L’expression "les dents du bonheur" désigne les personnes ayant un écartement entre leurs incisives (en odontologie, on parle de diastème). L'expression remonterait aux guerres napoléoniennes, où les soldats avaient besoin d'avoir des incisives performantes afin de ne pas être gênés lorsqu'ils ouvraient la recharge de poudre pour leur fusil avec les dents. Ceux ayant un diastème étaient donc écartés du front, pour leur plus grand bonheur.
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De même que ceux ayant des varices, anecdote du 18/01/2012.
Les prussiens n'ont pas été au sommet de leur forme pendant les guerres napoléoniennes, mais ils possédaient des fusils avec une lame intégrée permettant de faire cette opération sans les dents, et plus vite.
Aujourd'hui une munition est composée d'un étui (laiton en général), entourant l'amorce, la charge et le projectile (la "balle").
Avant ces munitions métalliques, les munitions étaient une sorte de cigarette de papier, avec stocké à un l'intérieur la balle et de la poudre. La procédure était la suivante :
- il fallait déchirer l'emballage (d'où la nécessité d'une bonne dentition)
- verser la majorité de la poudre dans le canon
- verser le restant dans le bassinet (ce à quoi le silex ou la mèche mettait le feu quand on appuyait sur le chien)
- introduire la balle
- faire une bourre avec le papier et l'introduire à la suite de la balle
- tasser avec la baguette
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De même que ceux ayant des varices, anecdote du 18/01/2012.
Les prussiens n'ont pas été au sommet de leur forme pendant les guerres napoléoniennes, mais ils possédaient des fusils avec une lame intégrée permettant de faire cette opération sans les dents, et plus vite.
On parle bien, des recharges de poudres emballées dans du papier? Cet emballage qu'un soldat (napoléonien) décida de remplir de tabac (il avait cassé sa pipe à tabac), créant ainsi la première cigarette.
Aujourd'hui une munition est composée d'un étui (laiton en général), entourant l'amorce, la charge et le projectile (la "balle").
Avant ces munitions métalliques, les munitions étaient une sorte de cigarette de papier, avec stocké à un l'intérieur la balle et de la poudre. La procédure était la suivante :
- il fallait déchirer l'emballage (d'où la nécessité d'une bonne dentition)
- verser la majorité de la poudre dans le canon
- verser le restant dans le bassinet (ce à quoi le silex ou la mèche mettait le feu quand on appuyait sur le chien)
- introduire la balle
- faire une bourre avec le papier et l'introduire à la suite de la balle
- tasser avec la baguette
Ces anecdotes ne m'inspirent jamais vraiment trop confiance, les origines des expressions sont trop souvent contestées sur SCMB
Mais bon, même si ce n'est peut être pas la vérité ça reste une belle petite anecdote a sortir pour briller en société !
Ouf ! J y échappe !!
Ce qui explique la cadence de feu : à l’ère napoléonienne, guère plus de 3 coups par minute pour des unités vétérantes, à opposer aux armes individuelles actuelles qui tirent entre 500 et 1’000 coups minute en théorie.
Mais merci pour les précisions très bienvenues, qui permettront aux intéressés de se pencher dessus plus sérieusement !
Les pâtissiers aussi étaient exemptés à cause des caries dentaires
les gens qui ont ça ont une belle vie : yannick noah, legitimus, vanessa paradise, faut croire que ça leur porte bonnheur
Bein sous Napoléon, valait mieux être édenté !!!
Et qu’en était-il des sans dents dont nous sommes les héritiers ?