Lors d'une crucifixion, les clous n'étaient pas plantés au niveau de la paume des mains comme il est souvent représenté sur les peintures, mais plutôt sur le poignet à un endroit bien spécifique de l'anatomie : l'espace de Destot. Cet espace était le seul suffisamment solide afin d'éviter qu'il y ait une déchirure due au poids du corps sur la croix.
Il s'agit d'un endroit qui provoque des lésions du nerf médian dans sa partie motrice provoquant l'abduction forcée du pouce vers la paume de la main. Suite à ça, le supplicié ressentait durant toute son agonie sur la croix une fulgurante douleur névralgique dans chaque main, poignet et avant-bras.
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J'insiste mais après vérification c'est bien adduction et non "abduction"..
Bien que cela n'enlève en rien la douleur...
L'homme n'a jamais été aussi inspiré, que lorsqu'il s'agissait de détruire son prochain!
Cette torture a sûrement été inventé par un bricoleur maladroit qui a confondu son poignet avec une planche en bois...
Petite prévision, pour certains condamnés, les pieds n'était pas "attachés". Ils étaient cloués au niveau des chevilles et pouvais se maintenir "debout" sur un dernier clou. Avec cette configuration, Au début, ils ressentaient la douleur des "clous" mais pas l'asphyxie. Mais après des jours de fatigue (en plain soleil) sans boire et manger, il était difficile de se maintenir dans cette position. Les condamnes finissaient par tomber ( 2 a 3 cm) du clou et cette nouvelle position était plus inconfortable que la première. La respiration devenait de plus en plus difficile. l'agonie pouvais durée très très longtemps.
De plus certaines fortes têtes avait la force de se hisser a nouveau sur le clou et de repasser dans la première position. La durée de vie en était prolongé de quelques heures. Car les passages "en haut" étaient de plus en plus court, puis impossible. Certains récit antique parle même de cas ou les soldats chargés de surveiller que personne n'intervienne prenais pitié des condamnes et leurs brises les tibias pour qu'ils ne remontent plus.
Cette dernière pratique fait penser a une autre avec la pendaison dont le principe était de pendre le condamné a quelques cm du sol. Si bien qu'il pouvait se maintenir en vie à la force des mollets, évidemment plus le temps passait plus il passait du temps suspendu. Mais issu était toujours la même.
L'idée de ces deux variantes est de faire davantage "souffrir". Elles étaient souvent réservées aux fortes têtes que l'on voulais brisé mentalement. C'était le cas pour les esclaves qui s'étaient rebellés et qui une fois condamné continuait à résister. Les voir abandonner était une récompense pour les maîtres , qui se déplaçaient parfois plusieurs fois par jour pour assister a leur abandon sans avoir à assister a la résistance de l'esclave. Les condamnes ne pouvaient donc même pas avoir la satisfaction d'avoir tenu tête.
Pratiqué et montré dans la série Spartacus.Gannicus l'éprouve :(
La torture et les méthodes barbare ne sont pas du moyen âge, le moyen âge est une période d'innovation mais aussi d'extrémiste religieux, et comme tout extrémité elle a permis des réalisation sublime mais aussi très sombre
C'est a cette période que les pays que tu connais aujourd'hui ce sont unifié sous une souveraineté plutôt que d'être des villages barbare disséminé a droite et a gauche, l'antiquité était un prélude et même si le moyen âge sous certain aspect est un recul en arrière il a permis une avance considérable dans de nombreux domaine
Ça serait comme comparé l'enfance (antiquité ) a l'adolescence (médiéval) puis a l'âge de jeune adulte ( renaissance et potentiellement aujourd'hui ) l'âge adulte viendra plus tard :p
La pratique de la dissection humaine (sur des personnes défuntes) à l'époque de Galien en est pour beaucoup !