Un immense courant marin bat tous les fleuves du monde réunis

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a écrit : Ca fait quand même 150 milliards de bouteille de Volvic d’1L par seconde ! Pour celles et ceux qui n'arrivent pas à imaginer 150 millions de litres, ça correspond à 40000 ou 60000 (selon profondeur 2m ou 3m) piscines olympiques.

C'est pas mieux comme ça ? ^^

a écrit : Pour celles et ceux qui n'arrivent pas à imaginer 150 millions de litres, ça correspond à 40000 ou 60000 (selon profondeur 2m ou 3m) piscines olympiques.

C'est pas mieux comme ça ? ^^
Et le phénomène se produit sur la superficie de combien de terrains de foot?

a écrit : Pour celles et ceux qui n'arrivent pas à imaginer 150 millions de litres, ça correspond à 40000 ou 60000 (selon profondeur 2m ou 3m) piscines olympiques.

C'est pas mieux comme ça ? ^^
150 millions de m3, pas de litres ;)

Comme dit BenBou63 ça fait bien 150 milliards de bouteilles de volvic/voss/evian/iceberg/contrex/cristalline (car 1m3=1000l).

Le compte en nombre de piscines olympiques est le bon en revanche :)


Tous les commentaires (33)

La proximité de l'axe de rotation terrestre doit agir ?

Surtout aucun obstacle sauf quelques petites îles (trop petite pour ralentir le courant) et le détroit de Drake !

Ca fait quand même 150 milliards de bouteille de Volvic d’1L par seconde !

a écrit : Ca fait quand même 150 milliards de bouteille de Volvic d’1L par seconde ! Pourquoi de Volvic ?…

a écrit : Surtout aucun obstacle sauf quelques petites îles (trop petite pour ralentir le courant) et le détroit de Drake ! C'est aussi là, et pour les mêmes raisons, qu'on trouve les plus grosses vagues, dont certaines font plusieurs fois le tour de l’Antarctique avant de se "calmer", ainsi que les plus fortes tempêtes (en distance et en durée)

fr.wikipedia.org/wiki/Quaranti%C3%A8mes_rugissants

a écrit : Ca fait quand même 150 milliards de bouteille de Volvic d’1L par seconde ! Pour celles et ceux qui n'arrivent pas à imaginer 150 millions de litres, ça correspond à 40000 ou 60000 (selon profondeur 2m ou 3m) piscines olympiques.

C'est pas mieux comme ça ? ^^

a écrit : Pour celles et ceux qui n'arrivent pas à imaginer 150 millions de litres, ça correspond à 40000 ou 60000 (selon profondeur 2m ou 3m) piscines olympiques.

C'est pas mieux comme ça ? ^^
Et le phénomène se produit sur la superficie de combien de terrains de foot?

a écrit : Pour celles et ceux qui n'arrivent pas à imaginer 150 millions de litres, ça correspond à 40000 ou 60000 (selon profondeur 2m ou 3m) piscines olympiques.

C'est pas mieux comme ça ? ^^
150 millions de m3, pas de litres ;)

Comme dit BenBou63 ça fait bien 150 milliards de bouteilles de volvic/voss/evian/iceberg/contrex/cristalline (car 1m3=1000l).

Le compte en nombre de piscines olympiques est le bon en revanche :)

a écrit : 150 millions de m3, pas de litres ;)

Comme dit BenBou63 ça fait bien 150 milliards de bouteilles de volvic/voss/evian/iceberg/contrex/cristalline (car 1m3=1000l).

Le compte en nombre de piscines olympiques est le bon en revanche :)
Autemps pour moi. Mais j'ai bien divisé 150 millions par 2500 et 3750, volumes en m³ d'une piscine olympique ;)

Pourquoi ne pas y mettre des turbines et récupérer cette énergie ?

a écrit : Pourquoi ne pas y mettre des turbines et récupérer cette énergie ? Parce que c'est très difficile à rentabiliser, les contraintes sont nombreuses mais on y travaille.
Y'a des prototypes qui popent de temps en temps.

a écrit : Pourquoi ne pas y mettre des turbines et récupérer cette énergie ? Manifestement tu ne te rend pas compte de ce que sont les cinquantièmes hurlants. ;-)
Le bien nommé Jean Louis Étienne tente d'y mettre un vaisseau dérivant dans ce courant (qui accélère d'ailleurs) pour l'étudier.
C'est le projet PolarPod.

www.polarpod.fr/fr

a écrit : Pourquoi ne pas y mettre des turbines et récupérer cette énergie ? Aussi parce que tout ce qu'on pourrait mettre pour puiser cette énergie aurait un impact sur ce courant, même de façon minime, on altére son débit naturel.
Comme les barrages hydrauliques ou un aspirateur à CO2 géant... sur papier c'est cool.
Beaucoup de bonnes idées sont confronté à l'effet rebond.
C'est comme avec la technologie de LED, c'est super ça consomme moins ! Donc on va en mettre partout, et en plus on va tout acheter connecté ou sur batterie et ça va consommer comme avant en créant plus de déchet.

a écrit : Pourquoi ne pas y mettre des turbines et récupérer cette énergie ? J'ai cru que personne n'allait suggérer de récupérer l'énergie sur cette anecdote ! Ca aurait été dommage de laisser passer une si bonne occasion. Et ça permet de diversifier les situations !

J'ai le souvenir que la suggestion avait été faite d'installer des éoliennes sur les blocs de béton protégeant du vent un canal aux Pays-Bas, plus récemment, d'installer une centrale thermique sur un feu de veine de charbon en Austalie, et maintenant il s'agit de récupérer l'énergie des courants en Antarctique.

Je me demande quelle sera la source d'énergie la plus improbable dont on proposera le captage sur ce site, la prochaine fois, sur quel continent et, surtout, à partir de combien de situations de ce genre ça devient du comique de répétition ?

a écrit : Parce que c'est très difficile à rentabiliser, les contraintes sont nombreuses mais on y travaille.
Y'a des prototypes qui popent de temps en temps.
Il est de toutes façons très difficile de mettre des turbines dans des courants forts, sans même aller jusqu’à de tels extrêmes. Les pales ne peuvent pas soutenir une telle pression, elles se désagrègent.

a écrit : Pour celles et ceux qui n'arrivent pas à imaginer 150 millions de litres, ça correspond à 40000 ou 60000 (selon profondeur 2m ou 3m) piscines olympiques.

C'est pas mieux comme ça ? ^^
Pour ceux qui n'arrivent pas à faire une division, le débit de tous les fleuves du monde est donc d'1 million de m3 par seconde.

C'est pas mieux comme ça ? ^^

a écrit : Il est de toutes façons très difficile de mettre des turbines dans des courants forts, sans même aller jusqu’à de tels extrêmes. Les pales ne peuvent pas soutenir une telle pression, elles se désagrègent. C'est un des problèmes qui bloquent les projets d'hydroliennes à grande échelle, l'entretien est compliqué aussi, le sel qui ronge le métal, le cout de fabrication, d'ancrage, ...

Comme l'a écrit Lflfelf sur cette affaire d'éoliennes plantées sur un mur coupe(vent, si ca ne se fait pas, c'est parce que c'est pas rentable, mais sur le papier, ca fonctionne. ;)

Je pense que ca se fera un jour, après tout, pendant plus de 100 ans, on savait pas quoi en faire de l'électricité, on savait juste que ça existait, il a fallu développer tout un tas de technologies pour l'utiliser, à commencer par le générateur, parce que les piles à galène... oui, ca fonctionne, mais pas plus. ^^