Finnegans Wake, de l’auteur irlandais James Joyce, est sûrement l’un des ouvrages les plus difficiles à lire. Publié en 1939 au terme d’un travail de rédaction de 17 ans, ce livre, qui mêle plusieurs langues, constitue un cycle : la première phrase est en fait la fin de la dernière, ou inversement.
Selon Joyce, le lecteur idéal de cet ouvrage serait celui qui, insomniaque, le terminerait dans la nuit avant de le recommencer dans un cycle éternel.
Sa traduction française, réalisée par Philippe Lavergne, prit une vingtaine d’années.
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et avant qu'on me dise qu' "on de dit pas, c'est chiant, on dit, je n'aime pas" si on s'est fait chier, c'est que c'est chiant, pas pour tout le monde, j'en conviens. ^^
Bon je plaisante hein, chacun cherche ce qu'il veut à lire, je dirais que, si à la moitié, c'est trop, c'est le moment où on comprend qu'on en peut plus, qu'on s'en fout comme de son premier slip de connaitre la fin, c'est qu'on est déjà un lecteur vaillant! ;)
Lorsque je reviens sur le paragraphe en question, je découvre parfois littéralement le texte pour la 1ère fois. C'est dire à quel point je pars loin... ^^
Autrement c'est dur de rester plus de 30 min d'affilée pour moi aussi... Génération écrans ? ^^