La catastrophe la plus meurtrière de l'aviation civile s'est déroulée sur la terre ferme : le 25 mars 1977, un Boeing 747 de KLM en phase de décollage percuta à plus de 250 km/h un autre 747 de Pan American qui roulait sur la piste de Tenerife. L'accident est dû à une succession de circonstances, et notamment à un attentat survenu à l'aéroport Las Palmas qui dérouta les avions. Il y aura 583 victimes.
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Malheureusment, on appelle ça le destin. Vous savez, il suffit dans notre vie de tous les jours, que l'on s'arrête dans la rue en pensant oublier quelque chose, faire demi-tour....et voila notre destin changé a jamais: tu ne t'aurais jamais fait écrasé par ce bus rouge si tu ne t'étais pas arrêté. Peut-être un bus bleu maintenant qui sait? (Destination finale, la mort te suivra loool). En gros, chaque geste a une conséquence.
C'qu'il faut surtout preciser, c'est que l'avion est un moyen de transport tres securise dans les compagnies aeriennes legales ! :)
C'est surtout que l'aéroport a été surchargé car un 747 a dû atterrir en urgence
"La minute de vérité" est une série documentaire qui a consacré un épisode sur la collision PanAm-KLM et sur plusieurs accident aériens. On peut facilement les trouver sur youtube ou dailymotion pour ceux que ça intéressent :)
Triste monde..
De nombreux autres facteurs sont à prendre en compte :
Une mauvaise maîtrise de l'anglais du personnel au sol,
Des contraintes d'horaires des équipages dûes au déroutement,
Une mauvaise coordination dans un aéroport pas préparé à gérer un tel trafic
Etc, etc.....
Ceux qui liront ton commentaire en 2021 risque de « rire »... :/
C’est une totale succession de facteurs. Le brouillard, le retard énorme subi entraînant de l’impatience de la part du pilote néerlandais (KLM) qui se trouvait être l’un des aviateurs - formateurs parmi les plus qualifiés (et arrogants) de la compagnie. Son copilote n’osa pas lui faire remarquer qu’il brûlait les étapes d’autorisations, de peur de se faire rabrouer. Il lança le décollage suite à une clairance peu explicite de la tour.
Seule une femme survécut à bord de l’un des avions : elle était descendue pendant l’escale et n’avait pas voulue remonter à bord., préférant refaire ses vacances sur Tenerife.
Cela donna lieu à une refonte des obligations des rapports dans les cockpits.