La technique du lasso du serpent brun

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Des chercheurs viennent d’identifier un cinquième mode de locomotion chez les serpents, et pas le moins impressionnant : la technique du lasso. Utilisée par les serpents bruns arboricoles (Boiga irregularis) sur l’île de Guam, en Micronésie, elle permet aux reptiles de grimper aux arbres à troncs larges ou lisses pour chasser les oiseaux.

Ces serpents, probablement introduits sur l’île après la Seconde Guerre mondiale, sont de redoutables chasseurs et sont responsables du déclin de nombreuses populations endémiques.


Commentaires préférés (3)

Voici les quartes autres méthodes de locomotion des serpents.

La méthode la plus courante est la simple ondulation latérale dite «serpentine» : le serpent pousse sur l’arrière de chaque courbe ou irrégularité du sol et avance souplement.

La deuxième méthode, dite «locomotion du mille-pattes», ou «locomotion de l’escargot», n’est employée que par les serpents les plus lourds : la peau de la face ventrale est poussée d’avant en arrière par de gros muscles et les larges écailles ventrales s’accrochent au sol, faisant avancer le serpent en ligne droite.

Plusieurs serpents du désert progressent par «déroulement latéral», pour se déplacer sur le sable mou : le serpent roule son corps sur le côté en un mouvement en boucle.

La quatrième méthode est connue sous le nom de «locomotion en accordéon» : le corps est alternativement détendu puis ramassé à mesure que le serpent se déplace d’un point d’ancrage à un autre.

a écrit : Voici les quartes autres méthodes de locomotion des serpents.

La méthode la plus courante est la simple ondulation latérale dite «serpentine» : le serpent pousse sur l’arrière de chaque courbe ou irrégularité du sol et avance souplement.

La deuxième méthode, dite «locomotion du mille-pattes»,
ou «locomotion de l’escargot», n’est employée que par les serpents les plus lourds : la peau de la face ventrale est poussée d’avant en arrière par de gros muscles et les larges écailles ventrales s’accrochent au sol, faisant avancer le serpent en ligne droite.

Plusieurs serpents du désert progressent par «déroulement latéral», pour se déplacer sur le sable mou : le serpent roule son corps sur le côté en un mouvement en boucle.

La quatrième méthode est connue sous le nom de «locomotion en accordéon» : le corps est alternativement détendu puis ramassé à mesure que le serpent se déplace d’un point d’ancrage à un autre.
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N'oublions pas de citer ces gentils collégiens ayant fait ce travail préalable à l'aide d'Encarta 2000. www2.istp.org/studentscorner/studentcorner2000_2001/college/8th/sitewebtechno4/SWmarie/SiteWeb/PageWeb/Locomotion.html


Pour le serpent du désert, cela lui permet surtout de n'avoir que 2 appuis variable en contact avec le sable brulant et ainsi minimiser la surface de contact. Il lui serait en fait impossible de pratiquer les autres méthodes sans risquer de grave brulure.

a écrit : Voici les quartes autres méthodes de locomotion des serpents.

La méthode la plus courante est la simple ondulation latérale dite «serpentine» : le serpent pousse sur l’arrière de chaque courbe ou irrégularité du sol et avance souplement.

La deuxième méthode, dite «locomotion du mille-pattes»,
ou «locomotion de l’escargot», n’est employée que par les serpents les plus lourds : la peau de la face ventrale est poussée d’avant en arrière par de gros muscles et les larges écailles ventrales s’accrochent au sol, faisant avancer le serpent en ligne droite.

Plusieurs serpents du désert progressent par «déroulement latéral», pour se déplacer sur le sable mou : le serpent roule son corps sur le côté en un mouvement en boucle.

La quatrième méthode est connue sous le nom de «locomotion en accordéon» : le corps est alternativement détendu puis ramassé à mesure que le serpent se déplace d’un point d’ancrage à un autre.
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Il y a aussi le "vol plané" non ?
Ou alors ce n'est que les déplacements terrestres ?


Tous les commentaires (14)

Voici les quartes autres méthodes de locomotion des serpents.

La méthode la plus courante est la simple ondulation latérale dite «serpentine» : le serpent pousse sur l’arrière de chaque courbe ou irrégularité du sol et avance souplement.

La deuxième méthode, dite «locomotion du mille-pattes», ou «locomotion de l’escargot», n’est employée que par les serpents les plus lourds : la peau de la face ventrale est poussée d’avant en arrière par de gros muscles et les larges écailles ventrales s’accrochent au sol, faisant avancer le serpent en ligne droite.

Plusieurs serpents du désert progressent par «déroulement latéral», pour se déplacer sur le sable mou : le serpent roule son corps sur le côté en un mouvement en boucle.

La quatrième méthode est connue sous le nom de «locomotion en accordéon» : le corps est alternativement détendu puis ramassé à mesure que le serpent se déplace d’un point d’ancrage à un autre.

a écrit : Voici les quartes autres méthodes de locomotion des serpents.

La méthode la plus courante est la simple ondulation latérale dite «serpentine» : le serpent pousse sur l’arrière de chaque courbe ou irrégularité du sol et avance souplement.

La deuxième méthode, dite «locomotion du mille-pattes»,
ou «locomotion de l’escargot», n’est employée que par les serpents les plus lourds : la peau de la face ventrale est poussée d’avant en arrière par de gros muscles et les larges écailles ventrales s’accrochent au sol, faisant avancer le serpent en ligne droite.

Plusieurs serpents du désert progressent par «déroulement latéral», pour se déplacer sur le sable mou : le serpent roule son corps sur le côté en un mouvement en boucle.

La quatrième méthode est connue sous le nom de «locomotion en accordéon» : le corps est alternativement détendu puis ramassé à mesure que le serpent se déplace d’un point d’ancrage à un autre.
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N'oublions pas de citer ces gentils collégiens ayant fait ce travail préalable à l'aide d'Encarta 2000. www2.istp.org/studentscorner/studentcorner2000_2001/college/8th/sitewebtechno4/SWmarie/SiteWeb/PageWeb/Locomotion.html


Pour le serpent du désert, cela lui permet surtout de n'avoir que 2 appuis variable en contact avec le sable brulant et ainsi minimiser la surface de contact. Il lui serait en fait impossible de pratiquer les autres méthodes sans risquer de grave brulure.

a écrit : Voici les quartes autres méthodes de locomotion des serpents.

La méthode la plus courante est la simple ondulation latérale dite «serpentine» : le serpent pousse sur l’arrière de chaque courbe ou irrégularité du sol et avance souplement.

La deuxième méthode, dite «locomotion du mille-pattes»,
ou «locomotion de l’escargot», n’est employée que par les serpents les plus lourds : la peau de la face ventrale est poussée d’avant en arrière par de gros muscles et les larges écailles ventrales s’accrochent au sol, faisant avancer le serpent en ligne droite.

Plusieurs serpents du désert progressent par «déroulement latéral», pour se déplacer sur le sable mou : le serpent roule son corps sur le côté en un mouvement en boucle.

La quatrième méthode est connue sous le nom de «locomotion en accordéon» : le corps est alternativement détendu puis ramassé à mesure que le serpent se déplace d’un point d’ancrage à un autre.
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Il y a aussi le "vol plané" non ?
Ou alors ce n'est que les déplacements terrestres ?

Petite vidéo trouvée sur YT montrant la technique du fameux reptile:
youtu.be/_jhBkQrJSOI

Il a quand même intérêt à bien choisir sont arbre car sa dois lui demander pas mal de temps et d’énergies pour grimper.

Je ne savais même pas qu'il y en avait quatre, alors une cinquième...

a écrit : Il y a aussi le "vol plané" non ?
Ou alors ce n'est que les déplacements terrestres ?
Oui il y a le vol plané pour les serpents oiseau. Il y a aussi la turbo propulsion pour les serpents fusée et les galipettes pour les serpents acrobates.
Sont trop forts ces serpents.

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android

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a écrit : Oui il y a le vol plané pour les serpents oiseau. Il y a aussi la turbo propulsion pour les serpents fusée et les galipettes pour les serpents acrobates.
Sont trop forts ces serpents.
Ironie mal placée étant donné que ça existe véritablement. L'espèce décrite dans la vidéo au-dessus peut planer sur une distance de 100 mètres et changer de direction en cours de vol. Elle ondule, le corps aplati, afin de créer de la portance.

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android

(2)

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a écrit : Énorme ! Je savais qu'il pouvait sauter d'arbre en arbre mais pas qu'"il transformait son corps en aile aérodynamique".
La vidéo est vraiment cool.
Bienvenue sur SCMB :)

a écrit : fr.wikipedia.org/wiki/Chrysopelea

et en images

www.youtube.com/watch?v=gRLwAqEMj5Q

Avancer à 1:00
Un vol plané sur 100 mètre ? un serpent venimeux ? Cela suffit maintenant !

Bon apparemment ce n'est pas dangereux pour l'humain. On est sauvé.

Dans un autre registre, cela me fait penser au requin-lézard dont l'un des modes de déplacement rappelle celui du cobra qui jaillit sur sa proie. Il se plie entièrement et jaillit d'un coup sur sa proie.

a écrit : Petite vidéo trouvée sur YT montrant la technique du fameux reptile:
youtu.be/_jhBkQrJSOI

Il a quand même intérêt à bien choisir sont arbre car sa dois lui demander pas mal de temps et d’énergies pour grimper.
Vidéo vraiment saisissante et qui mériterait d'être intégrée à l'anecdote !
Je suis stupéfait par la complexité de ce moyen de locomotion et par la "dextérité" qu'il réclame.
Grâce à cette anecdote et à nombre de ses commentaires je me coucherai moins bête, notamment parceque cela m'aura sensibilisé à la richesse et à la complexité du monde des serpents.

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android

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a écrit : Voici les quartes autres méthodes de locomotion des serpents.

La méthode la plus courante est la simple ondulation latérale dite «serpentine» : le serpent pousse sur l’arrière de chaque courbe ou irrégularité du sol et avance souplement.

La deuxième méthode, dite «locomotion du mille-pattes»,
ou «locomotion de l’escargot», n’est employée que par les serpents les plus lourds : la peau de la face ventrale est poussée d’avant en arrière par de gros muscles et les larges écailles ventrales s’accrochent au sol, faisant avancer le serpent en ligne droite.

Plusieurs serpents du désert progressent par «déroulement latéral», pour se déplacer sur le sable mou : le serpent roule son corps sur le côté en un mouvement en boucle.

La quatrième méthode est connue sous le nom de «locomotion en accordéon» : le corps est alternativement détendu puis ramassé à mesure que le serpent se déplace d’un point d’ancrage à un autre.
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J'ai du mal à imaginer la seconde. C'est un peu comme avancer par série d'abdos ?

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android

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