Si les plantes d'intérieur penchent du côté de la lumière, c'est à cause d'une hormone végétale de croissance nommée auxine. Elle est responsable de l'allongement cellulaire et fuit la lumière en allant du côté opposé. La tige s'allonge donc plus du côté sombre ce qui provoque une courbure de la tige, la tige se tournant alors vers la lumière. Ce phénomène est qualifié de phototropisme positif.
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Ok j'ai pas compris la tige s'allonge du côté opposé à la lumière ou elle se tourne du côté de la lumière ?
Je ne suis pas végétaliste, ducoup je ne connais pas trop le fonctionnement des organismes végétaux, mais je suis intrigué par cette notion de repulsion de l'auxine lié à la lumière. Une reponse partiel a déjà été formulé avec les protéines phot1 et phot2 mais que font-elles ?
Il me paraîtrait plus logique que l'auxine subisse une inhibition de synthèse côté lumineux, donc synthétisée uniquement côté sombre, ainsi elle peut-être sécrétée pour agir sur des recepteurs de cellules voisines...
Ou alors dégradation de l'auxine côté lumineux... Dans les deux cas cela entraînerait un gradient de concentration qui expliquerait la différence de croissance.
Mais j'avoue que je n'arrive pas trop à imaginer le fonctionnement d'un transport permettant à cette phytohormone de se diriger entre les cellules sang passer par les canaux qui plus est...
Si il y a un connaisseur qui le ça ! Je serais ravi d'avoir une explication.
Cf : cours de biologie 2 ème de prépa
Je viens apporter certaines explications dans le mode d'action de l'auxine ( l'acide bêta indol-acétique -> AIA). Qui est bien une hormone (c'est un substance sécrété dans un système circulatoire destiné à agir sur un organe cible. C'est une hormone de croissance vegetale). Ici AIA circule de manière symplasmique dans le phloeme et de manière apoplasmique dans les parois, son transport est toujours polarisé (de l'apexe à la zone cible).
La lumière est capté par des photorécepteurs (pigments photosensible, je suppose que cela va entraîner un activation de se pigment et donc la transcription d'une substance par le biais d'un facteur de transcription mais il s'agit d'une supposition mon cours ne l'explique pas) il va y avoir sécrétion de l'hormone végétale par la cellule. Contrairement à se qu'on pourrait croire la lumiere ne détruit pas AIA mais favorise sont déplacement, et la sorti de la cellule (par le biais de transporteur protéique ?). Ceci aura pour concéquence de retrouver AIA dans les zones les moins éclairé.
AIA une fois dans la cellule cible va se fixer sur des récepteur membranaire et cytosolique (à l'intérieur de la cellule). Celle-ci aura une double action, il va y avoir ouverture de canaux voltage dépendant par hyper polarisation membranaire du à l'activation de ATPase à protons. Ceci va entraîner la turgescence de va cellule.
De plus les récepteur cytosolique vont favorisé la transcription de gênes permettant la synthèse de consistuant parietaux et menbranaire. Le tout favorisant l'auxese (elongation de la cellule). Elongation imposée génétiquement par la repartition de microfibrille de cellulose.
Mais se phénomène ne s'effectue que durant le développement de la plante ce qui fait que lors de la maturité de celle-ci elle reste figé et on peut ainsi voir parfois dans des champs de tournesol certains qui "boude" le soleil. Car lorsque la cellule végétale est dite secondaire il y a mise en place d'une paroi riche en lignine et donc l'elongation de celle ci est impossible.
On va pouvoir aussi retrouver AIA dans de nombreux autres exemples de croissance végétales.
Voilà j'espère avoir répondu aux questions de certains. Naturellement je ne suis qu'étudiant et ceci n'est qu'un résumé de mon cours donc si un professeur/chercheur y trouve une erreur, je suis ouvert à la critique.
Ps : désolé pour les nombreuses fautes d'orthographes
Voilà pourquoi il est bon de tourner régulièrement le pot des plantes proches des fenêtres si l'on veut obtenir un équilibre plus homogène :)
Erreur de ma part dans mon précédent commentaire la paroi secondaire n'est pas plus riche en lignine mais en cellulose. La rendant plus rigide.
Pour exemple, on compte la thyroïde qui libère dans le sang deux hormones : la t3 et la t4, dont le dosage veineux détermine le bon fonctionnement de la glande