Le syndrome de Fregoli est un syndrome psychiatrique faisant partie des troubles délirants persistants. Les patients pensent qu’un persécuteur prend l’apparence de leurs proches. Ils suspectent ainsi leurs amis et leur famille, et se sentent suivis ou épiés en permanence.
Le nom du syndrome vient du nom d’un célèbre transformiste italien du XIXe siècle : Leopoldo Fregoli.
Tous les commentaires (68)
Hein?
Oui, un humain avec la conscience d'un chat...
J'veux dire, s'il ne regrette pas d'avoir pété la mâchoire de madame parce qu'elle lui a tennu tête, es ce une pathologie et ca peut être guéri où y'a rien a faire et je peux mettre un coup de poing américain dans la gueule de celui qui a mis un coup de poing dans la gueule de ma soeur en ajoutant que le mec était rugbyman et que ma soeur pèse 60 kilos toute mouillée?
Un jour où l'autre, ca va mal se terminer avec une batte de base ball en alu dans la tronche. Mais pas pour ma soeur.
J'irai en taule, j'assume. Oui monsieur l'agent, je lui ai démonté sa gueule et pété toutes les dents, mais je ne l'ai pas tué. Je ne suis pas un sauvage. Je ne tue pas les animaux.
. Il a tapé en premier sur ma soeur. Et s'il recommence, je lui arrache la tête et je la donne à bouffer à mon chien.
Cela dit, je n'ai rien contre vous, Mr le policier, vous faites votre travail, que je respecte.
J'avoue avoir fait comprendre à un connard que s'il recommence, je le termine...
La prison, après tout, c'est pas si mal en France! Si on ferme sa gueule et qu'on reste zen, les gardiens sont cool ;)
Alors ça parle de parité mais seulement dans les sujets qui les arrangent...
Pour revenir aux commentaires rejetant la psychanalyse, « sans base scientifique », ce n’est sûrement pas aussi simple que cela ! Quid des docteurs/psychiatres également psychanalystes ?
La question est intéressante !
Car ils ne sont pas toujours facile à identifié...
C’est des gens qui lisent tes faiblesses et s’en sèrvent pour te manipuler, te couper de ton entourage et te font croire que tout ceci est de ta faute et tout ce que tu gagne c’est une dependence envers eux.
«connard/connasse » ça me parait léger pour qualifier de tel comportements personnellement !
Je ne suis absolument pas un ayatollah de la psychanalyse, et encore moins de ses gourous, mais dire de la psychanalyse qu’elle ne sert à rien et n’est basée que sur du vent, ça me laisse un peu songeur !
Que penses-tu des docteurs/psychiatres également psychanalystes à côté, en même temps ? Ils font juste ça à côté pour deconner ? Pour passer le temps ? Brouiller les pistes pour leurs patients ? Ce sont de vraies questions, la réponse m’intéresse !
P.S la psychanalyse n'est pas une science. C'est une idée basée sur du vent.
pour savoir ce qui se passe dans la tête de quelqu'un d'autre et comment son cerveau fonctionne, le minimum serait de savoir comment un cerveau fonctionne, des psychanalystes, j'en ai connu beaucoup et aucun n'a pu m'aider, pas faute d'y avoir mis de la bonne volonté mais quand on n'est même pas foutu de savoir comment fonctionne le cerveau d'une tortue et qu'on veut faire croire qu'on sait comment fonctionne le cerveau d'un humain, j'ai juste envie de répondre:
c'est du bala bala.
Un psy m'a sorti un jour que si je ne foutais rien à l'école c'était pour faire chier mes parents... C'est évident, mon but instinctif dans ma vie a 14 ans c'est de pourrir la vie de mes vieux... il a fumé du crack ce mec où il veut juste me faire culpabiliser pour signer des ordonnances?
CONNARD (pas toi hein, le spychologue)
La psychanalyse, je vais être grossier, mais
c'est comme un chimpanzé qui balance du caca a la figure du scientifique qui les étudie.
C'est mon point de vue. En tout cas d'après un psychiatre, je suis névrosé à tendance psychotique, mais je n'ai pas besoin de soins. Alors que d'après les psychologues, j'en ai pour des années d'analyse a 50 € la séance remboursée par la SECU...
Pourtant je fais pas chier le monde, mais il FAUT que je me fasse analyser, en fait je l'ai fait, jeu suis fou, c'est bon? On passe à autre chose?
Faut arrêter de déconner au bout d'un moment, non? On me traite de cinglé alors que je suis non violent, c'est juste que je veux pas entrer dans le moule, qui est cinglé dans l'histoire?
Pareil pour les maçons, profs, boulangers, etc alors ?
Je ne prône en aucun cas pour l’église de la psychanalyse, je dis juste que dire que la psychanalyse ne se base sur rien, que ça ne sert à rien, etc., (je ne parle pas de toi, on l’entend parfois!) c’est drôlement exagéré, réducteur, et avec quelqueS dizaineS d’années de retard !
Je ne dis pas non plus que les psy en tout genre (psychiatres, psychologues, psychanalystes, psychothérapeutes) détiennent la vérité sur le cerveau humain et ont une parole d’évangile, cela serait mentir, je dis juste qu’ils offrent des outils, voir des clés, pour comprendre certains mécanismes humains !
Pour travailler avec certains publics (enfants, et adultes avec certaines difficultés pour faire court), je dis seulement : faites le parie de l’inconscient. Tout n’est pas à rejeter (dans la psychanalyse ici en l’occurrence !)
Et pour ta dernière question pour savoir qui est le cinglé dans l’histoire, vaste question qui est passionnante !^^ quand on s’intéresse à la question de la folie, on rentre dans un monde fascinant, les lignes sont floues ! Tout est question de perception, on est tous le fou de quelqu’un d’autre.
Dans reportage sur la 2 l’autre jour, « 12 jours », une personne atteinte de schizophrénie paranoïde a dit cette phrase magnifique, et au fond plein de bon sens : « J’ai la folie d’un être humain ! ». Ça donne à réfléchir !
Par contre un jour j'ai vu un psychiatre qui m'a dit que je suis névrosé à tendance psychotique, là j'ai eu une réponse. Il m'a proposé des médocs tout en me disant que je n'en avais pas besoin si j'ouvrais un peu les yeux sur la réalité...
Mon cerveau est comme ça. Il faut que je le comprenne...
les psychologues, ils pensent savoir ce qu'on pense et comment on pense, mais c'est faux... les psychiatres, leur taf c'est de déceler les dysfonctionnement du citron. C'est des mécaniciens.
cela dit, la psychanalyse ne m'a aidé qu'à une seule chose: m'accepter tel que je suis.
Je ne rentrerai JAMAIS dans le moule, je ne serai JAMAIS bien obéissant, je n'y peux rien, c'est ainsi. Dès que l'on me donne un ordre, j'envoie chier, c'est instinctif, un réflexe! ^^
j'ai pas choisi ce pseudo pour rien...
J'ai pas besoin d'être aidé, si j'ai besoin, j'en ferai la demande! ^^
Quand je vois la bande de tarés qu'il y a sur le net lambda, je me dis que ca va pas trop mal dans mon réseau de neurones...
Le nom me disait quelque chose et en effet, une anecdote en rapport avait déjà été publiée l'année passée, avec en commentaire l'info sur ce syndrome
mobile.secouchermoinsbete.fr/80379-leopoldo-fregoli-precurseur-du-changement-de-costumes
Le psychanaliste n'a pas besoin de connaître le fonctionnement du cerveau pour comprendre. Il se base sur des patterns et des associations pour créer une sorte de diagramme de l'algorithmie d'un cerveau. Ça lui permet, en fonction du résultat donné par le client/patient, de savoir où le mécanisme cognitif a déraillé. Ce n'est pas parce que l'on a été déçu, blessé ou que quelqu'un nous a dit quelque chose que l'on ne voulait pas entendre que cette personne dit "du vent". Ce n'est pas parce que ce n'est pas "une science" à proprement parler que c'est faux. C'est plutôt la tendance scientiste qui est dangereuse en ce moment. Dès qu'un scientifique (indéterminé) a dit, alors c'est vrai. Il ne faut pas oublier que dans ces scientifiques il y a des... géologues... (Brrrr...)
Et la perversion narcissique, c'est plus que "c'est un gros connard" mais moins que ce battage que l'on fait autour, et que chaque ex qui nous a dit nos 4 vérités devient un(e) pervers(e) narcissique parce que c'est vachement vilain d'en être un(e).
N'en déplaise aux magazines féminins DONT passeport santé fait partie, le ou la pervers(e) narcissique a besoin d'asseoir une dominance, parfois sans même le concevoir. Dans le trio victime-bourreau-sauveur, il/elle est le sauveur ET le bourreau. Intelligent(e), du moins un peu, il/elle se sent tout(e) puissant(e) quitte à utiliser ses leviers de manipulation pour renforcer l'admiration envers lui/elle. Il/elle pense rarement à mal mais fait du mal. Et quand il/elle s'en rend compte, c'est trop fort pour lui/elle et il/elle retombe dans l'ornière la fois suivante.
On est loin du gros psychopathe des familles. C'est une affliction, un déséquilibre. On a un réseau neural qui est parti en sucette un jour et que l'on ne parvient pas à rétablir. Mais ça ne vaut vraiment pas toutes les fois où ces mots "pervers narcissiques" sont prononçés. Ça met juste un mot sur des comportement qu'on a sans doute tous observé une fois dans nos vie. Et pourtant, aucun de nous, je dis bien AUCUN ne sait comment fonctionne le cerveau humain. Mais, en ayant un nous-même, il apparaît possible que nous percevions intuitivement les choses qui sont "mal foutues", "de travers" chez d'autres. C'est ce que l'on appelle "l'intuit" ou le "bon sens".
C'est un peu comme les médecins homéopathes...
Je rejoins tout à fait les commentaires précisant que le diagnostic de pervers narcissique n'existe pas, tout simplement parce qu'il ne correspond à aucune sémiologie psychiatrique vraie et reproductible. Il n'y en a en effet aucune trace dans les manuels de psychiatrie de référence tel le dsm 5.
C'est en effet un terme à la mode qui permet de catégoriser facilement et avec ultracrépidarianisme le moindre gars qui nous déplaît... D'ailleurs on entend le plus souvent ce terme de la part de femmes en conflit majeur avec leur ex mari (qui pour le coup peut tout à fait être un vrai monstre).