluriel ça donne : Les tiques US ne sont pas les mêmes que chez nous ^^

Je me sens d'humeur taquine aujourd'hui ;)

Je crois comprendre qu'après quelques essais et l'arrêt de ces condamnations décidé par la court suprême du Nouveau Mexique (pour avoir signé un contrat avec son associé, l'ingénieur, sans avoir consulté les autres juges du comté), il a fait un peu de lobbying pour promouvoir son idée (les condamnations par d'autres juges ne sont pas un conflit d'intérêt).
la 1ère mise sur le marché eu lieu en 1983. De 1983 à 1988, une douzaine d'entreprises différentes ont fabriqué des bracelets, améliorant d'elles-même l'électronique.

J'adore le nom du juge, Jack Love. On le croirait directement sorti du Comics ^^

a écrit : Je n'ai pas lu les source mais ... comment sont gérés les conflits d'intérêts dans ce cas? Ce juge à tout intérêt à 1/ condamner les accusés 2/ à une peine avec bracelet ....

"Je vous condamne à 1 an de prison avec aménagement de peine pour purger votre peine à domicile.

Pour vo
tre sécurité, nous vous condamnons à porter des bracelets aux chevilles et aux poignets. Oui oui, 4 bracelets, c'est le prix à payer pour la sécurité de la société (oui c'est cher, et la société c'est la mienne hinhinhin...).

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Tu as mis le doigts sur un problèmes très présent aux états unis, le système carcéral est très capitaliste. la majorité des prisons sont gérée par des sociétés privé dont les juges y ont plus ou moins directement des intérêt financier.

Il y a eu déjà plusieurs scandale de juges infligeant des peines de prison parfois très lourde pour gonfler les chiffres de ces prisons et que les société aie un bilan positif (plus de prisonniers, plus d'aide de l'État).

Et ces prisons s'assurent aussi que les phase de réinsertion soit le plus inexistant possible, les USA sont l'un des pays avec le plus haut taux de récidive à la sortie de prison.

a écrit : Je n'ai pas lu les source mais ... comment sont gérés les conflits d'intérêts dans ce cas? Ce juge à tout intérêt à 1/ condamner les accusés 2/ à une peine avec bracelet ....

"Je vous condamne à 1 an de prison avec aménagement de peine pour purger votre peine à domicile.

Pour vo
tre sécurité, nous vous condamnons à porter des bracelets aux chevilles et aux poignets. Oui oui, 4 bracelets, c'est le prix à payer pour la sécurité de la société (oui c'est cher, et la société c'est la mienne hinhinhin...).

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C'est vrai que c'est plus facile d'inventer sa propre histoire quand on ne lit pas les sources. Pour être bien certain de pouvoir inventer moi aussi une histoire fantasmée, je n'ai pas lu les sources et je n'ai pas lu ce commentaire non plus ! Et en effet ça n'empêche pas de commenter et de répondre quand on n'a pas lu.

a écrit : Tu as mis le doigts sur un problèmes très présent aux états unis, le système carcéral est très capitaliste. la majorité des prisons sont gérée par des sociétés privé dont les juges y ont plus ou moins directement des intérêt financier.

Il y a eu déjà plusieurs scandale de juges infligeant des peines de p
rison parfois très lourde pour gonfler les chiffres de ces prisons et que les société aie un bilan positif (plus de prisonniers, plus d'aide de l'État).

Et ces prisons s'assurent aussi que les phase de réinsertion soit le plus inexistant possible, les USA sont l'un des pays avec le plus haut taux de récidive à la sortie de prison.
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Il faut regarder Orange is the New Black, très bonne série qui parle de ce milieu carcéral très étrange aux USA.

a écrit : C'est vrai que c'est plus facile d'inventer sa propre histoire quand on ne lit pas les sources. Pour être bien certain de pouvoir inventer moi aussi une histoire fantasmée, je n'ai pas lu les sources et je n'ai pas lu ce commentaire non plus ! Et en effet ça n'empêche pas de commenter et de répondre quand on n'a pas lu. Afficher tout Oui tu as raison, pour bien faire j'aurais du lire les sources avant de commenter, d'habitude je le fais, mea culpa.

Bon là, j'étais à peu près sûr qu'il n'y aurait rien sur le conflit d'intérêt dans les sources (quand je vois boingboing.net comme source, ça me fait rêver/fantasmer ;)), et effectivement maintenant que je les ai lu, je le confirme. Toujours est-il que j'attends ton histoire fantasmée avec impatience (si tu lis ce commentaire ;)).

a écrit : Il faut regarder Orange is the New Black, très bonne série qui parle de ce milieu carcéral très étrange aux USA. A l'image de orange is a new black , prison break aussi est une formidable série pour se rendre compte de ce que peut être l'univers carcéral aux Etats Unis.

a écrit : Tu as mis le doigts sur un problèmes très présent aux états unis, le système carcéral est très capitaliste. la majorité des prisons sont gérée par des sociétés privé dont les juges y ont plus ou moins directement des intérêt financier.

Il y a eu déjà plusieurs scandale de juges infligeant des peines de p
rison parfois très lourde pour gonfler les chiffres de ces prisons et que les société aie un bilan positif (plus de prisonniers, plus d'aide de l'État).

Et ces prisons s'assurent aussi que les phase de réinsertion soit le plus inexistant possible, les USA sont l'un des pays avec le plus haut taux de récidive à la sortie de prison.
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Business is business allez allez qui ne ferait pas pareil, si il avait investi dans des sociétés gérant des prisons.

Et puis après tout ce sont des délinquants, un peu de plus un peu de moins, mieux vaut qu'ils soient surveillés que dehors à voler violer ?

D'ailleurs pour que mon pénitencier soit au complet, je vais faire du lobbying de toute sorte dès le plus jeune âge que je puisse toujours avoir de la clientèle.

a écrit : Je n'ai pas lu les source mais ... comment sont gérés les conflits d'intérêts dans ce cas? Ce juge à tout intérêt à 1/ condamner les accusés 2/ à une peine avec bracelet ....

"Je vous condamne à 1 an de prison avec aménagement de peine pour purger votre peine à domicile.

Pour vo
tre sécurité, nous vous condamnons à porter des bracelets aux chevilles et aux poignets. Oui oui, 4 bracelets, c'est le prix à payer pour la sécurité de la société (oui c'est cher, et la société c'est la mienne hinhinhin...).

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Obliger les citoyens à « consommer » un produit vendu par les copains. Principe ancien donc !

a écrit : A l'image de orange is a new black , prison break aussi est une formidable série pour se rendre compte de ce que peut être l'univers carcéral aux Etats Unis. Il y a tout de même bien mieux que des séries américaines pour se rendre compte de l'univers carcéral. Pas mal d'éléments des deux séries sont totalement faux.

a écrit : Oui tu as raison, pour bien faire j'aurais du lire les sources avant de commenter, d'habitude je le fais, mea culpa.

Bon là, j'étais à peu près sûr qu'il n'y aurait rien sur le conflit d'intérêt dans les sources (quand je vois boingboing.net comme source, ça me fait rêver/fa
ntasmer ;)), et effectivement maintenant que je les ai lu, je le confirme. Toujours est-il que j'attends ton histoire fantasmée avec impatience (si tu lis ce commentaire ;)). Afficher tout
Si tu n'as rien vu sur le conflit d'intérêts c'est que tu as mal lu : j'ai lu rapidement la première source et il est bien question du fait qu'il a été épinglé pour ne pas avoir respecté les règles fédérales sur la passation de marchés publics (appel d'offres, etc.). Comme quoi il y a bien des garde-fous pour éviter qu'un fonctionnaire puisse se passer ses propres commandes.

Puisque tu veux connaitre mon histoire fantasmée la voici : le juge Love ayant trouvé cette idée dans ce magazine avait voulu qu'elle devienne une alternative à la prison, mais il était bloqué par les lenteurs, voire l'immobilisme de l'institution, ce qui était compréhensible car personne dans l'institution n'avait intérêt à ce qu'il y ait moins de prisonniers, c'était un business juteux et bien rodé qui faisait du lobbying et corrompait les juges pour s'assurer qu'ils leur envoient un maximum de prisonniers et que la taille des prisons continue à augmenter. Le juge Love croyait à son idée alors plutôt que passer par la voie hiérarchique et respecter les procédures, il a contourné les obstacles en contactant lui-même un ingénieur capable de développer un dispositif correspond à ce qu'il a imaginé, puis il l'a essayé sur lui-même, puis il l'a imposé à des coupables qu'il avait jugés. Pendant ce temps le lobby des prisons, avec ses juges corrompus en tête, a bien essayé de le bloquer et ils ont fini par avoir sa peau en le faisant condamner pour ne pas avoir respecté les procédures en matière d'appels d'offre, mais c'était trop tard : il avait fait connaitre ce système de bracelets et démontré son l'intérêt, le système était lancé, et on ne pouvait plus l'arrêter. Finalement le juge Love n'y a trouvé aucun intérêt financier, ni l'ingénieur qui a développé ce système, qui a fait faillite assez rapidement. On peut donc retenir leur nom pour avoir apporté une solution à la surpopulation carcérale et pas pour s'être enrichis eux-même sur le dos des prisonniers.

Voilà pour mon histoire. Oups, elle n'est pas tellement fantasmée en fait, je suis plutôt du genre à lire les sources avant de raconter une histoire.

a écrit : Si tu n'as rien vu sur le conflit d'intérêts c'est que tu as mal lu : j'ai lu rapidement la première source et il est bien question du fait qu'il a été épinglé pour ne pas avoir respecté les règles fédérales sur la passation de marchés publics (appel d'offres, etc.). Comme quoi il y a bien des garde-fous pour éviter qu'un fonctionnaire puisse se passer ses propres commandes.

Puisque tu veux connaitre mon histoire fantasmée la voici : le juge Love ayant trouvé cette idée dans ce magazine avait voulu qu'elle devienne une alternative à la prison, mais il était bloqué par les lenteurs, voire l'immobilisme de l'institution, ce qui était compréhensible car personne dans l'institution n'avait intérêt à ce qu'il y ait moins de prisonniers, c'était un business juteux et bien rodé qui faisait du lobbying et corrompait les juges pour s'assurer qu'ils leur envoient un maximum de prisonniers et que la taille des prisons continue à augmenter. Le juge Love croyait à son idée alors plutôt que passer par la voie hiérarchique et respecter les procédures, il a contourné les obstacles en contactant lui-même un ingénieur capable de développer un dispositif correspond à ce qu'il a imaginé, puis il l'a essayé sur lui-même, puis il l'a imposé à des coupables qu'il avait jugés. Pendant ce temps le lobby des prisons, avec ses juges corrompus en tête, a bien essayé de le bloquer et ils ont fini par avoir sa peau en le faisant condamner pour ne pas avoir respecté les procédures en matière d'appels d'offre, mais c'était trop tard : il avait fait connaitre ce système de bracelets et démontré son l'intérêt, le système était lancé, et on ne pouvait plus l'arrêter. Finalement le juge Love n'y a trouvé aucun intérêt financier, ni l'ingénieur qui a développé ce système, qui a fait faillite assez rapidement. On peut donc retenir leur nom pour avoir apporté une solution à la surpopulation carcérale et pas pour s'être enrichis eux-même sur le dos des prisonniers.

Voilà pour mon histoire. Oups, elle n'est pas tellement fantasmée en fait, je suis plutôt du genre à lire les sources avant de raconter une histoire.
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Voilà ce que dit cette source:
"En fin de compte, la Cour suprême du Nouveau-Mexique a interrompu le programme pilote du juge Love après que seulement trois personnes aient reçu des moniteurs de cheville, non pas parce qu'il était jugé trop intrusif et dystopique. C'était parce que le juge Love avait signé un contrat avec Goss pour les unités sans consulter les autres juges du 2e district judiciaire du comté de Bernalillo. Les autres juges ont soutenu que le contrat de Love avec Goss avait violé la loi sur les achats publics de l'État, et la Cour suprême de l'État a accepté. "

La source ne précise pas qu'il s'agit d'un conflit d'intérêt (en tout cas pas directement), tu interprètes/fantasmes, tu vois c'est sympa aussi parfois ;)

a écrit : Je vous laisse deviner quelle invention à été créé en s'inspirant de ce dessin animé ?
youtu.be/WD6pOn-D-VQ
Le sandwich à la soupe ? (c'est écrit sur la devanture : essayez notre sandwich à la soupe)

a écrit : Le sandwich à la soupe ? (c'est écrit sur la devanture : essayez notre sandwich à la soupe) Pourquoi pas, ça aurait pu ;) mais ce n'est pas une invention culinaire