Suite à la déroute française lors de la bataille des Frontières, deux poilus se sont retrouvés derrière les lignes allemandes. Trouvant refuge dans un grenier de quelques mètres carré pour reprendre des forces, ils y restèrent jusqu’au 18 novembre 1918 après 1526 jours d’enfermement. L’occupation du village par les troupes allemandes les força en effet à prolonger sans cesse leur séjour.
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À la lecture de la 2eme source on apprend que : "Seuls les parents d’Alfred Richy sont dans la confidence." Et que : "Dans le plus grand secret, ils assurent leur subsistance. "
S’ils étaient sortis plutôt ils auraient sans doute été fusillés par les français.
Super anecdote merci.
Et au passage, sans doute le meilleur ratio JMCMB/JLSD
Jean-Julien Chapelant, sous-lieutenant commandant la 3e section de mitrailleuses du 98e régiment d’infanterie, a été capturé avec une poignée de survivants. Blessé, il réussit à regagner les lignes françaises. Pourtant, il sera condamné à mort pour « capitulation en rase campagne ». Le 10 octobre 1914, il sera fusillé attaché à son brancard dressé contre un pommier