Le patient est celui qui souffre

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On pourrait déduire que la patience signifie : celui qui souffre de l'attente


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Ben...Ça pourrait être les deux parce-que le plus souvent, on patiente en souffrant.

On pourrait déduire que la patience signifie : celui qui souffre de l'attente

Le patient compatit, que la pâtisserie pâtisse d'un mauvais pâtisson à coté de la patinoire.

J'aurais jamais pensé que patient voulait dire patience lol, la maladie patiente pas.

Étymologiquement, j'avais en tête le grec pathos , et tous les termes qui en découlent tels que pathologie, ostéopathie, etc...
Je me consulterai moins bête.

a écrit : Le patient compatit, que la pâtisserie pâtisse d'un mauvais pâtisson à coté de la patinoire. C'est pathitique!!!

Je suis un peu déçu car ça le faisait mieux avec la "patience"... Je suis allé aux urgences d'un hosto récemment (fracture d'un bras), en semaine, et j'y ai "patienté" 8h15 !!! Entrée 21h, sortie 5h15 du mat ; surréaliste ;)

a écrit : Les deux mots ont exactement la même étymologie:

www.cnrtl.fr/definition/academie9/patience

Cette anecdote me semble être un peu bancale.
Oui et non. Être un patient, c'est endurer la souffrance, être patient, c'est endurer l'attente. La racine est la même, l'étymologie est la même, mais le chemin pour y parvenir n'est pas le même.

a écrit : Oui et non. Être un patient, c'est endurer la souffrance, être patient, c'est endurer l'attente. La racine est la même, l'étymologie est la même, mais le chemin pour y parvenir n'est pas le même. Ba non ! C’est juste faux de dire que patient ne découle pas de patience.
On devrait souligner que le sens du mot patience s’est restreint à la notion d’attente.
Ça coûte quoi d’être précis ? En l’état, si on lit cette anecdote et qu’on la retient, on se couchera plus bête qu’en se levant. C’est dommage.

« Patientia »signifiant « l’action d’endurer, de supporter » est un terme latin à l’origine du mot « patient » qui peut avoir deux sens. De manière générale, la personne patiente est celle qui endure ou supporte l’attente alors qu’en médecine le patient est celui qui endure ou supporte la souffrance.
« Patientia » est issu de « pati » signifiant « éprouver, souffrir ».

Voici un exemple de correction qu’on pourrait apporter.

a écrit : Les deux mots ont exactement la même étymologie:

www.cnrtl.fr/definition/academie9/patience

Cette anecdote me semble être un peu bancale.
Qu ils aient la meme ethymologie ne signifie pas que l un vient de l autre, mais que les deux ont la meme origine, ce qui est tres différent.

a écrit : Je suis un peu déçu car ça le faisait mieux avec la "patience"... Je suis allé aux urgences d'un hosto récemment (fracture d'un bras), en semaine, et j'y ai "patienté" 8h15 !!! Entrée 21h, sortie 5h15 du mat ; surréaliste ;) Dur loi des hôpitaux.... une fracture du bras non compliquée n est pas une "urgence" même si ça y nécessite une visite.
Ce temps représente l accueil des autres patients dont celui qui nécessite une prise en charge urgente, la poursuite des soins des autres patients dont celui qui nécessite des soins urgents, l' accueil des suivants, l' administratif, la suite des soins et l accueil des suivants, l attente des prescriptions ou dans ton cas radio interepretation, ecaluation des autres risques, la suites des soins des precedent, l accueil des nouveaux, la pose de plâtre, l administratif l' accueil, l appel des ambulances pour ceux de l'après midi qui peuvent rentrer l' orientation des uns et des autres dans les différents services les transfert dans d'autres hôpitaux....et je peux continuer comme ca des heures avant que tu sois sortie "si longtemps après ton entree..."oui c'est long mais avec deux ou trois infirmiers et un ou deux aide soignant par exemple pour la pec de 150- infini (les jours d événements )personnes par jour c est long, difficile et fatiguants....et tt ça sans qu'on ne te demande 1€

a écrit : Je suis un peu déçu car ça le faisait mieux avec la "patience"... Je suis allé aux urgences d'un hosto récemment (fracture d'un bras), en semaine, et j'y ai "patienté" 8h15 !!! Entrée 21h, sortie 5h15 du mat ; surréaliste ;) ca va hein, j'ai poireauté (dans un lit certes) 18h avec une jambe fracturée en 5 morçeaux (sans compter la maléole qui se promenait entre ce qui restait du tibia et du péroné)... ma vie n'était pas en danger qu'ils disaient. Ce qui était vrai m'enfin le di-antalvic, c'est moyen la! Un p'tit rhum avec du jus d'ananas aurait été bienvenu! ^^

a écrit : Dur loi des hôpitaux.... une fracture du bras non compliquée n est pas une "urgence" même si ça y nécessite une visite.
Ce temps représente l accueil des autres patients dont celui qui nécessite une prise en charge urgente, la poursuite des soins des autres patients dont celui qui nécessite des soins u
rgents, l' accueil des suivants, l' administratif, la suite des soins et l accueil des suivants, l attente des prescriptions ou dans ton cas radio interepretation, ecaluation des autres risques, la suites des soins des precedent, l accueil des nouveaux, la pose de plâtre, l administratif l' accueil, l appel des ambulances pour ceux de l'après midi qui peuvent rentrer l' orientation des uns et des autres dans les différents services les transfert dans d'autres hôpitaux....et je peux continuer comme ca des heures avant que tu sois sortie "si longtemps après ton entree..."oui c'est long mais avec deux ou trois infirmiers et un ou deux aide soignant par exemple pour la pec de 150- infini (les jours d événements )personnes par jour c est long, difficile et fatiguants....et tt ça sans qu'on ne te demande 1€ Afficher tout
Tout dépend de la complexité de la fracture mais globalement on peut quand même admettre que 8h15 c’est surréaliste pour passer une radio + plâtre.
Bien sûr les patient des urgences non graves ont tendance à être casse pied mais des fois il faut aussi les comprendre !

a écrit : ca va hein, j'ai poireauté (dans un lit certes) 18h avec une jambe fracturée en 5 morçeaux (sans compter la maléole qui se promenait entre ce qui restait du tibia et du péroné)... ma vie n'était pas en danger qu'ils disaient. Ce qui était vrai m'enfin le di-antalvic, c'est moyen la! Un p'tit rhum avec du jus d'ananas aurait été bienvenu! ^^ Afficher tout Vu qu’on a sûrement dû opérer, il a fallu attendre le chirurgien qui souvent est déjà occupé à autre chose.
Le plus enquiquinant étant de devoir rester à jeun sans vraiment savoir quand on va passer sur la table. Mais bon c’est dans l’intérêt du b’essé.

a écrit : Vu qu’on a sûrement dû opérer, il a fallu attendre le chirurgien qui souvent est déjà occupé à autre chose.
Le plus enquiquinant étant de devoir rester à jeun sans vraiment savoir quand on va passer sur la table. Mais bon c’est dans l’intérêt du b’essé.
peut etre, mais ca a été la seule fois de ma vie ou j'ai pleuré de douleur et qu'on m'a répondu: les médocs sont distribués a 1 heure du mat, il va falloir attendre. deux petites heures.
Depuis, quand j'ai mal, je hurle, ca marche du tonnerre de dieu! ;)

Ptain c'est pas trop demander un antidouleur a 30 centimes BORD....L!!!!

a écrit : peut etre, mais ca a été la seule fois de ma vie ou j'ai pleuré de douleur et qu'on m'a répondu: les médocs sont distribués a 1 heure du mat, il va falloir attendre. deux petites heures.
Depuis, quand j'ai mal, je hurle, ca marche du tonnerre de dieu! ;)

Ptain c'est pas trop
demander un antidouleur a 30 centimes BORD....L!!!! Afficher tout
Étrange en effet. Par curiosité c’était quand ?

a écrit : "Les patients sont priés d'être patients." Et ils sont priés de ne pas mourir dans les couloirs...