Certains morts se sont assurés d'un repos éternel avec des explosifs

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Au XIXe siècle aux Etats-Unis, il a existé des cercueils piégés. Pour éviter que les cercueils soient ouverts et pillés par des voleurs (qui revendaient les corps pour des expériences médicales), certains étaient piégés avec des explosifs ou des armes à feu : si quelqu'un tentait de les ouvrir, il partait en confettis.


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Du coup, le corps ne pouvait plus du tout servir, en tout cas, ça a bien changé en 200 ans puisque maintenant le don de soi à la scientifique est gratuit et volontaire. La mentalité a donc bien changé. Néanmoins, je pense que cette méthode à pu améliorer la science durant ces années, malgré tous les inconvénients biologiques et éthiques.

Et en plus, ils tombaient dedans, hop! Economies de frais obsèques.

a écrit : Pour récupérer le corps en bon état, on ne dispose que de quelques jours.
N'est-ce pas surtout les bijoux qui étaient recherchés?
Cela rappelle l'histoire du riche banquier qui a exprimé comme dernière volonté la demande d'être enterré avec tout l'argent qu'il avait au début de sa c
arrière, soit cent dollars. Consternation des héritiers, jusqu'à la trouvaille: "nos chèques ont toujours été honorés, on va en mettre un, au porteur, dans sa poche". Afficher tout
Tu as mal retenu l'histoire. C'est pas avec ses $100 du début qu'il voulait être enterré mais bien avec toute sa fortune, d'où la consternation des héritiers. Et c'est pas un chèque au porteur qui aurait pu risquer de tomber dans les mains des croque-morts ou des pilleurs de tombes justement. Bon allez je vous raconte la vraie histoire : une jeune profiteuse s'était mariée à un riche et vieux banquier qui n'avait pas d'enfants. Ce qui devait arriver arriva, le banquier décède. Mais consternation à la lecture du testament : le banquier, qui se doutait sans doute que sa femme ne l'avait pas épousé pour ses beaux yeux, et n'ayant pas d'autre héritier, avait demandé à être enterré avec sa fortune. À ce moment là, la veuve n'a même pas à user de ses talents de comédienne pour avoir l'air éplorée. Mais lors de l'enterrement elle est toute guillerette. Ses amies lui demandent si elle a bien respecté le testament de son époux et si elle ne lui en veut plus de ce mauvais tour qui l'avait abattue. Elle répond que, bien sûr elle a respecté le testament : elle a fait virer tout l'argent du banquier sur son compte à elle et lui a fait un chèque qu'elle a mis dans le cercueil, c'est plus sûr, on se sait jamais avec tous les profiteurs qui tournent autour de son cercueil !

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Du coup, le corps ne pouvait plus du tout servir, en tout cas, ça a bien changé en 200 ans puisque maintenant le don de soi à la scientifique est gratuit et volontaire. La mentalité a donc bien changé. Néanmoins, je pense que cette méthode à pu améliorer la science durant ces années, malgré tous les inconvénients biologiques et éthiques.

Et en plus, ils tombaient dedans, hop! Economies de frais obsèques.

En Angleterre, durant l'époque victorienne, de neveux cercueils disposé d'une sorte de cage au dessus de leur tombe pour éviter le pillage de leur sépulture. Somme toute moins dangereux !

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Pour récupérer le corps en bon état, on ne dispose que de quelques jours.
N'est-ce pas surtout les bijoux qui étaient recherchés?
Cela rappelle l'histoire du riche banquier qui a exprimé comme dernière volonté la demande d'être enterré avec tout l'argent qu'il avait au début de sa carrière, soit cent dollars. Consternation des héritiers, jusqu'à la trouvaille: "nos chèques ont toujours été honorés, on va en mettre un, au porteur, dans sa poche".

L'idée étant de protéger les cercueils, je ne comprends pas le choix de placer des explosifs. Parce que les explosifs ne protègent rien, c'est fait pour détruire... Imaginez qu'on retrouve un bras sur le cercueil de votre arrière-grand-mère parce qu'un type a décidé de plastiquer sa tombe non loin de là...

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a écrit : L'idée étant de protéger les cercueils, je ne comprends pas le choix de placer des explosifs. Parce que les explosifs ne protègent rien, c'est fait pour détruire... Imaginez qu'on retrouve un bras sur le cercueil de votre arrière-grand-mère parce qu'un type a décidé de plastiquer sa tombe non loin de là... C'est de la dissuasion!
Les voleurs vont réfléchir à deux fois avant d'ouvrir le cercueil de grand mémé...

a écrit : L'idée étant de protéger les cercueils, je ne comprends pas le choix de placer des explosifs. Parce que les explosifs ne protègent rien, c'est fait pour détruire... Imaginez qu'on retrouve un bras sur le cercueil de votre arrière-grand-mère parce qu'un type a décidé de plastiquer sa tombe non loin de là... Justement non, tu as mal compris. Le but est de protéger les corps pour ne pas qu'ils soient volés pour être revendus.
Il n'a jamais été question de cercueil ;)

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a écrit : Du coup, le corps ne pouvait plus du tout servir, en tout cas, ça a bien changé en 200 ans puisque maintenant le don de soi à la scientifique est gratuit et volontaire. La mentalité a donc bien changé. Néanmoins, je pense que cette méthode à pu améliorer la science durant ces années, malgré tous les inconvénients biologiques et éthiques. Afficher tout Pour avoir pratiqué des dissections humaines, je trouve quand même qu'il y a encore des progrès à faire niveau don à la science.
Je pense qu'un bon paquet d'observations faites sur des cadavres pourraient aujourd'hui être faites sur des mannequins ou des supports numériques.
Je peux tout à fait comprendre qu'on soit réticent à donner son corps à la science. En revanche, j'ai pas du tout le même point de vue sur le don d'organes.
Mais comme tu dis il a bien fallut commencer quelque part..

Et quoi qu'il arrive, aux Etats-Unis c'est encore très particulier. On peut vendre son sperme et son sang, ce qui est interdit en France.

a écrit : Pour récupérer le corps en bon état, on ne dispose que de quelques jours.
N'est-ce pas surtout les bijoux qui étaient recherchés?
Cela rappelle l'histoire du riche banquier qui a exprimé comme dernière volonté la demande d'être enterré avec tout l'argent qu'il avait au début de sa c
arrière, soit cent dollars. Consternation des héritiers, jusqu'à la trouvaille: "nos chèques ont toujours été honorés, on va en mettre un, au porteur, dans sa poche". Afficher tout
Ils étaient consternés pour 100 dollars ?
Et c'est dans la poche du mort qu'ils ont mis un chèque ?

a écrit : Du coup, le corps ne pouvait plus du tout servir, en tout cas, ça a bien changé en 200 ans puisque maintenant le don de soi à la scientifique est gratuit et volontaire. La mentalité a donc bien changé. Néanmoins, je pense que cette méthode à pu améliorer la science durant ces années, malgré tous les inconvénients biologiques et éthiques. Afficher tout Que le corps ne puisse plus servir après avoir été déterré, je ne vois pas en quoi c'est un problème.
A l'époque, il était déjà possible de faire don de son corps.
Vu que l'étude de l'anatomie était encore récente, de nombreuses écoles manquaient de matière première, d'où la recrudescence de vols de cadavres.
La publicité apportée aux premières affaires de voleurs blessés en pillant des tombes à du en dissuader plus d'un.

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a écrit : Que le corps ne puisse plus servir après avoir été déterré, je ne vois pas en quoi c'est un problème.
A l'époque, il était déjà possible de faire don de son corps.
Vu que l'étude de l'anatomie était encore récente, de nombreuses écoles manquaient de matière première, d'où la recrude
scence de vols de cadavres.
La publicité apportée aux premières affaires de voleurs blessés en pillant des tombes à du en dissuader plus d'un.
Afficher tout
Oui enfin, brûle à 2000°C, le corps n'est plus que cendres alors que les corps recherchés devait avoir les os ou tendons encore intact et pouvait servir. Un corps entièrement détruit n'a plus aucune utilité. Un corps mort bien conservé en a.

a écrit : Pour récupérer le corps en bon état, on ne dispose que de quelques jours.
N'est-ce pas surtout les bijoux qui étaient recherchés?
Cela rappelle l'histoire du riche banquier qui a exprimé comme dernière volonté la demande d'être enterré avec tout l'argent qu'il avait au début de sa c
arrière, soit cent dollars. Consternation des héritiers, jusqu'à la trouvaille: "nos chèques ont toujours été honorés, on va en mettre un, au porteur, dans sa poche". Afficher tout
Tu as mal retenu l'histoire. C'est pas avec ses $100 du début qu'il voulait être enterré mais bien avec toute sa fortune, d'où la consternation des héritiers. Et c'est pas un chèque au porteur qui aurait pu risquer de tomber dans les mains des croque-morts ou des pilleurs de tombes justement. Bon allez je vous raconte la vraie histoire : une jeune profiteuse s'était mariée à un riche et vieux banquier qui n'avait pas d'enfants. Ce qui devait arriver arriva, le banquier décède. Mais consternation à la lecture du testament : le banquier, qui se doutait sans doute que sa femme ne l'avait pas épousé pour ses beaux yeux, et n'ayant pas d'autre héritier, avait demandé à être enterré avec sa fortune. À ce moment là, la veuve n'a même pas à user de ses talents de comédienne pour avoir l'air éplorée. Mais lors de l'enterrement elle est toute guillerette. Ses amies lui demandent si elle a bien respecté le testament de son époux et si elle ne lui en veut plus de ce mauvais tour qui l'avait abattue. Elle répond que, bien sûr elle a respecté le testament : elle a fait virer tout l'argent du banquier sur son compte à elle et lui a fait un chèque qu'elle a mis dans le cercueil, c'est plus sûr, on se sait jamais avec tous les profiteurs qui tournent autour de son cercueil !

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a écrit : Du coup, le corps ne pouvait plus du tout servir, en tout cas, ça a bien changé en 200 ans puisque maintenant le don de soi à la scientifique est gratuit et volontaire. La mentalité a donc bien changé. Néanmoins, je pense que cette méthode à pu améliorer la science durant ces années, malgré tous les inconvénients biologiques et éthiques. Afficher tout En fait, le don du corps à la science n'est pas gratuit du tout. Il faut que tu payes tes obsèques malgré tout : www.ladepeche.fr/article/2016/02/12/2275958-faire-don-corps-science-cout.html

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a écrit : Tu as mal retenu l'histoire. C'est pas avec ses $100 du début qu'il voulait être enterré mais bien avec toute sa fortune, d'où la consternation des héritiers. Et c'est pas un chèque au porteur qui aurait pu risquer de tomber dans les mains des croque-morts ou des pilleurs de tombes justement. Bon allez je vous raconte la vraie histoire : une jeune profiteuse s'était mariée à un riche et vieux banquier qui n'avait pas d'enfants. Ce qui devait arriver arriva, le banquier décède. Mais consternation à la lecture du testament : le banquier, qui se doutait sans doute que sa femme ne l'avait pas épousé pour ses beaux yeux, et n'ayant pas d'autre héritier, avait demandé à être enterré avec sa fortune. À ce moment là, la veuve n'a même pas à user de ses talents de comédienne pour avoir l'air éplorée. Mais lors de l'enterrement elle est toute guillerette. Ses amies lui demandent si elle a bien respecté le testament de son époux et si elle ne lui en veut plus de ce mauvais tour qui l'avait abattue. Elle répond que, bien sûr elle a respecté le testament : elle a fait virer tout l'argent du banquier sur son compte à elle et lui a fait un chèque qu'elle a mis dans le cercueil, c'est plus sûr, on se sait jamais avec tous les profiteurs qui tournent autour de son cercueil ! Afficher tout Comme quoi transformer une blague de quatre lignes en un long discours de seize.
Ma source est une plaisanterie juive new-yorkaise; les Juifs y font des histoires drôles sur eux-mêmes ou plutôt la façon dont ils sont perçus par certains esprits bornés - ils ont le sens de l'humour, et les contenus sont toujours très courts - et dans celle-ci, le banquier s'appelle Goldstein et les héritiers deux fils, Isaac et Jacob.
Je n'ai pas voulu reproduire les noms, car cela aurait pu être pris pour un ignoble anti-sémitisme, tout à l'opposé à mes sentiments.
On aurait pu aussi en faire une version écossaise (alors que je n'ai jamais rencontré tant de générosité qu'en Écosse).

Ils en sont tombés raides de surprise paraît-il.

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a écrit : Pour avoir pratiqué des dissections humaines, je trouve quand même qu'il y a encore des progrès à faire niveau don à la science.
Je pense qu'un bon paquet d'observations faites sur des cadavres pourraient aujourd'hui être faites sur des mannequins ou des supports numériques.
Je peux tou
t à fait comprendre qu'on soit réticent à donner son corps à la science. En revanche, j'ai pas du tout le même point de vue sur le don d'organes.
Mais comme tu dis il a bien fallut commencer quelque part..

Et quoi qu'il arrive, aux Etats-Unis c'est encore très particulier. On peut vendre son sperme et son sang, ce qui est interdit en France.
Afficher tout
Don d'organes: il faut savoir que l'on ne peut commercialiser un produit humain.
Mais les sociétés privées - tiens, tiens - qui les gèrent facturent collecte, conservation et livraison. Et comme ça n'a pas de prix, on peut y aller fort.
De plus, en droit français, on est supposé donneur à moins d'avoir explicitement déclaré par écrit enregistré que l'on ne veut pas; j'appelle ça forcer la main.

a écrit : Don d'organes: il faut savoir que l'on ne peut commercialiser un produit humain.
Mais les sociétés privées - tiens, tiens - qui les gèrent facturent collecte, conservation et livraison. Et comme ça n'a pas de prix, on peut y aller fort.
De plus, en droit français, on est supposé donneur à moi
ns d'avoir explicitement déclaré par écrit enregistré que l'on ne veut pas; j'appelle ça forcer la main. Afficher tout
Pour le don d'organe, à la différence du don à la science, c'est que l'organe en question sauve une vie immédiatement. Ca ne me choque pas qu'on soit supposé donneur, d'un point de vue éthique. Mais si j'ai bien compris, ce qui t'emmerde c'est le profit généré en parallèle.
Quand je pèse le pour et le contre, je pense que pour le bien commun, ça reste une bonne chose.

a écrit : Don d'organes: il faut savoir que l'on ne peut commercialiser un produit humain.
Mais les sociétés privées - tiens, tiens - qui les gèrent facturent collecte, conservation et livraison. Et comme ça n'a pas de prix, on peut y aller fort.
De plus, en droit français, on est supposé donneur à moi
ns d'avoir explicitement déclaré par écrit enregistré que l'on ne veut pas; j'appelle ça forcer la main. Afficher tout
On transpose comme on veut. Il n'en reste pas moins que si c'est seulement avec $100 et en plus un chèque au porteur ça n'a plus de sens. Tiens, tiens... Il me semble reconnaître ce style, c'est toujours la même personne ? Tu viens de créer ton 161e pseudo ? EDIT : oups, c'était la réponse au commentaire précédent.

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a écrit : Tu as mal retenu l'histoire. C'est pas avec ses $100 du début qu'il voulait être enterré mais bien avec toute sa fortune, d'où la consternation des héritiers. Et c'est pas un chèque au porteur qui aurait pu risquer de tomber dans les mains des croque-morts ou des pilleurs de tombes justement. Bon allez je vous raconte la vraie histoire : une jeune profiteuse s'était mariée à un riche et vieux banquier qui n'avait pas d'enfants. Ce qui devait arriver arriva, le banquier décède. Mais consternation à la lecture du testament : le banquier, qui se doutait sans doute que sa femme ne l'avait pas épousé pour ses beaux yeux, et n'ayant pas d'autre héritier, avait demandé à être enterré avec sa fortune. À ce moment là, la veuve n'a même pas à user de ses talents de comédienne pour avoir l'air éplorée. Mais lors de l'enterrement elle est toute guillerette. Ses amies lui demandent si elle a bien respecté le testament de son époux et si elle ne lui en veut plus de ce mauvais tour qui l'avait abattue. Elle répond que, bien sûr elle a respecté le testament : elle a fait virer tout l'argent du banquier sur son compte à elle et lui a fait un chèque qu'elle a mis dans le cercueil, c'est plus sûr, on se sait jamais avec tous les profiteurs qui tournent autour de son cercueil ! Afficher tout Merci bien pour cette petite histoire car je n'avais absolument rien compris à l'autre commentaire

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a écrit : Comme quoi transformer une blague de quatre lignes en un long discours de seize.
Ma source est une plaisanterie juive new-yorkaise; les Juifs y font des histoires drôles sur eux-mêmes ou plutôt la façon dont ils sont perçus par certains esprits bornés - ils ont le sens de l'humour, et les contenus sont toujo
urs très courts - et dans celle-ci, le banquier s'appelle Goldstein et les héritiers deux fils, Isaac et Jacob.
Je n'ai pas voulu reproduire les noms, car cela aurait pu être pris pour un ignoble anti-sémitisme, tout à l'opposé à mes sentiments.
On aurait pu aussi en faire une version écossaise (alors que je n'ai jamais rencontré tant de générosité qu'en Écosse).
Afficher tout
Le gros problème, c'est que comme votre compère guigui, on comprend pas toujours bien ce que vous voulez dire. Au moins Alainric fait l'effort de vous traduire pour qu'on vous comprenne.
Je commence à me demander si il a pas raison avec son histoire de pseudo...