Un milliardaire à la tête de New York

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La ville de New York a pour maire un milliardaire, Michael Bloomberg. Il est la vingtième fortune mondiale avec une fortune estimée à 22 milliards de dollars, qu'il a constituée en créant Bloomberg L.P., une société faisant de l'information financière par différents canaux (télévision, radio, etc.). Cependant, il ne coûte pas très cher à la ville : il est rémunéré un dollar symbolique par an.


Tous les commentaires (146)

J'arrive un peu tard, mais on peut également ajouter que ce milliardaire et ex-maire (et oui, ce n'est plus lui!) se déplaçait... En métro ! La ligne qu'il utilisait pour faire le trajet de chez lui à la mairie était d'ailleurs, selon les New-Yorkais, la seule qui n'arrivait jamais en retard.

a écrit : Déchets, tags, odeurs parfois plutôt désagréables, hôtels un peu miteux... On est plus en 1970...

a écrit : Oui, mais si la politique ne rapportait "qu'un" smic, peut être aurions nous plus de sincérité dans cet engagement. Comme pour les grands patrons, il faudrait rémunérer assez pour compenser les responsabilités, mais pas trop pour ne pas créer de vocations uniquement pécuniaire... En tous cas c'est une agréable surprise de constater un peu de bon sens à si haute échelle :) Afficher tout Il n’est pas devenu maire de New-York à 1$/mois pour la gloire.
Son business principal avant ça: information financière...Et son premier client: la bourse de New-York.
Son deuxième business: un réseau de radio... Et la principale: New-York.
Tous les commentaires ont des idées opposées à l’extrême( soit il est le diable en personne, soit c’est un ange), il n’est ni l’un ni l’autre, c’est un businessman, il ne fait rien par altruisme, par contre il a l’intelligence de savoir jouer sur les deux tableaux et s’attirer toutes les classes de votant.
Quant aux dénigrant de certains quartiers, les années seventies, heighties et nineties sont terminées, vous pouvez vous balader l’esprit tranquille pour assister à d’incroyable messes gospel( oui oui, pour le coup c’est comme dans les films), et rentrer peinard à pieds les mains pleines de sacs de boutiques que vous avez visité dans la journée sans vous faire racketter. Essayer de faire ça en france dans des quartier comme les moulins ou l’ariane( Nice), ou autre dans dans différentes villes.
Vos idéaux filmographiques coincés vous font critiquer les gangs New-Yorkais... Vous avez raison... Rassurez-vous avec notre racaille qui nous pourri la vie et que « NOUS » assumons avec nos impôts( et oui, ici ils sont nourri, logé, blanchi ( pas là-bas)), »normal » me direz-vous: « c’est une espèce protégée »!!!!!!!
À lire certains, je ne sais pas si je dois rire ou pleurer.