Le compositeur de musique baroque Jean-Baptiste Lully (surintendant de la musique à Versailles et protégé de Louis XIV), mourut de la gangrène suite à un emportement contre ses musiciens, après avoir frappé accidentellement son orteil avec son "bâton de direction" servant à battre la mesure.
Commentaires préférés (3)
On ne dit pas "à suite de" mais plutôt "à la suite d'un" mais bon là je chipote
Sans vouloir offusquer l'auteur de cette anecdote, elle est mieux présentée sur Wikipedia :
La cause de sa mort fut particulière puisqu'elle intervint à la suite d'une répétition du Te Deum qu'il devait faire jouer pour la guérison du roi. N'arrivant pas à obtenir ce qu'il voulait des musiciens, Lully, d'un tempérament explosif, s'emporta et se frappa violemment un orteil avec son « bâton de direction », longue et lourde canne surmontée de rubans et d'un pommeau richement orné, servant à l'époque pour battre la mesure en frappant le sol. Étant danseur il refusa qu'on coupât sa jambe qui s'infecta, la gangrène se propagea au reste du corps et infecta en grande partie son cerveau4. Lully mourut quelque temps plus tard à Paris, le 22 mars 1687.
Je trouve qu'en 300 caractères c'est bien résumé. Rien ne sert de recopier les commentaires des autres ou Wikipédia. C'est à chacun, s'il le souhaite de compléter et de consulter les différentes sources.
Tous les commentaires (44)
On ne dit pas "suite à" mais "à suite de", mais bon je chipote !
On ne dit pas "à suite de" mais plutôt "à la suite d'un" mais bon là je chipote
Pas de bol comme ont dit
Sa mort intervint à la suite d'une répétition du Te Deum qu'il devait faire jouer pour la guérison du roi. Son tombeau se situe dans l'église Notre Dame des Victoires dans le deuxième arrondissement de Paris.
Et là, c'est le drame.
C'est quand même bête, mais je me coucherais 2x moins bête ce soir. Un je vais chercher qui est cet homme que je connais pas et 2 je connais sa mort.
C'est plutôt curieux de mourir ainsi.. (enfin pas la gangrène, à l'époque) J'aime bien le site source aussi "jesuismort.com" ..
Sans vouloir offusquer l'auteur de cette anecdote, elle est mieux présentée sur Wikipedia :
La cause de sa mort fut particulière puisqu'elle intervint à la suite d'une répétition du Te Deum qu'il devait faire jouer pour la guérison du roi. N'arrivant pas à obtenir ce qu'il voulait des musiciens, Lully, d'un tempérament explosif, s'emporta et se frappa violemment un orteil avec son « bâton de direction », longue et lourde canne surmontée de rubans et d'un pommeau richement orné, servant à l'époque pour battre la mesure en frappant le sol. Étant danseur il refusa qu'on coupât sa jambe qui s'infecta, la gangrène se propagea au reste du corps et infecta en grande partie son cerveau4. Lully mourut quelque temps plus tard à Paris, le 22 mars 1687.
Je trouve qu'en 300 caractères c'est bien résumé. Rien ne sert de recopier les commentaires des autres ou Wikipédia. C'est à chacun, s'il le souhaite de compléter et de consulter les différentes sources.
D'accord avec toi Fancat, personnelement si ils faisaient des anectodes aussi longues à chaque fois le site perdrait beaucoup d'utilisateur. Et comme a dit Fancat, ça m'interesser j'ai chercher et j'ai plus appris, mais libre à chacun de vouloir que l'essentiel, et non pas le roman.
Très bien écrit glutomac.
Franchement vous pouvez pas arrêter de critiquer incessamment la "forme" des anecdotes. Nous sommes pas en cours de français. Chacun a son style rédactionnel.
@baron : je fais mon capello mais "incessament" veut dire sans délai.. "sans cesse" peut etre ?
Le film "le roi danse" raconte cette histoire. Juste pour info. ^^
Ça c'est couillon !!! Je suppose que le joueur de triangle s'en est tiré!!??
On réalise pas toujours maintenant avec les antibio etc... mais à l'époque la moindre égratignure pouvait être fatale ! Comme quoi dans les combats à l'épée d'autrefois, il n'y avait pas besoin de têtes coupées pour mourir au combat :)
Ça c'est balo !
Et un Darwin Owards, un...
Ça lui fera les pieds !
Pas de bol !!!?
Mon prof de solfège me rappelait ça souvent, pauvre Lulli, une mort bête...
Ouch