Certaines drogues peuvent agir plusieurs mois après leur prise

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Certaines drogues ont ce que l'on appelle un effet retour ou flashback chez certaines personnes : même si elles n'en ont plus consommé depuis des mois, elles peuvent connaître un court épisode où elles en ressentiront les effets comme si elles venaient d'en prendre.


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a écrit : J'ai un ami qui. ...j'adore les explications! ;-) Oui, l'ami de l'ami de son frère est devenu une fraise après avoir pris de la lsdma.... ;-)

Enfin c'est ce que l'on entend!

Nb: en aucun cas je remets en cause la dangerosité de ces produits et leurs effets qu'ils soient primaires ou secondaires...

a écrit : Pas de réminiscence avec le cannabis. Et pour les tests urine, c'est 10-11 jours grand max Absolument pas, la durée de positivité au thc dans les urine varie énormément en fonction de la consommation de la personne.
Chez une personne qui ne consomme pratiquement jamais ou jamais (1 joint/mois et moins) c’est à peu près une semaine oui, mais chez une personne qui consomme bien plus, régulièrement, le thc reste dans les urines pendant très très longtemps, et peut aller jusqu’à 2 mois. Cela dépend aussi de comment l’organisme détruit les toxine, en fonction de l’hydratation, alimentation etc, mais cela peut être très long

a écrit : Biensûr. Faut-il encore essayer de comprendre ceux qui se sont mis à en prendre -et bien heureusement à arrêter-, car consommer de la drogue n'est pas que là pour la récré, mais souvent un dernier recours pour avoir un semblant d'échappatoire à la vie... Et la prise de drogue dans les milieux bourgeois est-ce aussi une échappatoire à la dure réalité de la vie ??

a écrit : C’est surtout parce que démontrer un trafic de stupéfiants est extrêmement long et difficile.
Choper un chouf ou un vendeur ce n’est pas bien compliqué. Mais ce ne sont pas eux qui tiennent les trafics. Ils sont facilement remplaçables.
De plus, ils possèdent très peu de produits sur eux et sont le plus s
ouvent mineurs. Autrement dit ils ne risquent pas grand chose parce que la simple détention de produits stupéfiants (il faut de grosses quantités et des preuves de transactions pour pouvoir considérer comme un trafic) est généralement punie d’un simple rappel à la loi. Ils sont donc relâchés avant même la fin de la procédure.

Prouver l’existence d’un trafic impose donc d’effectuer des filatures, des planques, des écoutes, d’obtenir les témoignages d’acheteurs, etc.
Les procédures font de ce fait plusieurs milliers de pages et nécessitent des mois voire années d’enquête, pour des peines souvent inférieures au temps d’enquête.
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J'ai suivi une formation sécurité et j'ai été former par des opj la réponse qu'ils nous donner c'était qu'ils savait très bien ou se trouvaient les dealer mais par rapport à l'économie parallèle installer ils préféraient ca plutôt que d'en arrêter quelques un ,que le trafic s'arrête et que les vols et agressions reprennent alors que durant le trafic ils sont dans leurs quartier tranquille.......et ils payent des gens qui en on sûrement besoin ,comme les nourisses,les gueteurs et autres ......c'est principalement due à l'économie parallèle

a écrit : C’est surtout parce que démontrer un trafic de stupéfiants est extrêmement long et difficile.
Choper un chouf ou un vendeur ce n’est pas bien compliqué. Mais ce ne sont pas eux qui tiennent les trafics. Ils sont facilement remplaçables.
De plus, ils possèdent très peu de produits sur eux et sont le plus s
ouvent mineurs. Autrement dit ils ne risquent pas grand chose parce que la simple détention de produits stupéfiants (il faut de grosses quantités et des preuves de transactions pour pouvoir considérer comme un trafic) est généralement punie d’un simple rappel à la loi. Ils sont donc relâchés avant même la fin de la procédure.

Prouver l’existence d’un trafic impose donc d’effectuer des filatures, des planques, des écoutes, d’obtenir les témoignages d’acheteurs, etc.
Les procédures font de ce fait plusieurs milliers de pages et nécessitent des mois voire années d’enquête, pour des peines souvent inférieures au temps d’enquête.
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Et donc C'est quoi la morale ?
Faire iech les gens bien en leur mettant des pv, en faisant des contrôles suspects, en donnant des leçons de morale alors que les flics eux même ne respectent pas toujours les lois... mais ne pas faire leur vrai métier avec des enquêtes... ???
Non désolé je n'adhère pas.

a écrit : Eh bien je dirais non les seules personnes à qui ces drogues font du bien peuvent parfois êtres des gens malades et où la substance de certaines plantes peut atténuer, diminuer certains effet de la maladie voir réduire les crises....notamment le cannabis pour certaines pathologies Côme la sep,la maladie de crown,parkinson, la myopathie, le glaucome,l'hypertension intracranienne, l anorexie, la depression, l'anxiété chronique j'en passe.. Afficher tout Tout à fait d'accord. Il ne faut pas oublier cet aspect.

mais dans ce cas là les gens ne consomment pas de la merde (résine avec des saloperies dedans) mais les fleurs et consomme de façon ciblée (moment, quantité...)

a écrit : J'avais entendu dire que la substance du cannabis pouvait se stocker dans les graisses et donc potentiellement faire effet lors d'un moment de stress. En tant que marin, nous sommes régulièrement soumis à un test de contrôle et ceux étant positif durant leurs congés, arguant qu'il était tout à fait légal de consommer du cannabis dans certains pays, avaient reçu une fin de non recevoir en ce sens. Afficher tout Avec du cannabis absolument pas, le THC n'a pas du tout cet effet. En revanche le lsd peut provoquer des remontées même des années après, particulièrement si on perd rapidement du poids.

a écrit : Non mais peut être se pencher sur le cannabis médical.
Plutôt que de se gaver de médocs pleins de substances plus chimiques les une que les autres un bon joint de temps en temps ne ferait peut être pas de mal
T ouf lol faut bien faire fonctionner c’est empoisonneur de labos pharmaceutiques

a écrit : T ouf lol faut bien faire fonctionner c’est empoisonneur de labos pharmaceutiques Oh un troll...

a écrit : Absolument pas, la durée de positivité au thc dans les urine varie énormément en fonction de la consommation de la personne.
Chez une personne qui ne consomme pratiquement jamais ou jamais (1 joint/mois et moins) c’est à peu près une semaine oui, mais chez une personne qui consomme bien plus, régulièrement, le t
hc reste dans les urines pendant très très longtemps, et peut aller jusqu’à 2 mois. Cela dépend aussi de comment l’organisme détruit les toxine, en fonction de l’hydratation, alimentation etc, mais cela peut être très long Afficher tout
Alors je n'ai pas ta connaissance "scientifique" de la question. Mais il se trouve que j'ai une connaissance empirique de celle-ci et sur une bonne cinquantaine de tests urinaires que j'ai fait pratiquer dans ma vie, le record pour un test positif au cannabis est, selon ma petite expérience de terrain, 11 jours après la dernière consommation.

a écrit : "On a voulu trouver le rêve américain alors qu'on est dans le vortex. Tu veux abandonner ? T'es conscient j'espère qu'on a touché le nerf central ! Oh regarde ! Il y a deux bonnes femmes qui baisent un ours polaire !" On ne sortira jamais d'ici sans chaussures de golfs...

a écrit : "On a voulu trouver le rêve américain alors qu'on est dans le vortex. Tu veux abandonner ? T'es conscient j'espère qu'on a touché le nerf central ! Oh regarde ! Il y a deux bonnes femmes qui baisent un ours polaire !" youtu.be/qSaNq_CPB70

Je suis gros et j’ai déjà pris du LSD, ça veut dire qu’il faut surtout pas que je perde de poids ?
Ou alors je perds vite du poids et paf, une perche gratos !!

Cela m’est effectivement déjà arrivé avec le LSD, 3 semaines après la prise , en plein concert de psych rock , petite remontée d’une demie heure . C’était sympa!

a écrit : Donc l'idée serait de donner le statut de pharmacien aux dealers ?? Y a bien des fois il faudrait plutot donner le statut de dealer de rue au pharmacien ,et ''baron'' au actionnaires de labo pharmaceutique ...

a écrit : Donc l'idée serait de donner le statut de pharmacien aux dealers ?? Non, de faire passer certaines drogues comme médicaments afin d éviter que ces gens doivent aller se fournir de manière illégale et dangereuse pour se soigner et faire d eux des délinquants plus que des patients....Les pharmaciens ne sont que des dealers légaux ( sub, methadone, ketamine, lamaline, morphine et j'en passe sont fournie de manière légale sur ordonnance)

a écrit : C’est surtout parce que démontrer un trafic de stupéfiants est extrêmement long et difficile.
Choper un chouf ou un vendeur ce n’est pas bien compliqué. Mais ce ne sont pas eux qui tiennent les trafics. Ils sont facilement remplaçables.
De plus, ils possèdent très peu de produits sur eux et sont le plus s
ouvent mineurs. Autrement dit ils ne risquent pas grand chose parce que la simple détention de produits stupéfiants (il faut de grosses quantités et des preuves de transactions pour pouvoir considérer comme un trafic) est généralement punie d’un simple rappel à la loi. Ils sont donc relâchés avant même la fin de la procédure.

Prouver l’existence d’un trafic impose donc d’effectuer des filatures, des planques, des écoutes, d’obtenir les témoignages d’acheteurs, etc.
Les procédures font de ce fait plusieurs milliers de pages et nécessitent des mois voire années d’enquête, pour des peines souvent inférieures au temps d’enquête.
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Et si les peines pour les "petits" étaient massivement augmentées, seraient-ils si facilement remplacés ?
La seule chose qui manque, tant chez nous qu'ailleurs, c'est une volonté politique. Mieux vaut garder le couvercle sur la Cocotte-Minute...

a écrit : C’est surtout parce que démontrer un trafic de stupéfiants est extrêmement long et difficile.
Choper un chouf ou un vendeur ce n’est pas bien compliqué. Mais ce ne sont pas eux qui tiennent les trafics. Ils sont facilement remplaçables.
De plus, ils possèdent très peu de produits sur eux et sont le plus s
ouvent mineurs. Autrement dit ils ne risquent pas grand chose parce que la simple détention de produits stupéfiants (il faut de grosses quantités et des preuves de transactions pour pouvoir considérer comme un trafic) est généralement punie d’un simple rappel à la loi. Ils sont donc relâchés avant même la fin de la procédure.

Prouver l’existence d’un trafic impose donc d’effectuer des filatures, des planques, des écoutes, d’obtenir les témoignages d’acheteurs, etc.
Les procédures font de ce fait plusieurs milliers de pages et nécessitent des mois voire années d’enquête, pour des peines souvent inférieures au temps d’enquête.
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Oui, ça a l'air de du fameux " coup d'épée dans l'eau" mais il faut le faire. Il ne faut pas accepté. C'est l'éternel histoire de l'humain contre la bête.

a écrit : Non mais peut être se pencher sur le cannabis médical.
Plutôt que de se gaver de médocs pleins de substances plus chimiques les une que les autres un bon joint de temps en temps ne ferait peut être pas de mal
les nerones en moins c'est rembouse par la secu ?

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