Émile Coué était un psychologue et pharmacien français qui développa une théorie d'autosuggestion selon laquelle le fait de se répéter et convaincre que l'on va bien ou mieux va effectivement amener une amélioration de son état. Cette méthode Coué est passée dans le langage courant pour désigner le fait de se dire que tout va bien en évitant de se préoccuper du négatif.
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Comme quoi l'inconscient, foutaise. Ce qui compte c'est que nous pensons librement au moment présent à travers le prisme de notre subjectivité.
C'est l'histoire d'un homme qui tombe d'un immeuble de 50 étages et qui tout le long de sa chute se dit: "Jusqu'ici tout va bien.... Jusqu'ici tout va bien....." référence a La haine bien sur!!
Dans de nombreux pays la méthode Coué est considérée comme une réelle thérapie, une bonne méthode pour acquérir la santé via l'optimisme. Il n'y a qu'en France où elle est connotée péjorativement ; il vaut mieux chez nous voir les choses sous leur vrai jour (quitte à en concevoir ressentiment et morosité) plutôt que de les voir sous un éclairage favorable, indice d'un esprit naïf et benêt.
Le pessimisme de l'intelligence plutôt que l'optimisme de la volonté !
Il est un fait avéré par la majorité du corps médical qu'il y a une relation entre la santé physique et la "santé" morale (se sentir heureux, confiant, ...)
Et l'inverse est également vraie, être en pleine forme permet d'aller mieux dans sa tête.
www.kino-quebec.qc.ca/effets.asp
Fais comme j'ai fait à l'époque, bois du thé et et mange des sucettes :)
Cousin de Pangloss?
Il existe aussi l effet inverse ou la santé de la personne ce dégradé juste parce qu elle ce dit qu elle ne va pas bien généralement elle s accompagne par une prise énorme de médicament diverse que le patient prend sans prescription et est alliée a une sorte de dépendance a ceux si
Pour la guérison seul la psychologie et les médicament dit placebo( sans aucun réel effet sur le corp) sont prescrit.
Je vais bien tout va bien je ne vois pas pourquoi pourquoi ça n'irait pas
Une pratique utilisée en hypnose, non ?
Je suppose que cela fait appel à l'imaginaire. En effet, lorsque je suis triste par exemple, je m'imagine dans un endroit calme et reposant (dans le meilleur des mondes possibles) et tout de suite, ça va mieux !
Ou alors, on a froid et on s'imagine sous sa couette au coin du feu, où là on sens une sorte de chaleur au niveau de notre haut du corps.
C'est fou les influences qu'on peut avoir pour améliorer son état ! Mais c'est vrai que si on est dépressif, on va pas se guérir en disant que de toute façon, la vie c'est nul... Mais attention à ne pas trop ignorer les problèmes !
Simplement etre optimiste... chaque problème a sa solution et même si on a pas envie sourire tous les jours...
Et dire que par chez moi j'entends plein de gens dire "c'est la méthode Cauet !" ...
Un petit exercice simple de la methode Coué consiste à dire tous les matins a voix haute et avec enthousiasme 20 fois : chaque jours, et a tout point de vue, je vais de mieux en mieux"
Faut y croire et on se persuade que tout va bien :-)
Cette méthode est très prisée par les étudiants de tous âges : le fait de se persuader qu'on va réussir un examen, simple évaluation ou concours permet de réduire notablement le stress. On a alors un résultat "meilleur" résultat qu'en ayant angoissé pendant l'épreuve.
Ce principe de la méthode Coué peut être mis en correspondance avec celui de l'effet Pygmallion où un individu va s'enfermer dans un comportement, une posture conforme au regard que porte autrui sur cet individu. A titre d'exemple, un élève qui se voit sans cesse qualifié de turbulent ou d'ingrat, va adopter un comportement à l'image de la représentation que l'enseignant se fait se lui.
Dans les deux cas, ces deux principes montrent qu'une représentation imagée et véhiculée de soi est porteuse d'un impact réel dans sa psychologie et sa façon d'agir dans le monde.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. A chaque étage il se répète : « Jusqu’ici tout va bien. » « Jusqu’ici tout va bien.» « Jusqu’ici tout va bien. »… mais l’important c’est pas la chute : c’est l’atterrissage. »