Lorsqu'il affronta l'ordinateur Deep Blue, le champion d'échecs Garry Kasparov crut lors de la première partie à une intelligence supérieure de la machine qui venait de faire un coup tout à fait inattendu, qui le déstabilisa. En réalité, le coup joué était le résultat d'un bogue de l'ordinateur, qui ne sachant quoi faire joua au hasard.
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Ce genre de comportement est surtout due à une volonté des concepteurs de l'IA, qui l'ont fait jouer au hasard quand elle n'avait pas de meilleure solution ... Un vrai bug n'aurait presque aucune chances de déboucher sur un résultat aussi constructif.
Les commentaires de l'époque montrent que tous croyaient à l'histoire du papillon coincé et à l'invention du terme par Grace Hopper.
Lors de l'essai, après avoir fourni toutes les informations sur la situation, la question était "attack or retreat?".
Réponse au bout d'un long moment: "Yes!".
"Yes what?".
"Yes, Sir!".
;)
Les plus sanguinaires des dictateurs se croyaient souvent les plus efficaces pour l'avenir de leur peuple (enfin, des survivants)
Pas besoin d'aller bien loin: sur ce site, des commentaires erronés ont souvent bien plus de voix que ceux qui tentent de rétablir la vérité, parce qu'ils sont plus perspicaces ou mieux informés.
Mais ça permet d'éviter certaines dérives en répartissant un peu plus les pouvoirs...
tout n'est pas parfait dans la démocratie... d'ailleurs c'est pour cela que des centaines de décisions sont prises par les parlementaires sans passer par des référendum souvent des décisions impopulaires. Ce n'est d'ailleurs pas parce qu'une décision est populaire qu'elle est bonne.
Pour des décisions importantes, il faut parfois aller vite et passer par des process impliquant beaucoup de monde non seulement ralentira ce process mais ne donnera pas forcément le bon résultat. Demander l'avis à trop de monde amène plus de confusion que de résultats.
d'autre part, on peut aussi se poser des questions sur un système et remettre en cause certains de ses aspects sans pour autant aller à l'extrème (la dictature dans de ce cas).
L'exemple que je donne démontre que les meilleurs solutions sont rares et viennent seulement de quelques uns... certainement pas de la "masse". La majorité n'a pas toujours raison et ne prend pas toujours les bonnes décisions.
Lorsque les parlementaires font passer des lois impopulaires sans même passer par un referendum, ils ne sont pourtant pas des dictateurs.
Le danger écarté, il s'est effacé, n'ayant aucune ambition.
Bien plus tard, la République est devenu un Empire assez vite décadent, à cause des populaires César, Pompée, et Crassus (d'où mon pseudo ironique).
Toute cette discussion est hors sujet, tant pis. C'est la faute à latour, pourtant bien à sa place dans le jeu d'échecs. ;)
Si tu joues le premier pour gagner ( si l'adversaire n'est pas distrait) il faut jouer un coin ou la case centrale, si ton adversaire ne joue pas un coin ou le centre il perdra à coup sûr si tu connais la technique
Comme quoi des fois faut pas chercher midi à dix heures, les réponses sont simple.