Tillson Harrison, le vrai Indiana Jones ?

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Tillson Harrison était un médecin, officier et aventurier canadien parlant 6 langues, qui participa à 7 guerres et fut marié à 4 femmes en même temps. Sa fille rapporta qu'elle fut contactée par Steven Spielberg et George Lucas, et qu'ils s'inspirèrent de son père pour le personnage d'Indiana Jones.

Harrison occupa des métiers très variés, comme pharmacien, maire, promoteur ou exploitant de ranch. 
Lors de la révolution mexicaine, en sa qualité de médecin, il fut également au service du révolutionnaire Pancho Villa puis du futur président mexicain Venustiano Carranza.

Il mourut en 1947 dans un hôpital chinois des suites d'une hypothermie, lors d'une mission de secours et de reconstruction pour le compte des Nations Unies.
Très peu connu dans son pays, Harrison est très honoré en Chine, considéré comme un héros de guerre pour ses qualités de médecin auprès du Corps de main-d'œuvre chinois pendant la Première Guerre mondiale.
Une statue à son effigie se dresse à Shanghai, et une école ainsi qu'un hôpital portent son nom.


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J'admire et j'envie ces personnes qui ont exercées tant de métiers, appris et vu tant de choses, et certainement rencontré tant de personnes de culture différentes, au cours de leur carrière. Cela doit être tellement enrichissant.

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Sans avoir eu une vie aussi intense que le protagoniste de cette anecdote, James William Sidis (1898-1944) fut un homme sortant de l'ordinaire.

Surdoué, il reste aujourd'hui la personne considérée comme ayant ou ayant eu le plus haut QI connu, celui ci estimé entre 250 et 300 !
À ses huit ans, James Williams parlait déjà de manière fluide, le français, le russe, l'hébreu, l'allemand, le turc, l'arménien, le latin, l'anglais... Et la langue qu'il s'était inventé : le vendergood.
Le vendergood fut ultérieurement étudiée par des linguistes expérimentés, qui la qualifieront de "très complet et correct".

Entre toutes les prouesses documentées à propos de lui, signaler qui apprit l'intégralité des cours de troisième année de Primaire... en seulement trois jours.
Avant ses huit ans, il avait déjà écrit quatre livres (deux sur l'Anatomie et deux sur l'Astronomie), ainsi que passé les tests d'admission au MIT (Massachusetts Institute of Technology).
À ses onze ans, il entrait à l'université de Harvard, et à ses 16 ans, obtenir son diplôme en médecine.

Une anecdote sur lui, raconte qu'un matin, il se présenta dans une bibliothèque publique, demandant tout un éventail de livres en portugais.
Il y passa la journée à les étudier et les lire, puis le lendemain passa un test d'évaluation, qui s'avéra parfait, malgré une prononciation approximative, par manque de pratique.

À sa mort, en 1944, James Williams parlait parfaitement 40 langues différentes, étudié 7 carrières Universitaires distinctes et développé de nombreuses théories Scientifiques encore aujourd'hui prises en compte.

James Williams nous a également laissé un grand éventail de livres sur les sujets les plus divers : Cosmologie, Philologie, Génie civil, tramways, Histoire des Amérindiens, Thermodynamique, ou encore Anthropologie.

a écrit : J'ignorais le côté triste de sa vie.

À mon sens, le monde des surdoués, adultes comme enfants, est parfois, comparable à celui des autistes: des personnes pouvant posséder des capacités intellectuelles hors du commun, mais qui échouent complètement dans les relations humaines et sociales, soit par d
es comportements difficiles à interpréter pour les "normaux" soit qui sont victimes de bulling, de par l'image de "bizarres" qu'ils reflètent.
Ceci peut malheureusement avoir un effet négatif sur le développement et épanouissement de l'enfant.
Les schémas-types de symptômes développés par certains enfants surdoués, sont connus par ceux qui s'y sont intéressés. Cependant, certains parents et professeurs d'école, ne sont pas toujours préparés ou informés pour les détecter, et encore moins de les guider.

Quant à avoir une vie "normale" à l'âge adulte, je ne pense pas -mais ceci n'engage que moi - que leur intelligence hors norme les mène automatiquement à un schéma de vie de solitude. D'autres facteurs doivent entrer en jeu.

Si quelqu'un de plus compétent que moi, veut développer le sujet, son commentaire est le bienvenu.
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Non, HPI et TSA ce n'est pas du tout la même chose, il ne faut pas se laisser avoir par les médias. C'est un peu comme cette image tenace et totalement erronée des troubles schizophréniques, les gens parlent d'autisme en ne sachant absolument pas de quoi il s'agit. 

On peut être HPI + TSA, mais ce n'est pas du tout la norme, on peut aussi être autiste sans douance ou HQI sans être "autiste". Ce qui caractérise les deux n'est pas du tout la même chose, même s'il peut y avoir quelques vagues similitudes. 

Par exemple, beaucoup d'HPI/HQI peuvent rencontrer des difficultés sociales mais ce n'est pas une généralité et pas dans les mêmes proportions que dans l'autisme.

Je suis THQI diagnostiqué il y a longtemps et pourtant on vient tout juste, à 51 ans, de me faire rentrer dans la case autiste (je suis un cocktail de THQI + TSA + TDAH), maintenant que ça ne sert plus à rien (puisque je suis très heureux depuis quelques années et ne souffre plus). 

Les TSA sont difficiles à diagnostiquer et ça peut prendre longtemps (forte comorbidité), ce n'est pas le cas de la douance.

En France, les praticiens sont mal formés pour diagnostiquer convenablement les TSA, malgré l'existence de tests normés à l'international (ADOS-2, ADI-R,...). Ce qui explique le faible taux de détection par rapport au nombre réel de cas.

La douance n'est pas un trouble psychiatrique contrairement à l'autisme (même si cela fait débat). 

Et non, nous ne sommes pas tous solitaires, mais en ce qui me concerne c'est le cas, je n'ai aucun attrait pour les relations sociales, cela m'angoisse, c'est source de conflits vains et inutiles. Je ne suis pas du tout grégaire, je ne me sens jamais concerné par le concept de majorité (et par bien d'autres concepts de notre civilisation). Je trouve les codes sociaux totalement stupides, il m'a fallu des décennies pour arriver à les utiliser (c'est dur de devoir se plier en permanence à des usages que l'on trouve stupides). Maintenant je sais parfaitement faire, je m'adapte et je sais même être moteur au sein d'une équipe à tel point que personne ne puisse se douter de mes spécificités, mais je préfère la solitude (loin des humains, mais pas d'autres espèces vivantes), c'est elle qui me rend heureux, calme, serein. J'en ai besoin. Le confinement a par exemple était source de grande joie pour moi et j'attends avec impatience le prochain qui s'annonce.

Ma vie a été très riche, j'ai appris et exercé plusieurs métiers très différents et passionnants, passé plusieurs diplômes en VAE, mais elle a aussi été très compliquée et sous le signe de la dépression sévère. Depuis quelques années, j'ai radicalement changé ma façon de vivre, c'est ce qui m'a rendu enfin heureux. Mais nous ne sommes pas des copies les uns des autres, même lorsqu'on porte une telle étiquette. Être HPI ou TSA ne définit pas un individu, ce n'est qu'un de ses nombreux attributs. Il y a des HPI qui réussissent bien (à titre personnel j'entends), d'autres non. Cela n'offre aucune garantie d'échec ou de réussite. Il y a cependant très peu (voire aucun) THQI dans les "hautes sphères" de la société (c'est à dire riche et célèbre ou influent).


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J'admire et j'envie ces personnes qui ont exercées tant de métiers, appris et vu tant de choses, et certainement rencontré tant de personnes de culture différentes, au cours de leur carrière. Cela doit être tellement enrichissant.

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Désolé pour mon hors sujet , mais ou se trouve la partie en image ? Il me semblait que les deux fusionnées

a écrit : J'admire et j'envie ces personnes qui ont exercées tant de métiers, appris et vu tant de choses, et certainement rencontré tant de personnes de culture différentes, au cours de leur carrière. Cela doit être tellement enrichissant. *exercé

Sans avoir eu une vie aussi intense que le protagoniste de cette anecdote, James William Sidis (1898-1944) fut un homme sortant de l'ordinaire.

Surdoué, il reste aujourd'hui la personne considérée comme ayant ou ayant eu le plus haut QI connu, celui ci estimé entre 250 et 300 !
À ses huit ans, James Williams parlait déjà de manière fluide, le français, le russe, l'hébreu, l'allemand, le turc, l'arménien, le latin, l'anglais... Et la langue qu'il s'était inventé : le vendergood.
Le vendergood fut ultérieurement étudiée par des linguistes expérimentés, qui la qualifieront de "très complet et correct".

Entre toutes les prouesses documentées à propos de lui, signaler qui apprit l'intégralité des cours de troisième année de Primaire... en seulement trois jours.
Avant ses huit ans, il avait déjà écrit quatre livres (deux sur l'Anatomie et deux sur l'Astronomie), ainsi que passé les tests d'admission au MIT (Massachusetts Institute of Technology).
À ses onze ans, il entrait à l'université de Harvard, et à ses 16 ans, obtenir son diplôme en médecine.

Une anecdote sur lui, raconte qu'un matin, il se présenta dans une bibliothèque publique, demandant tout un éventail de livres en portugais.
Il y passa la journée à les étudier et les lire, puis le lendemain passa un test d'évaluation, qui s'avéra parfait, malgré une prononciation approximative, par manque de pratique.

À sa mort, en 1944, James Williams parlait parfaitement 40 langues différentes, étudié 7 carrières Universitaires distinctes et développé de nombreuses théories Scientifiques encore aujourd'hui prises en compte.

James Williams nous a également laissé un grand éventail de livres sur les sujets les plus divers : Cosmologie, Philologie, Génie civil, tramways, Histoire des Amérindiens, Thermodynamique, ou encore Anthropologie.

a écrit : Sans avoir eu une vie aussi intense que le protagoniste de cette anecdote, James William Sidis (1898-1944) fut un homme sortant de l'ordinaire.

Surdoué, il reste aujourd'hui la personne considérée comme ayant ou ayant eu le plus haut QI connu, celui ci estimé entre 250 et 300 !
À ses hu
it ans, James Williams parlait déjà de manière fluide, le français, le russe, l'hébreu, l'allemand, le turc, l'arménien, le latin, l'anglais... Et la langue qu'il s'était inventé : le vendergood.
Le vendergood fut ultérieurement étudiée par des linguistes expérimentés, qui la qualifieront de "très complet et correct".

Entre toutes les prouesses documentées à propos de lui, signaler qui apprit l'intégralité des cours de troisième année de Primaire... en seulement trois jours.
Avant ses huit ans, il avait déjà écrit quatre livres (deux sur l'Anatomie et deux sur l'Astronomie), ainsi que passé les tests d'admission au MIT (Massachusetts Institute of Technology).
À ses onze ans, il entrait à l'université de Harvard, et à ses 16 ans, obtenir son diplôme en médecine.

Une anecdote sur lui, raconte qu'un matin, il se présenta dans une bibliothèque publique, demandant tout un éventail de livres en portugais.
Il y passa la journée à les étudier et les lire, puis le lendemain passa un test d'évaluation, qui s'avéra parfait, malgré une prononciation approximative, par manque de pratique.

À sa mort, en 1944, James Williams parlait parfaitement 40 langues différentes, étudié 7 carrières Universitaires distinctes et développé de nombreuses théories Scientifiques encore aujourd'hui prises en compte.

James Williams nous a également laissé un grand éventail de livres sur les sujets les plus divers : Cosmologie, Philologie, Génie civil, tramways, Histoire des Amérindiens, Thermodynamique, ou encore Anthropologie.
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En fait, c’est juste un bug de Wikipedia qui a fusionné les articles de tous les homonymes de James Williams

a écrit : Sans avoir eu une vie aussi intense que le protagoniste de cette anecdote, James William Sidis (1898-1944) fut un homme sortant de l'ordinaire.

Surdoué, il reste aujourd'hui la personne considérée comme ayant ou ayant eu le plus haut QI connu, celui ci estimé entre 250 et 300 !
À ses hu
it ans, James Williams parlait déjà de manière fluide, le français, le russe, l'hébreu, l'allemand, le turc, l'arménien, le latin, l'anglais... Et la langue qu'il s'était inventé : le vendergood.
Le vendergood fut ultérieurement étudiée par des linguistes expérimentés, qui la qualifieront de "très complet et correct".

Entre toutes les prouesses documentées à propos de lui, signaler qui apprit l'intégralité des cours de troisième année de Primaire... en seulement trois jours.
Avant ses huit ans, il avait déjà écrit quatre livres (deux sur l'Anatomie et deux sur l'Astronomie), ainsi que passé les tests d'admission au MIT (Massachusetts Institute of Technology).
À ses onze ans, il entrait à l'université de Harvard, et à ses 16 ans, obtenir son diplôme en médecine.

Une anecdote sur lui, raconte qu'un matin, il se présenta dans une bibliothèque publique, demandant tout un éventail de livres en portugais.
Il y passa la journée à les étudier et les lire, puis le lendemain passa un test d'évaluation, qui s'avéra parfait, malgré une prononciation approximative, par manque de pratique.

À sa mort, en 1944, James Williams parlait parfaitement 40 langues différentes, étudié 7 carrières Universitaires distinctes et développé de nombreuses théories Scientifiques encore aujourd'hui prises en compte.

James Williams nous a également laissé un grand éventail de livres sur les sujets les plus divers : Cosmologie, Philologie, Génie civil, tramways, Histoire des Amérindiens, Thermodynamique, ou encore Anthropologie.
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Ce qui est particulièrement triste c’est tout le reste de sa vie que tu n’évoques pas.
Il finira seul et mourra à seulement 46 ans.

J’espère qu aujourd’hui, la société serait capable d’accompagner une telle personne et de lui permettre de relever des défis hors normes.

a écrit : Ce qui est particulièrement triste c’est tout le reste de sa vie que tu n’évoques pas.
Il finira seul et mourra à seulement 46 ans.

J’espère qu aujourd’hui, la société serait capable d’accompagner une telle personne et de lui permettre de relever des défis hors normes.
J'ignorais le côté triste de sa vie.

À mon sens, le monde des surdoués, adultes comme enfants, est parfois, comparable à celui des autistes: des personnes pouvant posséder des capacités intellectuelles hors du commun, mais qui échouent complètement dans les relations humaines et sociales, soit par des comportements difficiles à interpréter pour les "normaux" soit qui sont victimes de bulling, de par l'image de "bizarres" qu'ils reflètent.
Ceci peut malheureusement avoir un effet négatif sur le développement et épanouissement de l'enfant.
Les schémas-types de symptômes développés par certains enfants surdoués, sont connus par ceux qui s'y sont intéressés. Cependant, certains parents et professeurs d'école, ne sont pas toujours préparés ou informés pour les détecter, et encore moins de les guider.

Quant à avoir une vie "normale" à l'âge adulte, je ne pense pas -mais ceci n'engage que moi - que leur intelligence hors norme les mène automatiquement à un schéma de vie de solitude. D'autres facteurs doivent entrer en jeu.

Si quelqu'un de plus compétent que moi, veut développer le sujet, son commentaire est le bienvenu.

Du peu de la page wiki le concernant, il a surtout été une bête de foire et mis en avant dans la presse de l époque. Il y a mieux pour se construire.
Sa précocité intellectuelle à l’époque était mal gérée (aujourd’hui c’est mieux, ce ne sont plus des bêtes de foire et pis c’est quoi le pire James qui a son Doctorat a 16 ans ou william qui passe son bac à 25 ans après 8 redoublements ?).

Il semblerait qu’il fut atteint du syndrome d asperger.

a écrit : Désolé pour mon hors sujet , mais ou se trouve la partie en image ? Il me semblait que les deux fusionnées S'est il couché moins bête pour autant ? Là, est la question.

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a écrit : J'ignorais le côté triste de sa vie.

À mon sens, le monde des surdoués, adultes comme enfants, est parfois, comparable à celui des autistes: des personnes pouvant posséder des capacités intellectuelles hors du commun, mais qui échouent complètement dans les relations humaines et sociales, soit par d
es comportements difficiles à interpréter pour les "normaux" soit qui sont victimes de bulling, de par l'image de "bizarres" qu'ils reflètent.
Ceci peut malheureusement avoir un effet négatif sur le développement et épanouissement de l'enfant.
Les schémas-types de symptômes développés par certains enfants surdoués, sont connus par ceux qui s'y sont intéressés. Cependant, certains parents et professeurs d'école, ne sont pas toujours préparés ou informés pour les détecter, et encore moins de les guider.

Quant à avoir une vie "normale" à l'âge adulte, je ne pense pas -mais ceci n'engage que moi - que leur intelligence hors norme les mène automatiquement à un schéma de vie de solitude. D'autres facteurs doivent entrer en jeu.

Si quelqu'un de plus compétent que moi, veut développer le sujet, son commentaire est le bienvenu.
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Non, HPI et TSA ce n'est pas du tout la même chose, il ne faut pas se laisser avoir par les médias. C'est un peu comme cette image tenace et totalement erronée des troubles schizophréniques, les gens parlent d'autisme en ne sachant absolument pas de quoi il s'agit. 

On peut être HPI + TSA, mais ce n'est pas du tout la norme, on peut aussi être autiste sans douance ou HQI sans être "autiste". Ce qui caractérise les deux n'est pas du tout la même chose, même s'il peut y avoir quelques vagues similitudes. 

Par exemple, beaucoup d'HPI/HQI peuvent rencontrer des difficultés sociales mais ce n'est pas une généralité et pas dans les mêmes proportions que dans l'autisme.

Je suis THQI diagnostiqué il y a longtemps et pourtant on vient tout juste, à 51 ans, de me faire rentrer dans la case autiste (je suis un cocktail de THQI + TSA + TDAH), maintenant que ça ne sert plus à rien (puisque je suis très heureux depuis quelques années et ne souffre plus). 

Les TSA sont difficiles à diagnostiquer et ça peut prendre longtemps (forte comorbidité), ce n'est pas le cas de la douance.

En France, les praticiens sont mal formés pour diagnostiquer convenablement les TSA, malgré l'existence de tests normés à l'international (ADOS-2, ADI-R,...). Ce qui explique le faible taux de détection par rapport au nombre réel de cas.

La douance n'est pas un trouble psychiatrique contrairement à l'autisme (même si cela fait débat). 

Et non, nous ne sommes pas tous solitaires, mais en ce qui me concerne c'est le cas, je n'ai aucun attrait pour les relations sociales, cela m'angoisse, c'est source de conflits vains et inutiles. Je ne suis pas du tout grégaire, je ne me sens jamais concerné par le concept de majorité (et par bien d'autres concepts de notre civilisation). Je trouve les codes sociaux totalement stupides, il m'a fallu des décennies pour arriver à les utiliser (c'est dur de devoir se plier en permanence à des usages que l'on trouve stupides). Maintenant je sais parfaitement faire, je m'adapte et je sais même être moteur au sein d'une équipe à tel point que personne ne puisse se douter de mes spécificités, mais je préfère la solitude (loin des humains, mais pas d'autres espèces vivantes), c'est elle qui me rend heureux, calme, serein. J'en ai besoin. Le confinement a par exemple était source de grande joie pour moi et j'attends avec impatience le prochain qui s'annonce.

Ma vie a été très riche, j'ai appris et exercé plusieurs métiers très différents et passionnants, passé plusieurs diplômes en VAE, mais elle a aussi été très compliquée et sous le signe de la dépression sévère. Depuis quelques années, j'ai radicalement changé ma façon de vivre, c'est ce qui m'a rendu enfin heureux. Mais nous ne sommes pas des copies les uns des autres, même lorsqu'on porte une telle étiquette. Être HPI ou TSA ne définit pas un individu, ce n'est qu'un de ses nombreux attributs. Il y a des HPI qui réussissent bien (à titre personnel j'entends), d'autres non. Cela n'offre aucune garantie d'échec ou de réussite. Il y a cependant très peu (voire aucun) THQI dans les "hautes sphères" de la société (c'est à dire riche et célèbre ou influent).

a écrit : Non, HPI et TSA ce n'est pas du tout la même chose, il ne faut pas se laisser avoir par les médias. C'est un peu comme cette image tenace et totalement erronée des troubles schizophréniques, les gens parlent d'autisme en ne sachant absolument pas de quoi il s'agit. 

On peut être HPI + T
SA, mais ce n'est pas du tout la norme, on peut aussi être autiste sans douance ou HQI sans être "autiste". Ce qui caractérise les deux n'est pas du tout la même chose, même s'il peut y avoir quelques vagues similitudes. 

Par exemple, beaucoup d'HPI/HQI peuvent rencontrer des difficultés sociales mais ce n'est pas une généralité et pas dans les mêmes proportions que dans l'autisme.

Je suis THQI diagnostiqué il y a longtemps et pourtant on vient tout juste, à 51 ans, de me faire rentrer dans la case autiste (je suis un cocktail de THQI + TSA + TDAH), maintenant que ça ne sert plus à rien (puisque je suis très heureux depuis quelques années et ne souffre plus). 

Les TSA sont difficiles à diagnostiquer et ça peut prendre longtemps (forte comorbidité), ce n'est pas le cas de la douance.

En France, les praticiens sont mal formés pour diagnostiquer convenablement les TSA, malgré l'existence de tests normés à l'international (ADOS-2, ADI-R,...). Ce qui explique le faible taux de détection par rapport au nombre réel de cas.

La douance n'est pas un trouble psychiatrique contrairement à l'autisme (même si cela fait débat). 

Et non, nous ne sommes pas tous solitaires, mais en ce qui me concerne c'est le cas, je n'ai aucun attrait pour les relations sociales, cela m'angoisse, c'est source de conflits vains et inutiles. Je ne suis pas du tout grégaire, je ne me sens jamais concerné par le concept de majorité (et par bien d'autres concepts de notre civilisation). Je trouve les codes sociaux totalement stupides, il m'a fallu des décennies pour arriver à les utiliser (c'est dur de devoir se plier en permanence à des usages que l'on trouve stupides). Maintenant je sais parfaitement faire, je m'adapte et je sais même être moteur au sein d'une équipe à tel point que personne ne puisse se douter de mes spécificités, mais je préfère la solitude (loin des humains, mais pas d'autres espèces vivantes), c'est elle qui me rend heureux, calme, serein. J'en ai besoin. Le confinement a par exemple était source de grande joie pour moi et j'attends avec impatience le prochain qui s'annonce.

Ma vie a été très riche, j'ai appris et exercé plusieurs métiers très différents et passionnants, passé plusieurs diplômes en VAE, mais elle a aussi été très compliquée et sous le signe de la dépression sévère. Depuis quelques années, j'ai radicalement changé ma façon de vivre, c'est ce qui m'a rendu enfin heureux. Mais nous ne sommes pas des copies les uns des autres, même lorsqu'on porte une telle étiquette. Être HPI ou TSA ne définit pas un individu, ce n'est qu'un de ses nombreux attributs. Il y a des HPI qui réussissent bien (à titre personnel j'entends), d'autres non. Cela n'offre aucune garantie d'échec ou de réussite. Il y a cependant très peu (voire aucun) THQI dans les "hautes sphères" de la société (c'est à dire riche et célèbre ou influent).
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Bravo. Et merci !

Il aurait pas surtout inspiré le personnage de Big Fish ? ;)

a écrit : Non, HPI et TSA ce n'est pas du tout la même chose, il ne faut pas se laisser avoir par les médias. C'est un peu comme cette image tenace et totalement erronée des troubles schizophréniques, les gens parlent d'autisme en ne sachant absolument pas de quoi il s'agit. 

On peut être HPI + T
SA, mais ce n'est pas du tout la norme, on peut aussi être autiste sans douance ou HQI sans être "autiste". Ce qui caractérise les deux n'est pas du tout la même chose, même s'il peut y avoir quelques vagues similitudes. 

Par exemple, beaucoup d'HPI/HQI peuvent rencontrer des difficultés sociales mais ce n'est pas une généralité et pas dans les mêmes proportions que dans l'autisme.

Je suis THQI diagnostiqué il y a longtemps et pourtant on vient tout juste, à 51 ans, de me faire rentrer dans la case autiste (je suis un cocktail de THQI + TSA + TDAH), maintenant que ça ne sert plus à rien (puisque je suis très heureux depuis quelques années et ne souffre plus). 

Les TSA sont difficiles à diagnostiquer et ça peut prendre longtemps (forte comorbidité), ce n'est pas le cas de la douance.

En France, les praticiens sont mal formés pour diagnostiquer convenablement les TSA, malgré l'existence de tests normés à l'international (ADOS-2, ADI-R,...). Ce qui explique le faible taux de détection par rapport au nombre réel de cas.

La douance n'est pas un trouble psychiatrique contrairement à l'autisme (même si cela fait débat). 

Et non, nous ne sommes pas tous solitaires, mais en ce qui me concerne c'est le cas, je n'ai aucun attrait pour les relations sociales, cela m'angoisse, c'est source de conflits vains et inutiles. Je ne suis pas du tout grégaire, je ne me sens jamais concerné par le concept de majorité (et par bien d'autres concepts de notre civilisation). Je trouve les codes sociaux totalement stupides, il m'a fallu des décennies pour arriver à les utiliser (c'est dur de devoir se plier en permanence à des usages que l'on trouve stupides). Maintenant je sais parfaitement faire, je m'adapte et je sais même être moteur au sein d'une équipe à tel point que personne ne puisse se douter de mes spécificités, mais je préfère la solitude (loin des humains, mais pas d'autres espèces vivantes), c'est elle qui me rend heureux, calme, serein. J'en ai besoin. Le confinement a par exemple était source de grande joie pour moi et j'attends avec impatience le prochain qui s'annonce.

Ma vie a été très riche, j'ai appris et exercé plusieurs métiers très différents et passionnants, passé plusieurs diplômes en VAE, mais elle a aussi été très compliquée et sous le signe de la dépression sévère. Depuis quelques années, j'ai radicalement changé ma façon de vivre, c'est ce qui m'a rendu enfin heureux. Mais nous ne sommes pas des copies les uns des autres, même lorsqu'on porte une telle étiquette. Être HPI ou TSA ne définit pas un individu, ce n'est qu'un de ses nombreux attributs. Il y a des HPI qui réussissent bien (à titre personnel j'entends), d'autres non. Cela n'offre aucune garantie d'échec ou de réussite. Il y a cependant très peu (voire aucun) THQI dans les "hautes sphères" de la société (c'est à dire riche et célèbre ou influent).
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Très intéressant même si tu aurais pu nous mettre les abréviations que l’on ne connaît pas tous.
Je suis très surpris de ta dernière phrase. Il y a peu de THQI dans les hautes sphères, en cherchant on en trouve quelques uns. As tu une idée du ratio THQI / population générale, pour comparer THQI / haute sphère.
Par contre, j ai l’impression que l’on en trouve aucun dans les sphères d’influences.

Commentaire supprimé Généralement, est considéré HQI celui qui s'éloigne (positivement) de la moyenne des QI de 2 écart types, soit environ 2,3% de la population (ratio de 1 pour 43 environ)
Le THQI commence à partir de 3 écart types, soit environ 0,1% de la population (ratio de 1 pour 1000) donc.

C'est très faible.
Mais je pense qu'il doit y en avoir suffisamment, mais à des postes plus discrets comme les conseillers et autres postes du genre.

Il y a une idée qui circule un peu sur le net anglophone (j'ai jamais pris la peine de vérifier) , qui parlait de la nette difficulté à communiquer avec une personne dès que la différence Des QI atteignait 2 écarts types.

Un THQI par exemple ne se ferait comprendre vraiment que par environ 10% de la population. Très insuffisant pour pouvoir être pleinement populaire (le pathos jouant beaucoup dans cet engouement) , et accéder aux très hautes fonctions.

Mais le THQI en raison de ses souvent bonnes idées peut s'associer avec une personne à la limite entre la surdouance et la non-surdouance avec qui il pourra déjà communiquer efficacement, qui est suffisamment intelligent aussi pour en avoir de bonnes également, et qui pourra aussi faire valoir ces idées auprès du plus grand nombre.

Dans les faits, l'estimation des QI des présidents Américains oscille (en général) autour de cette limite (entre 1,5 et 2,5 écarts types).

a écrit : Généralement, est considéré HQI celui qui s'éloigne (positivement) de la moyenne des QI de 2 écart types, soit environ 2,3% de la population (ratio de 1 pour 43 environ)
Le THQI commence à partir de 3 écart types, soit environ 0,1% de la population (ratio de 1 pour 1000) donc.

C'est tr
ès faible.
Mais je pense qu'il doit y en avoir suffisamment, mais à des postes plus discrets comme les conseillers et autres postes du genre.

Il y a une idée qui circule un peu sur le net anglophone (j'ai jamais pris la peine de vérifier) , qui parlait de la nette difficulté à communiquer avec une personne dès que la différence Des QI atteignait 2 écarts types.

Un THQI par exemple ne se ferait comprendre vraiment que par environ 10% de la population. Très insuffisant pour pouvoir être pleinement populaire (le pathos jouant beaucoup dans cet engouement) , et accéder aux très hautes fonctions.

Mais le THQI en raison de ses souvent bonnes idées peut s'associer avec une personne à la limite entre la surdouance et la non-surdouance avec qui il pourra déjà communiquer efficacement, qui est suffisamment intelligent aussi pour en avoir de bonnes également, et qui pourra aussi faire valoir ces idées auprès du plus grand nombre.

Dans les faits, l'estimation des QI des présidents Américains oscille (en général) autour de cette limite (entre 1,5 et 2,5 écarts types).
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Je me demande s'il n'y aurait pas eu une baisse de cette moyenne des QI des présidents des États-Unis récemment (depuis 2016 plus précisément) ?

a écrit : Non, HPI et TSA ce n'est pas du tout la même chose, il ne faut pas se laisser avoir par les médias. C'est un peu comme cette image tenace et totalement erronée des troubles schizophréniques, les gens parlent d'autisme en ne sachant absolument pas de quoi il s'agit. 

On peut être HPI + T
SA, mais ce n'est pas du tout la norme, on peut aussi être autiste sans douance ou HQI sans être "autiste". Ce qui caractérise les deux n'est pas du tout la même chose, même s'il peut y avoir quelques vagues similitudes. 

Par exemple, beaucoup d'HPI/HQI peuvent rencontrer des difficultés sociales mais ce n'est pas une généralité et pas dans les mêmes proportions que dans l'autisme.

Je suis THQI diagnostiqué il y a longtemps et pourtant on vient tout juste, à 51 ans, de me faire rentrer dans la case autiste (je suis un cocktail de THQI + TSA + TDAH), maintenant que ça ne sert plus à rien (puisque je suis très heureux depuis quelques années et ne souffre plus). 

Les TSA sont difficiles à diagnostiquer et ça peut prendre longtemps (forte comorbidité), ce n'est pas le cas de la douance.

En France, les praticiens sont mal formés pour diagnostiquer convenablement les TSA, malgré l'existence de tests normés à l'international (ADOS-2, ADI-R,...). Ce qui explique le faible taux de détection par rapport au nombre réel de cas.

La douance n'est pas un trouble psychiatrique contrairement à l'autisme (même si cela fait débat). 

Et non, nous ne sommes pas tous solitaires, mais en ce qui me concerne c'est le cas, je n'ai aucun attrait pour les relations sociales, cela m'angoisse, c'est source de conflits vains et inutiles. Je ne suis pas du tout grégaire, je ne me sens jamais concerné par le concept de majorité (et par bien d'autres concepts de notre civilisation). Je trouve les codes sociaux totalement stupides, il m'a fallu des décennies pour arriver à les utiliser (c'est dur de devoir se plier en permanence à des usages que l'on trouve stupides). Maintenant je sais parfaitement faire, je m'adapte et je sais même être moteur au sein d'une équipe à tel point que personne ne puisse se douter de mes spécificités, mais je préfère la solitude (loin des humains, mais pas d'autres espèces vivantes), c'est elle qui me rend heureux, calme, serein. J'en ai besoin. Le confinement a par exemple était source de grande joie pour moi et j'attends avec impatience le prochain qui s'annonce.

Ma vie a été très riche, j'ai appris et exercé plusieurs métiers très différents et passionnants, passé plusieurs diplômes en VAE, mais elle a aussi été très compliquée et sous le signe de la dépression sévère. Depuis quelques années, j'ai radicalement changé ma façon de vivre, c'est ce qui m'a rendu enfin heureux. Mais nous ne sommes pas des copies les uns des autres, même lorsqu'on porte une telle étiquette. Être HPI ou TSA ne définit pas un individu, ce n'est qu'un de ses nombreux attributs. Il y a des HPI qui réussissent bien (à titre personnel j'entends), d'autres non. Cela n'offre aucune garantie d'échec ou de réussite. Il y a cependant très peu (voire aucun) THQI dans les "hautes sphères" de la société (c'est à dire riche et célèbre ou influent).
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Commentaire à la première personne, très riche d'informations de grande qualité.
J'applaudis. Bravo !!!
Merci, merci beaucoup.

a écrit : Je me demande s'il n'y aurait pas eu une baisse de cette moyenne des QI des présidents des États-Unis récemment (depuis 2016 plus précisément) ? Haha, j'y ai pensé quand je rédigeais mon commentaire. C'est pour cela que j'ai par la suite ajouté (en général).

a écrit : Je me demande s'il n'y aurait pas eu une baisse de cette moyenne des QI des présidents des États-Unis récemment (depuis 2016 plus précisément) ? MDR!!! Excellent !!!

a écrit : Non, HPI et TSA ce n'est pas du tout la même chose, il ne faut pas se laisser avoir par les médias. C'est un peu comme cette image tenace et totalement erronée des troubles schizophréniques, les gens parlent d'autisme en ne sachant absolument pas de quoi il s'agit. 

On peut être HPI + T
SA, mais ce n'est pas du tout la norme, on peut aussi être autiste sans douance ou HQI sans être "autiste". Ce qui caractérise les deux n'est pas du tout la même chose, même s'il peut y avoir quelques vagues similitudes. 

Par exemple, beaucoup d'HPI/HQI peuvent rencontrer des difficultés sociales mais ce n'est pas une généralité et pas dans les mêmes proportions que dans l'autisme.

Je suis THQI diagnostiqué il y a longtemps et pourtant on vient tout juste, à 51 ans, de me faire rentrer dans la case autiste (je suis un cocktail de THQI + TSA + TDAH), maintenant que ça ne sert plus à rien (puisque je suis très heureux depuis quelques années et ne souffre plus). 

Les TSA sont difficiles à diagnostiquer et ça peut prendre longtemps (forte comorbidité), ce n'est pas le cas de la douance.

En France, les praticiens sont mal formés pour diagnostiquer convenablement les TSA, malgré l'existence de tests normés à l'international (ADOS-2, ADI-R,...). Ce qui explique le faible taux de détection par rapport au nombre réel de cas.

La douance n'est pas un trouble psychiatrique contrairement à l'autisme (même si cela fait débat). 

Et non, nous ne sommes pas tous solitaires, mais en ce qui me concerne c'est le cas, je n'ai aucun attrait pour les relations sociales, cela m'angoisse, c'est source de conflits vains et inutiles. Je ne suis pas du tout grégaire, je ne me sens jamais concerné par le concept de majorité (et par bien d'autres concepts de notre civilisation). Je trouve les codes sociaux totalement stupides, il m'a fallu des décennies pour arriver à les utiliser (c'est dur de devoir se plier en permanence à des usages que l'on trouve stupides). Maintenant je sais parfaitement faire, je m'adapte et je sais même être moteur au sein d'une équipe à tel point que personne ne puisse se douter de mes spécificités, mais je préfère la solitude (loin des humains, mais pas d'autres espèces vivantes), c'est elle qui me rend heureux, calme, serein. J'en ai besoin. Le confinement a par exemple était source de grande joie pour moi et j'attends avec impatience le prochain qui s'annonce.

Ma vie a été très riche, j'ai appris et exercé plusieurs métiers très différents et passionnants, passé plusieurs diplômes en VAE, mais elle a aussi été très compliquée et sous le signe de la dépression sévère. Depuis quelques années, j'ai radicalement changé ma façon de vivre, c'est ce qui m'a rendu enfin heureux. Mais nous ne sommes pas des copies les uns des autres, même lorsqu'on porte une telle étiquette. Être HPI ou TSA ne définit pas un individu, ce n'est qu'un de ses nombreux attributs. Il y a des HPI qui réussissent bien (à titre personnel j'entends), d'autres non. Cela n'offre aucune garantie d'échec ou de réussite. Il y a cependant très peu (voire aucun) THQI dans les "hautes sphères" de la société (c'est à dire riche et célèbre ou influent).
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HPI: Haut potentiel intellectuel
HQI: Haut quotient intellectuel
TSA: trouble du spectre de l'autisme
TDAH: Trouble de déficit de l'attention/ hyperactivité

N'ayant pas d'enfant, ni de proches concernés, votre commentaire était assez difficile à digérer du fait de l'utilisation de ces sigles inconnus pour moi ( même si j'en avait deviné quelques uns). L'utilisation de sigles est très pratique mais peut aussi rendre un écrit inintelligible si ils ne sont pas expliqués. J'espère avoir évité à certaines personnes des aller retour entre Google et SCMB pour vérifier les différents sigles :)

a écrit : HPI: Haut potentiel intellectuel
HQI: Haut quotient intellectuel
TSA: trouble du spectre de l'autisme
TDAH: Trouble de déficit de l'attention/ hyperactivité

N'ayant pas d'enfant, ni de proches concernés, votre commentaire était assez difficile à digérer du fait de l�
39;utilisation de ces sigles inconnus pour moi ( même si j'en avait deviné quelques uns). L'utilisation de sigles est très pratique mais peut aussi rendre un écrit inintelligible si ils ne sont pas expliqués. J'espère avoir évité à certaines personnes des aller retour entre Google et SCMB pour vérifier les différents sigles :) Afficher tout
A priori t es pas le seul :
www-futura--sciences-com.cdn.ampproject.org/v/s/www.futura-sciences.com/alternative/amp/actualite/83492/?amp_js_v=a6&amp_gsa=1&usqp=mq331AQFKAGwASA%3D#aoh=16036979641272&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&amp_tf=Source%C2%A0%3A%20%251%24s&ampshare=https%3A%2F%2Fwww.futura-sciences.com%2Fsciences%2Factualites%2Fscience-decalee-science-decalee-scientifiques-nen-peuvent-plus-acronymes-abscons-83492%2F
Sinon je trouve rigolo et judicieux que tu cites le fait d avoir un enfant pour connaître ces acronymes (TLA: three letters acronyms...et oui il y a aux usa un acronyme pour désigner les acronymes ;), comme quoi de nos jours on a tous un enfant surdoué et/ou hyper actif. Et je trouve ça rigolo car je ne connaissais pas ces acronymes avant d'avoir un gosse...
C est la mode ;).