La crampe de l'écrivain l'empêche d'écrire uniquement

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La "crampe de l'écrivain" est une dystonie particulière (contraction incontrôlable de muscles). L'écrivain atteint de cette "crampe" se retrouve alors incapable d'écrire, sa main étant comme paralysée. Cependant, il reste capable de réaliser avec cette même main toutes sortes d'autres tâches, y compris certaines faisant appel aux mêmes muscles.


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J'en suis atteinte. Cette maladie stagne ou évolue, on m'a conseillé les injections de toxine botulique pour paralyser le nerf. Je suis handicapée pour toute tâche NECESSITANT UNE CERTAINE MINUTIE en plus d'écrire : maquillage des yeux, enfiler une aiguille, coloriage, peinture délicate, ETC.... Autrement tout le reste se fait sans problème. La prise de caféine, théine, les efforts sportifs, jardinage n'arrangent pas les choses s'il faut juste après écrire. Je ressens une douleur diffuse dans la main et cette dernière dérape et déchire le papier si je ne contrôle pas cette main avec l'autre main et psychologiquement. De toutes les façons je n'écris pas 5 mn. La toxine botulique affaiblissant les muscles, je ne l'ai pas acceptée, je vis avec mon handicap. Taper sur un clavier ne pose aucun problème. Auparavant j'écrivais énormément et la calligraphie était ma passion. J'ai fait aussi la sténo. Impossible aujourd'hui. A 28 ans j'ai pris un congé de maternité, j'ai n'ai pratiquement pas écrit et quand j'ai voulu reprendre le travail (Secretaire) je ne pouvais plus écrire sans douleur. J'ai eu un 2eme enfant 5 ans plus tard. A sa scolarité au collège (classe de 5ème) il a développé la même "tare". Aujourd'hui ingénieur en optronique, c'est un problème il écrit peu et tremble énormément de la main

N'y a t il pas une composante psychologique comme la peur de la page blanche ou une telle recherche de perfection qu'elle en devient paralysante si la personne ne l'atteind pas ?

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android

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Ca ressemble à l'anecdote suivante, un espèce de trouble plus psychologique que physique

Jamais eu sa pourtant jen ai ecrit des pages à la fac hein ...

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android

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Il y a les troubles musculo-squelettique qui frappe aussi d'autres professions, avec des mouvements très répétitifs.
Lié à la surexploitation moderne et la "rationalisation" des process.

C'est tout aussi dommageable pour la vie professionnelle des individus qui en souffrent. D'autant que ces très léger handicaps sont très peu reconnus.
:-/

a écrit : J'en suis atteinte. Cette maladie stagne ou évolue, on m'a conseillé les injections de toxine botulique pour paralyser le nerf. Je suis handicapée pour toute tâche NECESSITANT UNE CERTAINE MINUTIE en plus d'écrire : maquillage des yeux, enfiler une aiguille, coloriage, peinture délicate, ETC.... Autrement tout le reste se fait sans problème. La prise de caféine, théine, les efforts sportifs, jardinage n'arrangent pas les choses s'il faut juste après écrire. Je ressens une douleur diffuse dans la main et cette dernière dérape et déchire le papier si je ne contrôle pas cette main avec l'autre main et psychologiquement. De toutes les façons je n'écris pas 5 mn. La toxine botulique affaiblissant les muscles, je ne l'ai pas acceptée, je vis avec mon handicap. Taper sur un clavier ne pose aucun problème. Auparavant j'écrivais énormément et la calligraphie était ma passion. J'ai fait aussi la sténo. Impossible aujourd'hui. A 28 ans j'ai pris un congé de maternité, j'ai n'ai pratiquement pas écrit et quand j'ai voulu reprendre le travail (Secretaire) je ne pouvais plus écrire sans douleur. J'ai eu un 2eme enfant 5 ans plus tard. A sa scolarité au collège (classe de 5ème) il a développé la même "tare". Aujourd'hui ingénieur en optronique, c'est un problème il écrit peu et tremble énormément de la main Afficher tout Ma mère en était atteinte.
Impossible pour elle d’écrire quoi que ce soit.
Elle a dons apprit à écrire de la main gauche. Pas facile.
En revanche, elle n’avait aucun mal pour écrire sur une surface verticale (tableau).
Aucun remède n’existait a l’époque, et je crois qu’aujourd’hui il n’y a toujours rien d’efficace.
J’avoue y penser de temps en temps en ayant peur que ce soit héréditaire.