Truddi Chase et ses 92 identités

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Truddi Chase fut une autrice américaine connue pour ses livres traitant de son trouble dissociatif de l'identité. Abusée par ses parents dés son plus jeune âge, elle développa pas moins de 92 identités différentes selon son thérapeute. Cette dissociation lui permettait de gérer le traumatisme subi.


Tous les commentaires (42)

a écrit : Je partage ton point de vue sans être psychiatre. J’ai beaucoup de mal avec les diagnostics de Tdi, hpe,hpi, bipolaire, etc, car j’ai l’impression que ça dépend plus du spécialiste qui ausculte que du patient mais je me trompe sûrement. Si cela t'intéresse, si tu veux te documenter, et avoir accès à des études et des argumentaires de personnes qualifiées, je te conseille l'ouvrage de Mikkel Borch-Jacobsen : "folies à plusieurs", que j'ai trouvé aussi passionnant que pertinent.
Il montre qu'effectivement, ces diagnostiques sont ceux de psychiatres, qui cherchent avant tout à confirmer des théories (les leurs, celles en vogue, celles de Freud, de Jung) plus qu'à découvrir des causes de maladie. Le problème, c'est que le patient a tendance à suivre la démarche, et à confirmer ce que le spécialiste attend de lui...
D'où l'idée de construction de la maladie. Tant qu'on cherche des TDI, on en trouve, puisqu'on en fait. La preuve, le TDI est passé de mode pour laisser la place à la dépression. Comme le TDI avait effacé les grandes névroses du XIXe siècle. Ce n'est pas que ces maladies n'existent plus. C'est qu'elles ne sont plus construites.

Une autrice. Quel mot horrible alors que la langue française est si belle. Des idéologues sont en train de la massacrer.

a écrit : Je partage ton point de vue sans être psychiatre. J’ai beaucoup de mal avec les diagnostics de Tdi, hpe,hpi, bipolaire, etc, car j’ai l’impression que ça dépend plus du spécialiste qui ausculte que du patient mais je me trompe sûrement. Mettre les gens dans des cases ca n'a jamais marché, pour avoir côtoyé quelques psys (BA QUOI??? ^^ ) j'ai plus l'impression que leur travail est de nous comprendre et de nous aider et pas de poser un diagnostic, c'est pas pour rien qu'il y a un secret professionnel!

Je parle beaucoup plus de moi sur internet a des gens en qui je fais confiance que dans le monde matériel, et on me demande de l'aide parfois, cette histoire de personnalité multiple, je ne sais pas ce que c'est, mais je sais un truc, c'est que c'est pas toujours évident de garder les yeux ouverts et de rester entier dans ce monde de taré.

-Bonjour, je vous apelle au sujet d'une formation à laquelle vous avez droit et je me permet de...
-ATTENDEZ... Mais écoutez moi nom d'un chien!!!
-Je vous écoute?
-Ca ne m'intéresse pas.
-Et pourquoi ca vous intéresse pas?
-Parce que... ca ne m'intéresse pas.
-Mais monsieur, écoutez moi, je ...
-Merci et bonne journée, madame. CLAC. (au bout d'un moment, le blabla et les violons pour nous vendre de la merde à prix d'or, ca commence à bien faire.)

Quand je regarde mon chat dans les yeux, je l'envie, y'a tellement de sincérité dans le noir de ses pupilles, une force mentale qui se résume à : je t'aime bien, où je te déteste", y'a pas de juste milieu, et je pense que là où on se plante, c'est dans ce domaine, ces gens qui font une dissociation de personnalité c'est, je le pense, parce qu'on les a pris pour des cons pour en profiter, perso je comprends pas ça, qu'on puisse mentir aux gens avec tellement d'assurance, mais c'est un fait, y'a des gens qui aiment faire ca, prendre des innocents et détruire leur conscience.

On se défend comme on peut, essayons de ne pas perdre le contrôle, ce sera déja bien.

a écrit : Une autrice. Quel mot horrible alors que la langue française est si belle. Des idéologues sont en train de la massacrer. C’est le féminin de auteur depuis toujours. Aucun rapport avec une idéologie actuelle de féminisme exacerbé.

Cela provient du latin auctor/auctrix et était déjà utilisé au 1er siècle de notre ère.

A l’inverse, auteure est un néologisme étymologiquement erroné.

a écrit : Si cela t'intéresse, si tu veux te documenter, et avoir accès à des études et des argumentaires de personnes qualifiées, je te conseille l'ouvrage de Mikkel Borch-Jacobsen : "folies à plusieurs", que j'ai trouvé aussi passionnant que pertinent.
Il montre qu'effectivement, ces diagnos
tiques sont ceux de psychiatres, qui cherchent avant tout à confirmer des théories (les leurs, celles en vogue, celles de Freud, de Jung) plus qu'à découvrir des causes de maladie. Le problème, c'est que le patient a tendance à suivre la démarche, et à confirmer ce que le spécialiste attend de lui...
D'où l'idée de construction de la maladie. Tant qu'on cherche des TDI, on en trouve, puisqu'on en fait. La preuve, le TDI est passé de mode pour laisser la place à la dépression. Comme le TDI avait effacé les grandes névroses du XIXe siècle. Ce n'est pas que ces maladies n'existent plus. C'est qu'elles ne sont plus construites.
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Merci pour la référence. Je regarderais.
Les gens concernés sont certainement malade mais effectivement les mettre dans des cases alors que le cerveau est d’une complexité énorme me paraît simpliste.

Cela me rappelle le film Split de M. Night Shyamalan avec James Mcavoy qui traite sur les fractures mentales des personnes présentant un trouble dissociatif de la personnalité même si cela reste de la fiction mais la base de la trame du film hein

a écrit : Cela me rappelle le film Split de M. Night Shyamalan avec James Mcavoy qui traite sur les fractures mentales des personnes présentant un trouble dissociatif de la personnalité même si cela reste de la fiction mais la base de la trame du film hein Il s'est inspiré de l'histoire de Billy Milligan, plusieurs fois cités dans les commentaires.

a écrit : Je me doutais que j’allais retrouver des liens vers les vidéos d’Olympe ici.
Attention à prendre avec des pincettes
ce que disent certains youtubeurs prétendant être atteints de TDI.
Beaucoup romançant exagérément les symptômes, voire les inventant pour certains, ou confondant les symptômes du TDI av
ec ceux liés à d’autres troubles.

Voici un article remettant un peu en perspective tous les contenus traitant du TDI qui fleurissent un peu comme par magie avec, en sources, des articles scientifiques préférables aux vidéos de youtubeurs dont on n’a aucun moyen de vérifier l’authenticité du diagnostic.

menace-theoriste.fr/le-trouble-dissociatif-de-lidentite-nest-pas-ce-que-vous-pensez/
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Merci pour ce complément. Vous faites bien de mettre en garde !
On est d’accord sur le fait que la pathologie n’est pas vérifiable mais cette jeune fille explique plutôt bien les différents alters et leurs rôles.

a écrit : C'est un réel problème de parler de TDI comme tu le fais : comme un diagnostique basé sur des relevés factuels et positifs issus de troubles physiologiques vérifiables et mesurables.
Car le TDI n'est rien de tout cela. Ce n'est rien de plus qu'un diagnostique hypothétique, reposant sur une thé
orie complètement relative à une culture, un moment précis de l'évolution de la psychiatrie, et donc d'un psychiatre. (Allons dire à un chaman qu'il souffre de TDI, ou un patient de Freud, pour qui seule la névrose est sérieuse (en simplifiant)). Tel médecin, tel époque, telle maladie.
Comme je le disais, la plupart des cas de TDI ont été reconstruit suite à des contre-enquêtes, et la plupart du temps, ces TDI sont construits inconsciemment par la dualité patient-medecin.
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Alors, excuse-moi si je t’ai blessé. Je me suis beaucoup intéressée aux troubles mentaux durant mes études.
Le TDI a quelque chose de fascinant pour moi, mais peut-être que je n’en ai pas saisi l’essence car je ne le vis pas.

Le problème de ce qu’on appelle la « psychologie » c’est effectivement qu’elle est ethnocentrée et datée. Je pense que c’est une science qui doit s’adapter sans cesse car son but est de comprendre la psyché humaine et de donner des clés pour soigner ce que l’on qualifie de « maladie » actuellement.
Nous sommes bien obligés d’utiliser des mots pour décrire un trouble, si on veut l’étudier ou le soigner.

Comment aurais-je dû écrire pour être au plus près de la vérité selon toi ? Sachant que chaque humain est différent ?

a écrit : Tout à fait !

Le cas de Billy Milligan est assez explicite. Ses 24 personnalités distinctes, pouvaient tout autant être de Genre ( homme ou femme) différents, à la sexualité Hétérosexuelle comme Homosexuelle.
Il y avait, par exemple Timothy, 15 ans, qui travaillait chez un fleuriste, et qui avait
une relation homosexuelle avec un client. De même, Aladana, 19 ans, Lesbienne, qui était celle qui commettait les violations.

C'est à l'âge de 5 ans, que Billy commença à être abusé sexuellement et torturé par son beau-père, un alcoolique pédéraste.
Il développa celui qui semble être le premier "autre", David, qui était "le gardien de la haine", une identité qui lui permettait de canaliser la douleur ressentie, par instinct de survie.
Peut-être pourrait-on dire que cette personnalité était une sorte de "bouc émissaire".

Suite à la lecture de toutes ces personnalités, on mesure à quel point -bien que distinctes- elles lui permettait de canaliser toutes les injustices ressenties et de créer des échappatoires physiques et mentales.

"Physiques et mentales", car il se dédoublait en prenant des identités étrangères (Yougoslave, Britannique, etc), allant jusqu'à parler avec l'accent que ces personnes avaient en Anglais des États-Unis, ou encore avec le statut social de cette personnalité.
Billy employait également le langage de l'âge de chacune des personnalités, dont l'une n'était autre qu'une petite fille de trois ans.
Selon la personnalité employée, il pouvait également écrire soit de la main gauche comme de la droite, ainsi que d'adopter toute la gestuelle propre à chacune de ses personnalités.

Il avait même une identité (Allen, 18 ans), qui était la seule à fumer des cigarettes, quant elle ressortait...

Ainsi qu'une autre (Steve, 21 ans) qui imitait les autres "autres" de Billy.

Arrêté en octobre 1977, pour les trois agressions et viols commis par son "autre" Aladana (je le rappelle: la personnalité d'une jeune femme Lesbienne), Billy fut jugé et incarcéré en hôpital psychiatrique.
Après 10 années de reconstruction mentale, il fut finalement relâché et blanchi de toute accusation judiciaire.
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C'est pas cette personne qui inspira le personnage de Split ?

a écrit : Cela me rappelle le film Split de M. Night Shyamalan avec James Mcavoy qui traite sur les fractures mentales des personnes présentant un trouble dissociatif de la personnalité même si cela reste de la fiction mais la base de la trame du film hein Déjà mentionné plus haut pauvre fou !

a écrit : C'est pas cette personne qui inspira le personnage de Split ? Billy servit effectivement d'inspiration à ce film.

Il y eut également un ou des contacts entre Billy et le Réalisateur James Cameron, pour qu'un film biographique soit tourné.
Le projet n'a pas prospéré.

Bonne journée.

a écrit : Alors, excuse-moi si je t’ai blessé. Je me suis beaucoup intéressée aux troubles mentaux durant mes études.
Le TDI a quelque chose de fascinant pour moi, mais peut-être que je n’en ai pas saisi l’essence car je ne le vis pas.

Le problème de ce qu’on appelle la « psychologie » c’est effectivement qu’
elle est ethnocentrée et datée. Je pense que c’est une science qui doit s’adapter sans cesse car son but est de comprendre la psyché humaine et de donner des clés pour soigner ce que l’on qualifie de « maladie » actuellement.
Nous sommes bien obligés d’utiliser des mots pour décrire un trouble, si on veut l’étudier ou le soigner.

Comment aurais-je dû écrire pour être au plus près de la vérité selon toi ? Sachant que chaque humain est différent ?
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Non non, tu ne m'as pas blessé. Et quand je dis que "c'est un problème de parler de TDI comme tu le fais", je ne dis bien évidemment pas que tu es, ou que tu as un problème, ou même que tu en causes.
Ce que je regrette dans ton commentaire c'est le manque de pincettes. Tu évoques en effet le TDI comme si c'était un trouble parfaitement diagnostiqué, compris et universellement admis, comme en somme la grippe ou n'importe quelle fracture.
Mais le fait est que ce diagnostique est loin de faire l'unanimité. Et de nombreux psychologues, psychiatres, professeurs et spécialistes refusent ce diagnostique, ne voyant en lui qu'une mode passagère surfant sur l'envie de frisson du moment et l'argent qu'elle génère à travers les livres et les films.
Même les explications proposées sont tout au mieux "vaseuses".
- En cas de trauma le patient fractionne sa conscience, sa personnalité : quel type de trauma ? Quelles prédispositions au patient ? N'importe quel patient (enfant) ? Comment fait-il pour "fractionner" sa conscience ? Et, si c'est inconscient, comme une conscience se fractionne-t-elle ?
- les personnalités ressortent en cas de ressurgissement du trauma : comment une conscience prend-elle le pas sur une autre ? Comment une conscience peut-elle être endormie des années durant ?
Ce ne sont finalement pas des explications. Ce sont de simples conjectures. On est ici bien plus proches de la mythologie que de la science : aucune donnée, aucune loi, aucune expérimentation possible, aucun mécanisme objectif proposé...
Même les données sont interrogées. Sybil a été déconstruite, Milligan aussi... Le TDI n'existe-t-il pas uniquement car on en recherche ? Et, en en cherchant, le psychanalyste ne pousserait-il pas un patient, en souffrance, à chercher la cause de sa souffrance à travers "d'autres lui" ? S'il est encouragé à le faire par une autorité, et félicité lorsqu'il y parvient, puis medicamenté par la suite, alors plus il en cherchera, plus il en trouvera...

a écrit : Non non, tu ne m'as pas blessé. Et quand je dis que "c'est un problème de parler de TDI comme tu le fais", je ne dis bien évidemment pas que tu es, ou que tu as un problème, ou même que tu en causes.
Ce que je regrette dans ton commentaire c'est le manque de pincettes. Tu évoques en effe
t le TDI comme si c'était un trouble parfaitement diagnostiqué, compris et universellement admis, comme en somme la grippe ou n'importe quelle fracture.
Mais le fait est que ce diagnostique est loin de faire l'unanimité. Et de nombreux psychologues, psychiatres, professeurs et spécialistes refusent ce diagnostique, ne voyant en lui qu'une mode passagère surfant sur l'envie de frisson du moment et l'argent qu'elle génère à travers les livres et les films.
Même les explications proposées sont tout au mieux "vaseuses".
- En cas de trauma le patient fractionne sa conscience, sa personnalité : quel type de trauma ? Quelles prédispositions au patient ? N'importe quel patient (enfant) ? Comment fait-il pour "fractionner" sa conscience ? Et, si c'est inconscient, comme une conscience se fractionne-t-elle ?
- les personnalités ressortent en cas de ressurgissement du trauma : comment une conscience prend-elle le pas sur une autre ? Comment une conscience peut-elle être endormie des années durant ?
Ce ne sont finalement pas des explications. Ce sont de simples conjectures. On est ici bien plus proches de la mythologie que de la science : aucune donnée, aucune loi, aucune expérimentation possible, aucun mécanisme objectif proposé...
Même les données sont interrogées. Sybil a été déconstruite, Milligan aussi... Le TDI n'existe-t-il pas uniquement car on en recherche ? Et, en en cherchant, le psychanalyste ne pousserait-il pas un patient, en souffrance, à chercher la cause de sa souffrance à travers "d'autres lui" ? S'il est encouragé à le faire par une autorité, et félicité lorsqu'il y parvient, puis medicamenté par la suite, alors plus il en cherchera, plus il en trouvera...
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Cela signifie quoi quand tu évoques que ces patients ont été déconstruits ? Ils ne sont finalement pas TDI après d'autre analyse ?

Je me demande d'ailleurs si avoir plusieurs personnalités est vraiment un "trouble". Je pense que tout un chacun, on joue un rôle selon la situation : le rôle de son métier au travail avec les codes qui vont avec (cf. Sartre et le garçon de café), le rôle d'époux ou d'épouse, le rôle d'amant, le rôle de parents, le rôle de fils, etc. Et tous ces rôles sont finalement très différents et amène parfois des contradictions.

a écrit : Cela signifie quoi quand tu évoques que ces patients ont été déconstruits ? Ils ne sont finalement pas TDI après d'autre analyse ?

Je me demande d'ailleurs si avoir plusieurs personnalités est vraiment un "trouble". Je pense que tout un chacun, on joue un rôle selon la situation : le
rôle de son métier au travail avec les codes qui vont avec (cf. Sartre et le garçon de café), le rôle d'époux ou d'épouse, le rôle d'amant, le rôle de parents, le rôle de fils, etc. Et tous ces rôles sont finalement très différents et amène parfois des contradictions. Afficher tout
En ce qui concerne le cas de Sybil, par exemple, de nombreux auteurs et journalistes sont parvenus à montrer que le cas avait plus ou moins été monté de toutes pièces dans l'optique du livre sorti.
Il s'est avéré que Sybil n'avait jamais subi de traumatismes particuliers. Qu'avant sa rencontre avec sa psychiatre Wilbur, personne n'avait jamais évoqué de TDI (alors même que Wilbur n'était pas sa première psy). Et que personne d'autre que Wilbur et l'auteur du livre (associée de Wilbur) n'eut jamais de contact avec l'une des 16 autres personnalités de Sybil. En outre, lorsqu'on reprend les journaux de Sybil et Wilbur, on se rend compte que Sybil avait été medicamentée, parfois de façon violente, et que ces médicaments étaient connus pour provoquer des troubles proches des TDI. Bref...
Quant à Billy Milligan, c'est magnifique. La cour de justice n'étant pas certaine du diagnostic de TDI proposé par les psychiatres a fait appel à ... Wilbur ! Qui surfait sur la vague de son livre sur Sybil. On peut donc s'interroger sur son impartialité. Milligan a d'ailleurs fait presque deux ans dans un institut dirigé par un médecin qui refusait de le diagnostiquer en tant que TDI. Quand on relate d'ailleurs les "exploits" des personnalités de Milligan, on est en droit de s'interroger. L'une d'elle parlait serbo-croate. Sauf quand un observateur le parlant aussi était présent. Quel légitimité, alors, accordé à cette aptitude. Une autre écrivait l'arabe. Ou du moins, une autre l'a écrit une fois, quand un des codétenus de Milligan était égyptien... Autre fait intéressant : Milligan fut à la base diagnostiqué pour 10 autres personnalités. Mais on lui en trouva 14 autres quand on lui proposa d'écrire un livre sur sa vie. Comme quoi... Quand on cherche des TDI, on en trouve.

Quant à ton interprétation plus philosophico-sociale, je la rejoins. Nous avons tous des "personnalités", des rôles joués. Et certaines, même, nous collent plus fortement à la peau, au point de rendre difficile la sortie du personnage. Il y a même parfois des chocs : être avec ta copine et croiser un collègue.
Et il est possible que certaines personnes en oublient leur propre personnalité (si cela a un sens). De là à penser que la personnalité puisse se "spliter", qu'une personnalité soit plus vraie qu'une autre... Cela ne me paraît pas autre chose, actuellement, que mythologique. Au sens premier du mythe : une théorie s'appuyant sur les seuls fondements d'une culture pour expliquer l'inexplicable.

a écrit : Il s'est inspiré de l'histoire de Billy Milligan, plusieurs fois cités dans les commentaires. Oui mais je ne fait que dire que cela me rappelle le film Split,fait un effort je n'ai pas parler de l'inspiration qui donne vie à ce film qui d'ailleurs et le deuxième volet d'une trilogie, premier volet incassable, deuxième volet Split, troisième volet Glass,qui naviguent entre films de super-héros et huis-clos psychologique,ça va la c'est moins redondant ?

a écrit : Déjà mentionné plus haut pauvre fou ! Ah oui c'est vrai j'ai oublié,si on donne son avis qui a déjà était donné par d'autres,ça va froisser les seigneurs de l'application,mince qu'es ce qu'il m'a pris d'avoir un avis,en plus le même que d'autres,mais du coup ils sont pareils si on m'a déjà fait la remarque ?

a écrit : Oui mais je ne fait que dire que cela me rappelle le film Split,fait un effort je n'ai pas parler de l'inspiration qui donne vie à ce film qui d'ailleurs et le deuxième volet d'une trilogie, premier volet incassable, deuxième volet Split, troisième volet Glass,qui naviguent entre films de super-héros et huis-clos psychologique,ça va la c'est moins redondant ? Afficher tout Je n'ai fait qu'apporter le lien entre ce film, Split, que tu as très bien cité, et l'histoire de Billy Milligan. Ça me semblait important de le souligner car tout le monde ne connaît pas ce film.
Je ne vois pas en quoi mon commentaire mérite tant d'agressivité.

a écrit : Je n'ai fait qu'apporter le lien entre ce film, Split, que tu as très bien cité, et l'histoire de Billy Milligan. Ça me semblait important de le souligner car tout le monde ne connaît pas ce film.
Je ne vois pas en quoi mon commentaire mérite tant d'agressivité.
Non non je ne répond pas sous la forme de l'agressivité,mais comme ton commentaire était sec je l'ai pris dans le sens bordel c'est bon on a compris ça a déjà était dit il faudrait lire les commentaires,par contre ce commentaire est beaucoup plus appréciable que le premier bref ce n'est rien il y a pire dans le monde,et c'est moi qui est mal interprété ton commentaire je m'en excuse