Au XIXe siècle aux Etats-Unis, il a existé des cercueils piégés. Pour éviter que les cercueils soient ouverts et pillés par des voleurs (qui revendaient les corps pour des expériences médicales), certains étaient piégés avec des explosifs ou des armes à feu : si quelqu'un tentait de les ouvrir, il partait en confettis.
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Du coup, le corps ne pouvait plus du tout servir, en tout cas, ça a bien changé en 200 ans puisque maintenant le don de soi à la scientifique est gratuit et volontaire. La mentalité a donc bien changé. Néanmoins, je pense que cette méthode à pu améliorer la science durant ces années, malgré tous les inconvénients biologiques et éthiques.
Et en plus, ils tombaient dedans, hop! Economies de frais obsèques.
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Du coup, le corps ne pouvait plus du tout servir, en tout cas, ça a bien changé en 200 ans puisque maintenant le don de soi à la scientifique est gratuit et volontaire. La mentalité a donc bien changé. Néanmoins, je pense que cette méthode à pu améliorer la science durant ces années, malgré tous les inconvénients biologiques et éthiques.
Et en plus, ils tombaient dedans, hop! Economies de frais obsèques.
En Angleterre, durant l'époque victorienne, de neveux cercueils disposé d'une sorte de cage au dessus de leur tombe pour éviter le pillage de leur sépulture. Somme toute moins dangereux !
Pour récupérer le corps en bon état, on ne dispose que de quelques jours.
N'est-ce pas surtout les bijoux qui étaient recherchés?
Cela rappelle l'histoire du riche banquier qui a exprimé comme dernière volonté la demande d'être enterré avec tout l'argent qu'il avait au début de sa carrière, soit cent dollars. Consternation des héritiers, jusqu'à la trouvaille: "nos chèques ont toujours été honorés, on va en mettre un, au porteur, dans sa poche".
L'idée étant de protéger les cercueils, je ne comprends pas le choix de placer des explosifs. Parce que les explosifs ne protègent rien, c'est fait pour détruire... Imaginez qu'on retrouve un bras sur le cercueil de votre arrière-grand-mère parce qu'un type a décidé de plastiquer sa tombe non loin de là...
Les voleurs vont réfléchir à deux fois avant d'ouvrir le cercueil de grand mémé...
Il n'a jamais été question de cercueil ;)
Je pense qu'un bon paquet d'observations faites sur des cadavres pourraient aujourd'hui être faites sur des mannequins ou des supports numériques.
Je peux tout à fait comprendre qu'on soit réticent à donner son corps à la science. En revanche, j'ai pas du tout le même point de vue sur le don d'organes.
Mais comme tu dis il a bien fallut commencer quelque part..
Et quoi qu'il arrive, aux Etats-Unis c'est encore très particulier. On peut vendre son sperme et son sang, ce qui est interdit en France.
Et c'est dans la poche du mort qu'ils ont mis un chèque ?
A l'époque, il était déjà possible de faire don de son corps.
Vu que l'étude de l'anatomie était encore récente, de nombreuses écoles manquaient de matière première, d'où la recrudescence de vols de cadavres.
La publicité apportée aux premières affaires de voleurs blessés en pillant des tombes à du en dissuader plus d'un.
www.ladepeche.fr/article/2016/02/12/2275958-faire-don-corps-science-cout.html
En fait, le don du corps à la science n'est pas gratuit du tout. Il faut que tu payes tes obsèques malgré tout :Ma source est une plaisanterie juive new-yorkaise; les Juifs y font des histoires drôles sur eux-mêmes ou plutôt la façon dont ils sont perçus par certains esprits bornés - ils ont le sens de l'humour, et les contenus sont toujours très courts - et dans celle-ci, le banquier s'appelle Goldstein et les héritiers deux fils, Isaac et Jacob.
Je n'ai pas voulu reproduire les noms, car cela aurait pu être pris pour un ignoble anti-sémitisme, tout à l'opposé à mes sentiments.
On aurait pu aussi en faire une version écossaise (alors que je n'ai jamais rencontré tant de générosité qu'en Écosse).
Ils en sont tombés raides de surprise paraît-il.
Mais les sociétés privées - tiens, tiens - qui les gèrent facturent collecte, conservation et livraison. Et comme ça n'a pas de prix, on peut y aller fort.
De plus, en droit français, on est supposé donneur à moins d'avoir explicitement déclaré par écrit enregistré que l'on ne veut pas; j'appelle ça forcer la main.
Quand je pèse le pour et le contre, je pense que pour le bien commun, ça reste une bonne chose.
Je commence à me demander si il a pas raison avec son histoire de pseudo...