Lors d'une activité physique, en plus de la pression qui est augmentée, l'irrigation est modifiée. Par exemple, le volume sanguin distribué au niveau de l'appareil digestif et urinaire diminue au profit d'une augmentation du volume sanguin irriguant les muscles soutenant l'effort physique. Le cerveau est le seul organe pour lequel le volume sanguin distribué ne change pas au cours d'un effort.
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Ce qui peut d'ailleurs entraîner quelques problèmes de transit ;)
Il se passe d'ailleurs la même chose dans le cadre le la réponse combat-fuite fasse a un danger: le sang est rédigé vers les muscles afin d'être prêt physiquement, ce qui fait que l'on ressent quelques paillons dans le ventre quand est stressé
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Ce qui peut d'ailleurs entraîner quelques problèmes de transit ;)
Il se passe d'ailleurs la même chose dans le cadre le la réponse combat-fuite fasse a un danger: le sang est rédigé vers les muscles afin d'être prêt physiquement, ce qui fait que l'on ressent quelques paillons dans le ventre quand est stressé
Et en ce qui l'effort au lit? Le sang est irrigué ou principalement?
C'est pas aussi le même genre de phénomène avec l'angle de vue qui rétressit après un long effort ?
C'est d'ailleurs l'une des principales causes d'abandon sur les courses longues distances, l'impossibilité de se nourrir ou boire après quelques heures d'effort...
Je commente ma propre anecdote pour detailler. Cette faculté de "redistribution du sang" est due à la vasomotricité des arterioles qui sont capables de modifier leur diamètre (et donc le début sanguin). Une arteriole musculaire subira une vasodilatation tandis qu' une artèriole reinale subira une vasoconstriction
Pour être plus précis, ceci ne concerne pas uniquement l'activité physique mais le stress de manière générale.
Si une personne est stressé dans son lit, elle souffrira également de problème de transit. Cette réaction est un mécanisme évolutif permettant à l'organisme de rediriger prioritairement les dépense énergétiques vers les organes permettant une réponse adaptée à une agression (cerveau, muscle) en délaissant le reste. Tout ça sous la médiation d'une hormone bien connue : l'adrénaline.
Parlez en à votre médecin !