Violette Morris, surnommée, « la hyène de la Gestap », était une sportive multidisciplinaire française (course automobile, lancer de poids, football). Sa fin de carrière futt moins prestigieuse : elle finira assassinée par des résistants en 1944, soupçonnée de collaboration.
En 1936 à Berlin, elle aurait été approchée par les Nazis et aurait travaillé comme espionne et tortionnaire au service de la Gestapo.
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Il a fait le seul choix qui lui permettait de sauver son cul.
La seule différence entre le bon soldat qui suit ses ordres et celui qui est fautif même s'il avait 0 alternative c'est qui dirige le tribunal et a les moyens de le punir.
Par ailleurs l'expérience de Stanford est fortement remise en question, voire rejetée par beaucoup, et l'expérience de Milgram parle d'obéissance sans risque pour soi tant qu'on reconnait la légitimité de l'autorité à laquelle on obéit (ce qui illustre moins le cas des années 40 que la complaisance préalable avec la montée de l'antisémitisme pendant les décennies qui ont précédé , ou même la complaisance avec la montée de l'islamophobie des deux dernières décennies).
Attendant la fin de l'orage
Ils etaient des millions
Entrer en résistance demande un engagement. Tout ce commentaire est, je précise, un point de vue personnel. Je ne vois cependant quand même pas en quoi ne pas collaborer rime avec défier car c'est là-dessus que l'on juge si finalement une personne a été résistante ou non : a-t-elle volontairement défié l'occupant ?
Sacré motivation cette bonne femme