Il existe un effet placebo sur le sommeil : si vous estimez avoir bien dormi, que cela soit le cas ou non, vous serez plus performant le lendemain. L'effet inverse s'applique également : si vous pensez avoir mal dormi, alors vous serez moins performant, que cela soit vrai ou non.
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Bientôt une anecdote sur l'eau chaude
Est-ce que ça joue sur les résultats finaux et, si oui, est-ce que ça peut rendre les résultats caducs?
du coup comment on fait ?? c'est vrai ou c'est pas vrai ???
C'est un peu sans intérêt cette anecdote, c'est en quelque sorte la méthode Court, et ça marche pour absolument tous les aspects de la vie ! Enfin c'est mon avis.
Si nous allons dans votre sens il faudrait prendre la pop du pays ou mondiale et non la pop de la ville...
Et pour qu'un résultat soit pertinent il n'est pas forcément utile d'avoir beaucoup de patient.
En fonction de ce que l'on veut tenter de démontrer (hypothèse...), les statisticiens nous disent combien de patient il faut pour que le résultat soit pertinent (qu'il soit positif ou négatif)
D'autre part cette étude a sûrement été fait pour étudier le phénomène sur un petit groupe et donc avec peu de moyen avant d'aller plus loin et de dépenser beaucoup plus d'argent.
Enfin les études montrant l'effet placebo sont très nombreuses.
Du moment que les échantillons sont assez grands, il peut sans problème y avoir une différence entre chacun (à part si elle est trop importante, genre un groupe fait le double de l'autre - ça ne rend pas le résultat faux pour autant, mais on émet des réserves sur le résultat). C'est dû au fait qu'on ne travaille pas directement sur le nombre mais sur les moyennes et variances d'échantillons.
En science, lorsqu'on fait un test statistique on essaie au maximum d'utiliser un test paramétrique : un test qui doit d'abord vérifier plusieurs conditions d'applications telles que la taille de l'échantillon, des valeurs réparties selon une loi particulière (loi normale la plupart du temps) etc.
En ce qui concerne la taille de l'échantillon, le minimum communément admis est 30 - ici la condition est donc bien remplie, mais ils ont tout de même choisi un nombre supérieur pour plus de fiabilité.
Si l'une de ces conditions n'est pas remplie, il faut utiliser un test non-paramétrique. Le désavantage de ces tests, c'est qu'ils ont moins de puissance, c'est-à-dire que le résultat donné est moins fiable que pour un test paramétrique - ceci dit c'est juste qu'il faut prendre ce résultat avec des pincettes et savoir d'où il sort, il n'est pas pour autant faux.
Dans l'article, la première expérience se base sur des groupes de taille <30 mais je ne connais pas le test utilisé - il se base peut-être sur une statistique non-paramétrique. La seconde xp en revanche, qui est celle dont les groupes sont assez grands, utilise une base paramétrique.
Mais quelle vérité, cela fait partie des choses qui m’ horripile le plus aujourd’hui. Les gens utilisent le mot fatigue à tord et à travers. Ils sont fatigués avant d’avoir commencé. Aujourd’hui on utilise ce mot bien plus par habitude qu’autre chose.
De plus tout le monde attribue la fatigue au travail.
Certain s’alimentent mal, ce couche à pas d’heure, ne font jamais de sport et travaille 35h par semaines mais lorsqu’ils sont fatigués c’est toujours à cause du travail.
Il regarde la liste de travail le matin en se gatttant la tête et ça y est, ils sont fatigué
Moi personnellement, les gens fatigués, ça me fatigue ;-)
Bref c’était le petit coup de gueule du jour
pour info, le contraire de l'effet placebo s'appelle l'effet nocebo.
Mais ce qui m’apparaît simple peut être insurmontable pour d’autres.
Moi par exemple je suis insomniaque et j'ai beau me dire que ça va aller, je passe quand même une journée de merde car fatiguée... Mais sur d'autres aspects de ma vie, si je positive, ça fonctionne à fond ! En fait c'est juste que ça vaut le coup d'essayer.
Voué... le protocole me semble assez maladroit.
La qualité du sommeil n’a pas forcément à voir avec sa durée, ou un paquet de mesures objectives.
Ça sens un peu « l’étude à la con » fait pour vendre des pages dans les magasines.
Mais il faut savoir que l'étude statistique est justement là pour prendre en compte l'incertitude due au nombre réduit, c'est des scientifiques, ils utilisent donc une méthode scientifique, pour prouver scientifiquement que c'est juste. Par contre ce qui ne peux pas toujours être vérifiable, c'est la qualité de l'échantillon utilisé, s'ils choisissent des gens selon des critères, et qu'ils font comme si c'était aléatoire, l'étude est invalide. C'est pour ça que malgré tout il vaut mieux regarder plusieurs études, avec des échantillons plus grands, pour que le groupe soit plus représentatif.
Je suis pas du tout d’accord. Je suis plutôt a tendance insomniaque je dors très mal et certaines nuits plus que d’autres. Et au réveil de ses nuits où je trouve particulièrement chaotique. Je me surprend étonnamment toujours à être d’une super forme le lendemain. Alors que les nuits ou je dors super bien étonnamment je suis vaseuse toute la journée et super mal. Donc pour moi c’est complètement l’inverse. Plus je dors bien et plus je pense avoir bien dormis plus je suis mal au réveil. Et si je passe une nuit blanche à stresser pour ma journée qui m’attend. Je suis d’une forme olympique.