Attention au surdosage du paracétamol

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Le paracétamol peut devenir très dangereux en cas de surdosage. Bien qu’il s’agisse d’un médicament très courant et prescrit facilement, il faut absolument respecter la dose maximale prévue. Pour un adulte, cela correspond à 4 doses de 1000 mg par 24 heures, espacées au minimum de 4 heures chacune.

Au-delà de cette dose, le médicament devient toxique pour le foie. Cela peut mener à la destruction de l’organe en 3 à 4 jours dans des douleurs atroces et conduire à un œdème cérébral puis à la mort. Une dose de 10 cachets de 1000 mg pris en 24 h peut ainsi devenir fatale.


Tous les commentaires (46)

a écrit : Et même si besoin je peux faire partie de l’étude...
Infirmière avec un facteur de coagulation, j’ai fait le vaccin. Ceci dit je ne suis pas à J10
Rendez-vous dans 10 jours dans ce cas.

a écrit : Si la balance de ton traitement oscille, comme tu l'écris, entre le risque et le danger. Quel est l'intérêt de l'administrer à quelqu'un ?? je reconnais que le mot balance est mal choisi, j'aurai dû préférer le terme de notion ou quelques chose de similaire. Ce que je voulais dire, c'est que le sujet de l'anecdote est moins de savoir si le paracétamol apporte + de bien que de mal (Ses effets secondaires, si on respecte les doses, sont bénins et très rares) que de savoir son niveau de dangerosité. Le paracétamol (comme quasi toute molécule chimique) n'est dangereux que si on s'expose au danger (notion de risque), dans notre cas le surdosage. En bref, c'est la dose qui fait le danger et pas le produit en tant que tel.

a écrit : je reconnais que le mot balance est mal choisi, j'aurai dû préférer le terme de notion ou quelques chose de similaire. Ce que je voulais dire, c'est que le sujet de l'anecdote est moins de savoir si le paracétamol apporte + de bien que de mal (Ses effets secondaires, si on respecte les doses, sont bénins et très rares) que de savoir son niveau de dangerosité. Le paracétamol (comme quasi toute molécule chimique) n'est dangereux que si on s'expose au danger (notion de risque), dans notre cas le surdosage. En bref, c'est la dose qui fait le danger et pas le produit en tant que tel. Afficher tout La dernière phrase de ton commentaire n’est elle pas valable pour tout ? Même pour la toxine botulique ?

a écrit : Et même si besoin je peux faire partie de l’étude...
Infirmière avec un facteur de coagulation, j’ai fait le vaccin. Ceci dit je ne suis pas à J10
D'ailleurs mon équipe et moi-même avons remarqué qu'un patient covid + récemment avait ses D dimeres élevés. Fais tu un lien ? Merci pour ton avis et bon courage :)

a écrit : La dernière phrase de ton commentaire n’est elle pas valable pour tout ? Même pour la toxine botulique ? Exactement ! pour moi, l'anecdote traite avant tout de la question de la dose, qui fait qu'un produit peut passer d'un statut de dangereux à un statut de bénéfique (ou tout au moins neutre).
La toxine botulique peut ainsi passer du statut de poison mortel à celui de "thérapeutique" pour le Botox.

Le fond de ma pensée était orienté vers ceux qui traitent certains professionnels d'assassins ou d'empoisonneurs parce qu'ils utilisent des produits chimiques... sans s'occuper de la question de la dose ou la dégradabilité.

Une seule aspirine suffit pour tuer un chat, ou un petit chien.