Les Jeux olympiques féminins existaient en Antiquité. Ils s'appelaient les Jeux Héréens, avaient lieu tous les 4ans peu après les Jeux olympiques, et ne comportaient qu'une seule épreuve : la course, en trois catégories (les plus jeunes, les plus vieilles et une catégorie intermédiaire). Le stade olympique était raccourci d'un sixième pour l'occasion.
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Génétique? C'est écrit dans les tables de l'évolution où c'est juste hormonal? Et les hormones c'est quoi si ce n'est des molécules qui forcent à exprimer certains gènes qui existent déjà en nous?
Je n'ai jamais dit que les différences n'existaient pas, j'ai juste dit que t'as pris l'exemple le plus foireux avec le rugby pour tenter de me prouver que j'ai tord, et quand aux cotations sur la varappe, les femmes sont moins rapides que les hommes mais plus agiles, donc plus rapides sur les parois difficiles.
Mais par contre, t'as pas pris l'escrime... c'était un piège et t'est tombé dedans. ;)
Bon j'arrête là parce que visiblement j'avais raison à la base sur un point essentiel: ce sont les codes et les idées reçues qui dominent encore visiblement la réalité des choses sur ce sujet, et donc cette discussion n'a aucun sens.
Allez un peu de lecture
www.science-et-vie.com/questions-reponses/d-ou-viennent-les-differences-entre-les-hommes-et-les-femmes-10466
Et nous sommes nombreuses 450
Ca nous vient jamais a l'esprit ses clichés sur les hommes , d'ailleurs on en parle pas souvent, pour pas dire, jamais, je sais pas ou vous etes ! Mais venez travaillė avec nous !!!!!
Et à ton avis qui contrôle les variations de quantité et de production des différentes hormones dans le corps humain à part la dissemblance génétique homme/femme ?
Je n’ai pas pris l’escrime car je n’y connais rien et que je n’ai jamais assisté à un tournoi mixte ou les hommes ou les femmes seraient plus fort tout simplement.
Bref continuez de croire que la société ira mieux en prônant l’égalité à tout prix au lieu de l’équité. Continuez de nier des différences génétiques, physiologiques, physique et chimiques au profit de je ne sais quelle « liberté de pensée » qui se révélera à terme liberticide. Continuez de prôner la discrimination positive qui ne fait que déplacer la discrimination sur la majorité et la stigmatisation sur les minorités. Continuez donc de gommer toutes les différences pour arriver à une société aseptisée, agenrée et bien mal arrangée.
Elles ne font pas du bruit pour le plaisir de faire du bruit, hein. Au final, cet exemple reflète bien le problème en le niant.
En attendant, quand faut déplacer l’armoire ou porter les valises, c’est moi qui le fait et je n’y vois aucun problème. Elle est plus doué que moi pour la paperasse administrative par exemple et je n’y vois pas de problème. Je le répète : Vouloir que tout le monde fasse la même chose en étant différent est stupide.
Vous êtes les mêmes qui me sortait le proverbe du singe et du poisson à qui on demande de monter à l’arbre. C’est la même chose avec les humains, les hommes et les femmes. Accepter la différence c’est en tirer le meilleur. Ça fait longtemps que la Nature l’a compris mais pas les ultra féministes.
Maintenant pour répondre à Leolio84 et nicomputer, je tiens à dire que je travaille également dans un milieu majoritairement occupé par les femmes (dois-je me plaindre d'oppression, d'inégalité et de stéréotype ?). Mon IMC est assez proche de la vôtre, ce qui ne m'empêche pas d'être musclé.
Que l'on me comprenne bien : ce que je combats, ce sont les « adulescents », des individus qui sont restés bloqués à un stade imparfait d'évolution, aussi bien sur le plan physique que mental. Non mesdames et messieurs, la Nature/Dieu ne vous a pas conçu pour rester toute votre vie à vos 16 ans. Vous ne serez pas éternellement un éphèbe ou une nymphe. Le but de la vie c'est la transmission ; on hérite et on lègue. Si vous ne transmettez rien physiquement (descendance, construction) ou intellectuellement (valeurs, connaissances, créations, découvertes) alors votre vie est vaine. Le féminisme tel qu'on l'entend dans notre pays et à notre époque relève du caprice puéril. Même chose pour le racisme. Il n'y a plus de grand combat à mener donc on inverse la tendance en profitant d'être des « victimes » pour devenir des bourreaux. C'est toujours le cas des gens qui se présentent en victimes opprimées.
Je pense pouvoir affirmer que ma voix est — plus ou moins — celle de la majorité qui obéit encore au modèle traditionnel mais qui subit un matraquage idéologique, une prison mentale, qui les poussent à se culpabiliser d'être « la norme ».
À titre personnel mes idées sont bien plus conservatrices mais il me serait difficile de les exposer ici sans subir inévitablement les conséquences de ce matraquage de la pensée.
J'espère avoir été suffisamment clair. Cela nécessiterait de plus amples discussions et des heures de débats. Le sujet est cependant intéressant à aborder. Malheureusement cela aurait plus sa place dans le forum car nous sommes déjà hors-sujet concernant l'anecdote. Et puis il faut trouver le temps. Je pourrais également vous soumettre quelques références comme je l'ai déjà fait dans un précédent commentaire sur un autre sujet car certaines sources étant plus à même de convaincre.
Bonne journée à tous.
Bonjour nicomputer, je me permets de vous répondre en commençant par préciser que j'ai répondu à votre commentaire sans viser votre personne. Je ne m'attaque pas à vous mais à l'idée qui émane de votre commentaire. Cette idée, c'est le féminisme. C'est l'idée que le monde est binaire, opposant « gentils » et « méchants », « oppresseurs » et « opprimés », « Blancs » et « Noirs », « hommes » et « femmes ». Cette idée émane d'une fabrication de pensée qu'on appelle l’ingénierie sociale, à savoir inséminer du « prêt-à-penser » dans l'esprit des masses, par la technique du « mensonge répété dix mille fois » et en usant de l'esprit émotionnel et non rationnel, poussant l'individu à refuser la contradiction factuel et à qualifier de « x » (facho, nazi, -phobe, anti-, miso-, etc.) tout contradicteur pour mettre fin au débat avant même qu'il n'ait commencé.
Vous pouvez me rétorquer que je subis moi-même cette ingénierie. Je ne le nie nullement. La différence étant que mon modèle existe depuis des millénaires, il a évolué lentement avec les sociétés et leurs traditions. A contrario, nombres d'idéologies récentes — pour ne pas dire « dogmes » — sont montées de toutes pièces, s'appuyant sur des faits souvent tronqués et sur beaucoup d'idées reçues répétées de façon pavlovienne. Ces idées sont généralement soutenues par des individus très puissants des points de vue politique et financier, ce que devrait susciter une grande méfiance. Il faut être sot pour croire en la philanthropie désintéressée. Aussi, les « bien-pensants » sont en contradiction permanente mais leur fanatisme idéologique, leur dogme binaire et leur absence de profondeur intellectuelle les empêchent de constater que, par exemple, il y a de la contradiction à se définir « communisme » et « écologiste », « d'extrême gauche » et « mélenchoniste », « d'extrême droite » et « républicain », « anticapitaliste » et soutenir simultanément l'écologie, le véganisme, le féminisme, les LGBT, la laïcité, l'islam, les « minorités » et j'en oublie. À mesure que vous cherchez à comprendre les mécanismes d'évolution de ces idéologies, vous comprendrez qu'on vous prend vraiment pour des ânes, des moutons et des pigeons. Et malheureusement, cela semble exact puisque cela marche plutôt bien.
L'égalitarisme est un concept mortifère, je ne veux nullement vivre dans un monde d'« égaux », d'une part parce que c'est une idéologie totalitaire et qui consiste à juguler les meilleurs éléments pour obtenir une masse médiocre (au sens premier, « moyen »), d'autre part parce que c'est la négation des différences et de la diversité.
Hommes et femmes se sont pas égaux mais complémentaires. La femme materne bébé et l'homme va couper du bois. Vouloir l'inverse relève de la névrose. C'est pathologique. Le problème, c'est peut-être qu'on est gouverné par des névrosés et qu'on nous présente comme « modèles » des personnes qui normalement devraient être en psychiatrie. Effectivement, mettre une équipe de rugby masculin face à une équipe féminine vous convaincra que, même avec tous les efforts et avantages donnés, les sexes ne sont pas égaux. Et, si vous persistez, prenons une pratique intellectuelle comme les échecs, vous obtiendrez les mêmes résultats. Pour être taquin, j'affirme même que le seul domaine dans lequel la femme est capable avec certitude de l'emporter sur l'homme, c'est la maternité (à prendre avec humour !). Il y a pleins de domaines où les femmes sont meilleures, est-ce pour cela qu'en retour les hommes font des associations et des manifestations pour le leur reprocher ?
A ce moment là on peut également douter que ce sont les femmes qui mettent au monde les enfants non ?
Je voulais continuer ce débat mais là je n'ai plus la force. Je vais donc continuer à faire ce que je fais le mieux: garder les yeux ouverts, faites ce que vous voulez de votre coté et bon we ;)
La génétique n'explique pas la différence homme femme.
mais...
QU'ES-CE QUI L'EXPLIQUE alors?
Une-telle va raconter sa nuit horrible avec son bébé qui a pleuré toute la nuit et comment, soi disant son mari à fait la feinte du "j'entends pas je dors". Si par malheur j'annonce que ma femme m'a fait le coup autant que je lui ai fait, j'ai droit à des hauts cris pendant 5 minutes en "oui mais bon pour une fois qu'il y a un mec qui se leve..."
Bref des exemples comme ca j'en ai des pleines brouettes, mais comme je disais, c'est je pense l'apanage du sexe dominant numériquement dans un secteur d'activité : exemple les surveillants pénitentiaires qui ratatitent bien la tronche de leurs femmes quand ils discutent au mess le midi ;)
Allez apres, ce sont des clichés, tout n'est pas systématique, mais la probabilité est quand meme tres haute ;)
*(Tribunal : majorité de greffieres et d'adjointes administratives, sans parler de la quasi exclusivité des magistrates + le fait que je sois le seul à manger avec toutes ces femmes et le seul homme qui ne soit pas dans un bureau TOUT SEUL !!! Vous avez dit bizarre ? comme c'est bizarre !)
Bon dans les grandes lignes je suis assez d'accord avec vous, meme si quelques détails m'échappent, mais rien de consistant sur lesquels débattre.
En parallèle, je trouve votre vision de la chose très affutée et pointue, nul doute que je ne vous apprendrais rien, pour ma part, j'ai une vision bien plus simpliste, je n'aime pas être traité de soyboy ou de gamma lorsque je dis défendre la cause féminine (à mon niveau hein !) mais mon plus grand regret est de constater qu'il n'y a plus aujourd'hui de véritable porteuse de flammes comme le fut Veil et on se contente d'ersatz nauséabond comme les alonso, bachelot et autres de haas...
Pour ma part le dernier "acte" médiatique qui a attiré le projecteur sur ces grandes femmes qui ont fait petitement mais certainement avancé la cause féminine, c'était : la récente pub pour le café grand-mère.... eh oui...
À ce moment précis votre camarade a deux choix :
1) il reconnaît que le pouvoir est oligarchique et que ses opinions sont façonnées par une construction sociale émanant de ces cercles et propagée par les médias (comprendre presses, artistes et politiciens). Il est sous le choc de la dure réalité.
2) il nie les faits, aussi importantes et officielles que soient les sources. Il reste sur ses positions, dans le déni de réalité, et vous affuble de sobriquets qui sortent de sa bouche comme des réflexions pavloviens : complotiste ! Facho ! Nazi ! Antisémite ! Raciste ! Trucophobe ! accompagnés de phrases vide de sens : « comment, en (placer ici l'année en cours), on peut encore penser comme ça ?! C'est pas possible ! », « on est tous frères/ humains/pareils ! », « padamalgam ! », « Tout ça c'est la faute du capitalisme ! »
Vous avez peut-être déjà vous-mêmes entendu ces propos, généralement tenus par des gens dont la culture s'arrête aux quart-cinq livres étudiés à l'école et mentalement bloqués à leurs années de rébellion (ou qui sont en plein dedans). Si c'est aussi votre cas vous avez aussi connu cette sensation de crispations dans les mâchoires et les avant-bras et l'impression que tout objet autour de vous deux est susceptible de se transformer à tout instant en arme de guerre (« un couteau fou et une banane radicalisée ont encore frappés ! ») puis vous respirez longuement, vous pensez printemps, vous canalisez cette énergie jusqu'au moment où vous ferez face à votre sac de frappe et vous grommelez « Et c'est moi le facho ! »
Je ne doute pas qu'une grande part des gens qui se désignent « féministe » sont pleins de bonnes intentions mais, comme le rappelle l'adage, l'Enfer en est pavé ! À titre personnel, je ne suis pas féministe. Cela ne m'empêche nullement de côtoyer des femmes au quotidien.
Je viens de créer un sujet de discussion sur le forum : forum.secouchermoinsbete.fr/topic/427-des-rapports-hommesfemmes-dans-la-soci%C3%A9t%C3%A9-contemporaine/.
Cela nous évite d'empiéter sur la rubrique commentaire.
Tout le monde y est la bienvenue.