Dracula en islandais était particulier

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Le célèbre roman de Stoker, Dracula, publié en 1897 a été traduit en Islandais en 1900 par un journaliste. Plus de 100 ans après, en 2014, M. de Roos, spécialiste de Dracula, se rendit compte que la traduction a été arrangée avec l’ajout de personnages et de nombreuses scènes de luxure.


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a écrit : C'est facile de dire ça. On pourrait avoir une traduction de l'Islandais vers le Français pour vérifier? Traduttore traditore ! (Le traducteur est un traître)

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La traduction du titre en Drencula pouvait mettre sur la piste ;)

a écrit : La traduction est un problème majeur et récurrent dans beaucoup de discipline.
Je pense que parfois il est même impossible de traduire avec justesse et précision malgré une bonne volonté qui à fait défaut à notre ami islandais.

Je pense par exemple au mot "neige", qui a de multiples déclina
isons dans les pays nordique alors qu'il n'y a qu'un mot pour le désigner dans les pays plus au sud comme la France, indépendamment du fait de la saison, de sa densité, texture etc (ça a fait l'objet d'une anecdote). Ou encore du mot amour, qui, si je ne m'abuse, en grec à plusieurs mots pour désigner soit l'amour familial, amical, sexuel etc.

En plus quand le jargon s'y met ça peut devenir un enfer. Le traducteur doit avoir des notions de la discipline sujet à traduction. En droit par exemple, ou un rien peu faire l'objet de débats doctrinaux interminables.

Comme les maximes cités précédemment, je pense que toute traduction dénature l'œuvre où la volonté de l'auteur initial. Le travail des traducteurs étant de minimiser cette altération. Ça serait intéressant d'avoir le regard qu'un traducteur porte sur son métier.
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Eh bien me voilà pour donner mon avis alors ;)
En effet il n'est pas toujours évident de tout traduire avec précision, mais on fait du mieux qu'on peut, et généralement c'est faisable quand même. Comme vous vous en doutez en traduction, la règle n'est pas un mot = un mot. Pour reprendre l'exemple de la neige, je n'y connais personnellement rien mais internet regorge d'explications je suppose, ce n'est donc pas compliqué de contourner la difficulté soit en paraphrasant, soit en utilisant simplement le mot d'origine et en expliquant de quoi il retourne. Le potentiel obstacle pouvant être une limitation de la longueur de la traduction, mais c'est très rare.
On se sert beaucoup du contexte, si on ne trouve pas d'équivalent on explique, on contourne ; de nos jours il serait presque de mauvaise foi de ne pas réussir à traduire un mot de manière convenable (mais ça arrive, tout a ses limites).
Le plus compliqué pour moi serait plutôt les expressions idiomatiques qui n'ont pas forcément un équivalent, et pourtant il faut en trouver un. Idem dans ce cas, il faut contourner et on peut perdre légèrement en qualité par rapport à la source, mais l'important pour un traducteur c'est la qualité dans la cible ! (et visiblement le traducteur islandais n'a pas lésiné sur ce point :')

Je me tue à expliquer que traduire ce n'est pas simplement mettre son texte dans DeepL et le laisser faire le boulot T_T (bien que, honnêtement, DeepL est très bon). Je passe parfois des heures sur seulement quelques mots pour être sûre d'en trouver la traduction la plus juste, la plus précise. Mais d'après moi dans, allez, 97% des cas c'est possible (chiffre balancé un peu au hasard basé sur mon expérience personnelle). Après, je suis traductrice technique justement parce que j'aime cette précision et je trouve plus simple de rédiger un texte technique (par opposition à littéraire, j'entends), parce que justement les libertés à prendre sont limitées, et je n'ai pas l'esprit créatif d'un auteur, la traduction littéraire serait pour moi un cauchemar, pour un rendu probablement déplorable.

Pour revenir sur le côté dénaturement, c'est évident, c'est obligé, on ne peut pas y couper (quoique ça dépend des textes, encore). Mais ce n'est pas l'important. Le coeur d'un texte c'est son sens, et mon travail est de restituer ce sens, sans perdre une seule info importante. Mais forcément que le texte cible ne sera pas le même que le texte source, ce n'est pas la même langue, généralement pas la même culture, pas les mêmes références, donc obligatoirement on perd qqch. Mais on gagne autre chose. Je m'applique à restituer un sens, l'idée étant qu'il ne doit pas être possible de percevoir qu'il s'agit d'une traduction.

Bon encore une fois je parle de traduction technique, donc ce dénaturement, en plus de ne pas être grave, est presque requis (je dis bien presque parce qu'il n'est pas toujours nécessaire). On adapte, quoi. Pour ce qui est du littéraire, je suppose que c'est bien différent, les messages et les enjeux ne sont pas les mêmes, le langage utilisé non plus. Bref je n'y connais pas grand chose donc je ne vais pas m'étendre.

Voilà désolée pour le pavé je voulais être plus concise mais je suis vraiment passionnée par mon travail donc j'ai tendance à me laisser aller :')

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C'est facile de dire ça. On pourrait avoir une traduction de l'Islandais vers le Français pour vérifier?

a écrit : C'est facile de dire ça. On pourrait avoir une traduction de l'Islandais vers le Français pour vérifier? Traduttore traditore ! (Le traducteur est un traître)

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La traduction du titre en Drencula pouvait mettre sur la piste ;)

a écrit : C'est facile de dire ça. On pourrait avoir une traduction de l'Islandais vers le Français pour vérifier? Justement, je voulais savoir si par hasard on pouvait avoir une version française de la version islandaise... ;) :p

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a écrit : Traduttore traditore ! (Le traducteur est un traître) Traducir es trahucir, pourrait-on ajouter...

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a écrit : Justement, je voulais savoir si par hasard on pouvait avoir une version française de la version islandaise... ;) :p La traduction islandaise pourrait se traduire par "50 nuances de Dracula".

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La traduction est un problème majeur et récurrent dans beaucoup de discipline.
Je pense que parfois il est même impossible de traduire avec justesse et précision malgré une bonne volonté qui à fait défaut à notre ami islandais.

Je pense par exemple au mot "neige", qui a de multiples déclinaisons dans les pays nordique alors qu'il n'y a qu'un mot pour le désigner dans les pays plus au sud comme la France, indépendamment du fait de la saison, de sa densité, texture etc (ça a fait l'objet d'une anecdote). Ou encore du mot amour, qui, si je ne m'abuse, en grec à plusieurs mots pour désigner soit l'amour familial, amical, sexuel etc.

En plus quand le jargon s'y met ça peut devenir un enfer. Le traducteur doit avoir des notions de la discipline sujet à traduction. En droit par exemple, ou un rien peu faire l'objet de débats doctrinaux interminables.

Comme les maximes cités précédemment, je pense que toute traduction dénature l'œuvre où la volonté de l'auteur initial. Le travail des traducteurs étant de minimiser cette altération. Ça serait intéressant d'avoir le regard qu'un traducteur porte sur son métier.

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a écrit : La traduction est un problème majeur et récurrent dans beaucoup de discipline.
Je pense que parfois il est même impossible de traduire avec justesse et précision malgré une bonne volonté qui à fait défaut à notre ami islandais.

Je pense par exemple au mot "neige", qui a de multiples déclina
isons dans les pays nordique alors qu'il n'y a qu'un mot pour le désigner dans les pays plus au sud comme la France, indépendamment du fait de la saison, de sa densité, texture etc (ça a fait l'objet d'une anecdote). Ou encore du mot amour, qui, si je ne m'abuse, en grec à plusieurs mots pour désigner soit l'amour familial, amical, sexuel etc.

En plus quand le jargon s'y met ça peut devenir un enfer. Le traducteur doit avoir des notions de la discipline sujet à traduction. En droit par exemple, ou un rien peu faire l'objet de débats doctrinaux interminables.

Comme les maximes cités précédemment, je pense que toute traduction dénature l'œuvre où la volonté de l'auteur initial. Le travail des traducteurs étant de minimiser cette altération. Ça serait intéressant d'avoir le regard qu'un traducteur porte sur son métier.
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C'est un "problème" bien connu et présent pour toutes les œuvres, mais ce n'est pas ce qu'il s'est passé ici.
On ne parle pas d'ajustements de traduction (jeux de mots, nuances de vocabulaire ou subtilités perdues...) mais bien de modification du scénario ! (Une nuance de mot n'oblige par exemple pas à ajouter des personnages)

Un truc assez drôle qu'une amie étudiante en anglais m'avait raconté à l'époque:

Elle traduisait des romans de la collection Arlequin ("le champion de l'amour" pour ceux qui connaissent) pour arrondir ses fins de mois, et l'éditeur lui avait demandé de supprimer systématiquement toutes les moustaches car les lectrices françaises n'aimaient pas les moustachus.

Cette anecdote met en fait en avant une autre vision de la traduction. Pendant longtemps, on a considéré la traduction d'un livre comme une oeuvre à part entière. Il était donc fréquent de prendre des libertés avec le texte, voire de ne pas du tout citer l'auteur d'origine. C'est quelque chose qui peut choquer aujourd'hui, mais qui était tout à fait normale à l'époque.
D'ailleurs, beaucoup de stars françaises ont adapté des chansons anglophones dans les années 60, sans affirmer clairement que ce n'était pas des compositions originales. Régine, si je ne m'abuse, ira même jusqu'à dire que c'est Gloria Gaynor qui avait adapté sa chanson "Je survivrai" et non l'inverse. (Et je ne crois pas qu'il y ait eu de procès).
On peut aussi penser à polémique CopyComic.
La notion de plagiat est en fait très récente et n'a pas totalement fini d'évoluer, je pense.

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a écrit : La traduction est un problème majeur et récurrent dans beaucoup de discipline.
Je pense que parfois il est même impossible de traduire avec justesse et précision malgré une bonne volonté qui à fait défaut à notre ami islandais.

Je pense par exemple au mot "neige", qui a de multiples déclina
isons dans les pays nordique alors qu'il n'y a qu'un mot pour le désigner dans les pays plus au sud comme la France, indépendamment du fait de la saison, de sa densité, texture etc (ça a fait l'objet d'une anecdote). Ou encore du mot amour, qui, si je ne m'abuse, en grec à plusieurs mots pour désigner soit l'amour familial, amical, sexuel etc.

En plus quand le jargon s'y met ça peut devenir un enfer. Le traducteur doit avoir des notions de la discipline sujet à traduction. En droit par exemple, ou un rien peu faire l'objet de débats doctrinaux interminables.

Comme les maximes cités précédemment, je pense que toute traduction dénature l'œuvre où la volonté de l'auteur initial. Le travail des traducteurs étant de minimiser cette altération. Ça serait intéressant d'avoir le regard qu'un traducteur porte sur son métier.
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Eh bien me voilà pour donner mon avis alors ;)
En effet il n'est pas toujours évident de tout traduire avec précision, mais on fait du mieux qu'on peut, et généralement c'est faisable quand même. Comme vous vous en doutez en traduction, la règle n'est pas un mot = un mot. Pour reprendre l'exemple de la neige, je n'y connais personnellement rien mais internet regorge d'explications je suppose, ce n'est donc pas compliqué de contourner la difficulté soit en paraphrasant, soit en utilisant simplement le mot d'origine et en expliquant de quoi il retourne. Le potentiel obstacle pouvant être une limitation de la longueur de la traduction, mais c'est très rare.
On se sert beaucoup du contexte, si on ne trouve pas d'équivalent on explique, on contourne ; de nos jours il serait presque de mauvaise foi de ne pas réussir à traduire un mot de manière convenable (mais ça arrive, tout a ses limites).
Le plus compliqué pour moi serait plutôt les expressions idiomatiques qui n'ont pas forcément un équivalent, et pourtant il faut en trouver un. Idem dans ce cas, il faut contourner et on peut perdre légèrement en qualité par rapport à la source, mais l'important pour un traducteur c'est la qualité dans la cible ! (et visiblement le traducteur islandais n'a pas lésiné sur ce point :')

Je me tue à expliquer que traduire ce n'est pas simplement mettre son texte dans DeepL et le laisser faire le boulot T_T (bien que, honnêtement, DeepL est très bon). Je passe parfois des heures sur seulement quelques mots pour être sûre d'en trouver la traduction la plus juste, la plus précise. Mais d'après moi dans, allez, 97% des cas c'est possible (chiffre balancé un peu au hasard basé sur mon expérience personnelle). Après, je suis traductrice technique justement parce que j'aime cette précision et je trouve plus simple de rédiger un texte technique (par opposition à littéraire, j'entends), parce que justement les libertés à prendre sont limitées, et je n'ai pas l'esprit créatif d'un auteur, la traduction littéraire serait pour moi un cauchemar, pour un rendu probablement déplorable.

Pour revenir sur le côté dénaturement, c'est évident, c'est obligé, on ne peut pas y couper (quoique ça dépend des textes, encore). Mais ce n'est pas l'important. Le coeur d'un texte c'est son sens, et mon travail est de restituer ce sens, sans perdre une seule info importante. Mais forcément que le texte cible ne sera pas le même que le texte source, ce n'est pas la même langue, généralement pas la même culture, pas les mêmes références, donc obligatoirement on perd qqch. Mais on gagne autre chose. Je m'applique à restituer un sens, l'idée étant qu'il ne doit pas être possible de percevoir qu'il s'agit d'une traduction.

Bon encore une fois je parle de traduction technique, donc ce dénaturement, en plus de ne pas être grave, est presque requis (je dis bien presque parce qu'il n'est pas toujours nécessaire). On adapte, quoi. Pour ce qui est du littéraire, je suppose que c'est bien différent, les messages et les enjeux ne sont pas les mêmes, le langage utilisé non plus. Bref je n'y connais pas grand chose donc je ne vais pas m'étendre.

Voilà désolée pour le pavé je voulais être plus concise mais je suis vraiment passionnée par mon travail donc j'ai tendance à me laisser aller :')

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Des petits coquins ces Islandais ! Il faut bien se réchauffer comme on peut !

J'en profite pour rappeler l'importance de lire, car tout ceux ayant lu le roman de Stoker auront remarqué que l'œuvre est très différente de l'image populaire et des adaptations cinématographiques. Je ne dis pas que les adaptations ne méritent pas d'intérêt, toutefois il faut prendre le temps de lire le roman pour constater qu'on est loin du film d'horreur avec un comte à la peau livide, drapé de smoking noir et rouge et aux traits de Juif ashkénaze qui s'abreuve abondamment de sang, dort dans un cercueil, se transforme en chauve-souris et fuit l'ail, les crucifix et la lumière du jour. Cela remonte à plusieurs années mais dans mes souvenirs la plupart de ces éléments ne figurent pas dans le roman.

Ah le problème des traductions... La connaissance de la langue n’est pas le seul problème. Il y a aussi la « culture ». Car ce n’est le tout de maîtriser le vocabulaire et les subtilités d’une langue, si on ne connaît pas le contexte ... ça change tout !
Alors ça peut aller du pas bien grave comme dans le Cujo de Stephen King chez J’ai Lu: en français les garçons regardent à la télé les « Ducs du hazard » ( « the Dukes of Hazard » ) donc en fait « chérif fait moi peur », pas méchant comme erreur ... mais ça peut aller jusqu’au contre sens total comme dans Friends quand la jeune sœur de Rachel, très vénale, a rencontré un type qui a un appartement d’enfer ... « au 5ème ! » Hein ? Et alors au 5ème ?! Ça fait quoi ? Au 4ème ça craint et au 6ème c’est pire ??
Non en, VO, l’appartement est ... « on 5th » c’est à dire sur la 5ème Avenue !!! Donc chic ! Donc le gars est riche... et pas au 5ème !!! Contre sens total !!

a écrit : Des petits coquins ces Islandais ! Il faut bien se réchauffer comme on peut !

J'en profite pour rappeler l'importance de lire, car tout ceux ayant lu le roman de Stoker auront remarqué que l'œuvre est très différente de l'image populaire et des adaptations cinématographiques. Je ne di
s pas que les adaptations ne méritent pas d'intérêt, toutefois il faut prendre le temps de lire le roman pour constater qu'on est loin du film d'horreur avec un comte à la peau livide, drapé de smoking noir et rouge et aux traits de Juif ashkénaze qui s'abreuve abondamment de sang, dort dans un cercueil, se transforme en chauve-souris et fuit l'ail, les crucifix et la lumière du jour. Cela remonte à plusieurs années mais dans mes souvenirs la plupart de ces éléments ne figurent pas dans le roman. Afficher tout
Cela ressemble à quoi un juif ashkénaze ?

a écrit : Cela ressemble à quoi un juif ashkénaze ? C'est le début d'une blague de mauvais goût ? Attention à ce genre de question Tybs...

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a écrit : C'est le début d'une blague de mauvais goût ? Attention à ce genre de question Tybs... C’est le commentaire auquel je répondais que je trouvais de mauvais goût.

a écrit : C’est le commentaire auquel je répondais que je trouvais de mauvais goût. Oui, mais malheureusement, votre question peut mener à des tentatives de réponse...hasardeuse.
La description de départ est de mauvais goût mais si personne ne rebondit dessus elle passe inaperçue et tant mieux. Quand il y a un pavé comme ça je lis en diagonale...donc je ne vois pas forcément l'expression. Mais juste après je lis votre question étrange alors je relis le commentaire en question, et là, bim vous venez de donner de la lisibilité à un truc idiot alors que vous vouliez le dénoncer.

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a écrit : C’est le commentaire auquel je répondais que je trouvais de mauvais goût. A mon avis il s'est doublement trompé.
Il voulait certainement dire séfarade plutôt qu'ashkénaze et il a du confondre Dracula avec Nosferatu.
Il est vrai que la comparaison n'est pas très heureuse mais certaines images ont la vie dure.

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a écrit : Oui, mais malheureusement, votre question peut mener à des tentatives de réponse...hasardeuse.
La description de départ est de mauvais goût mais si personne ne rebondit dessus elle passe inaperçue et tant mieux. Quand il y a un pavé comme ça je lis en diagonale...donc je ne vois pas forcément l'expression.
Mais juste après je lis votre question étrange alors je relis le commentaire en question, et là, bim vous venez de donner de la lisibilité à un truc idiot alors que vous vouliez le dénoncer. Afficher tout
Passer sous silence un commentaire « idiot » (selon ton terme) ne le rendra pas moins idiot. Comme je ne connais pas les intentions de l’auteur, je pose la question.
Je ne crois pas que laisser passer ce qui me semble pour le moment et à priori du racisme latent soit une bonne idée.

a écrit : Passer sous silence un commentaire « idiot » (selon ton terme) ne le rendra pas moins idiot. Comme je ne connais pas les intentions de l’auteur, je pose la question.
Je ne crois pas que laisser passer ce qui me semble pour le moment et à priori du racisme latent soit une bonne idée.
Je vous laisse répondre à shampoo...qui là est encore pire que l'autre.

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