Le médecin juif de la famille d'Hitler fut protégé

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Eduard Bloch était un médecin juif autrichien qui bénéficia d'un statut particulier au début de la Seconde Guerre mondiale. Hitler lui-même ordonna à la Gestapo de le protéger le temps qu'il émigre aux Etats-Unis, pour une raison simple : il fut le médecin de la famille d'Hitler au début du XXe siècle.


Commentaires préférés (3)

Grand seigneur ce fameux Hitler...

Il aurait mieux fallu qu'il soit un piètre médecin ...

Hitler n'était pas antisémite... Il avait lui même un excellent ami juif ! :)
J'ai ne sais plus qui dit ça dans un sketch...
En tous cas voilà une preuve supplémentaire, s'il en fallait, pour les négationnistes : Hitler sauvant "son" juif en début de guerre, démontre bien qu'il savait ce qu'il allait faire ensuite.


Tous les commentaires (53)

Un Juif sauvé quand tant d'autres ont péri sous la férule d'Hitler....

Grand seigneur ce fameux Hitler...

Il aurait mieux fallu qu'il soit un piètre médecin ...

Cela est une preuve supplémentaire de l'incohérence d'Hitler. Ce médecin n'est pas le seul juif à avoir eu un statut particulier après tout. Les vétérans de guerres étaient par exemple "épargnés" ( je parle en théorie) par les lois et comportements antisémites.

a écrit : Un Juif sauvé quand tant d'autres ont péri sous la férule d'Hitler.... C'est la mode de la férule en ce moment, pour ma part elle est plantaire

a écrit : Cela est une preuve supplémentaire de l'incohérence d'Hitler. Ce médecin n'est pas le seul juif à avoir eu un statut particulier après tout. Les vétérans de guerres étaient par exemple "épargnés" ( je parle en théorie) par les lois et comportements antisémites. Ayant lui même participé à 14-18 (même si vite réformé car gazé) je pense qu'il a toujours eu un profond respect pour les soldats.

Y'a plein d'exemples avec des membres de la noblesse militaire prussienne qui le contredisent sans être inquiété ou même avec Ernst Junger, opposant au nazisme même s'il eût une période un peu fascisante.

(Ernst junger à des états de service assez incroyables)

Hitler n'était pas antisémite... Il avait lui même un excellent ami juif ! :)
J'ai ne sais plus qui dit ça dans un sketch...
En tous cas voilà une preuve supplémentaire, s'il en fallait, pour les négationnistes : Hitler sauvant "son" juif en début de guerre, démontre bien qu'il savait ce qu'il allait faire ensuite.

D'ailleurs le médecin qui soigna et protégea Göring après le putsch raté de Munich en novembre 1923, et qui lui administra d'ailleurs ses premières doses de morphine à laquelle il devint "accro", était juif également et fut aussi sauvé de l'Holocauste par Göring.
Quels grands cœurs ils avaient... (Humour)

a écrit : Ayant lui même participé à 14-18 (même si vite réformé car gazé) je pense qu'il a toujours eu un profond respect pour les soldats.

Y'a plein d'exemples avec des membres de la noblesse militaire prussienne qui le contredisent sans être inquiété ou même avec Ernst Junger, opposant au nazisme m
ême s'il eût une période un peu fascisante.

(Ernst junger à des états de service assez incroyables)
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Un profond respect pour les soldats ?
Si tu parles des combattants de 39-45 je ne pense pas ...
Quand tu vois que les autres étaient de résister jusqu'à la mort au etre exécuté ...
Puis aller chercher des réserves dans les jeunes de 10-15 ans et 45-70ans ... J'appelle pas ça respecter des soldats ... Surtout quand on les utile comme des pions sur une carte !

a écrit : Hitler n'était pas antisémite... Il avait lui même un excellent ami juif ! :)
J'ai ne sais plus qui dit ça dans un sketch...
En tous cas voilà une preuve supplémentaire, s'il en fallait, pour les négationnistes : Hitler sauvant "son" juif en début de guerre, démontre bien qu'il savait ce qu'il allait faire ensuite.
Au début de la guerre, les nazis ne sont pas encore décidés à ce qu'ils vont faire subir aux juifs. D'abord ils sont privés de certains de leurs droits et enfermés dans des ghettos ou des camps de concentration. Pendant qu'à l'Est on les fusille (shoah par balle), d'autres réfléchissent à de meilleur moyens. Des idées loufouques apparaissent, comme l'exil à Madagascar, ou l'asphyxie dans des camions qui rejettent leurs gaz d'échappement dans sa cargaison...
Finalement en 1942, il est décidé de les emmener en camp et de les tuer. La shoah par balle étant source d'un profond malaise même chez les éxécutants les plus dévoués (on se demande pourquoi), il est choisi les célèbres chambre à gaz, qui s'ajoute au travail forcé, la sous alimentation...

C'était pour Hitler un EdelJude ou "Juif du bien, et si tous les juifs étaient comme lui, l'antisémitisme n'aurai plus de raison d'être". C'est alors que l'on voit que tout le racisme mise en place par le régime Nazi est illogique et infondé. De nombreux juifs furent couvert par les grands chefs du parti, c'était souvent des amis de longue de date. C'est pour moi la preuve suffisante que tout un peuple servi de bouc émissaire.

Est-ce que le médecin avait un lien avec l'autrichienne Adele Bloch peint part Klimt ?

a écrit : Ayant lui même participé à 14-18 (même si vite réformé car gazé) je pense qu'il a toujours eu un profond respect pour les soldats.

Y'a plein d'exemples avec des membres de la noblesse militaire prussienne qui le contredisent sans être inquiété ou même avec Ernst Junger, opposant au nazisme m
ême s'il eût une période un peu fascisante.

(Ernst junger à des états de service assez incroyables)
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En revanche bien des soldats de 14-18 n'étaient pas fans de Hitler, à commencer par les combattants de son propre régiment car le führer a passé la majeure partie de la guerre derrière le front tandis que d'autres se battaient. Cependant il était quand même doué dans son domaine.

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android

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a écrit : C'est la mode de la férule en ce moment, pour ma part elle est plantaire Etre sous la férule de : Être exposé aux sévérités, aux procédés plus ou moins rudes d’une autorité légitime ou non (source wikipedia)

a écrit : Hitler n'était pas antisémite... Il avait lui même un excellent ami juif ! :)
J'ai ne sais plus qui dit ça dans un sketch...
En tous cas voilà une preuve supplémentaire, s'il en fallait, pour les négationnistes : Hitler sauvant "son" juif en début de guerre, démontre bien qu'il savait ce qu'il allait faire ensuite.
Non non et non pas spécialement! C'est un bais cognitif! Ce n'est pas parce qu'il lui permet d'émigrer au début de la guerre qu'on tient une preuve de l'existence de l'holocauste dès 1939! Le génocide Juif commence en 1941 et on sait de source sur qu'Hitler souhaitait, à ses débuts, déportés les Juifs dans une sorte de Juifistan ou alors à Madagascar. (Véridique)
Après oui peut être qu'il a toujours eu en tête de vouloir un jour appliqué une élimination systématique du peuple juif mais cette anecdote n'en est pas une preuve.

Je pense que c'est celui qui avait tenté de sauver sa mère d'une maladie dont elle est morte

a écrit : Non non et non pas spécialement! C'est un bais cognitif! Ce n'est pas parce qu'il lui permet d'émigrer au début de la guerre qu'on tient une preuve de l'existence de l'holocauste dès 1939! Le génocide Juif commence en 1941 et on sait de source sur qu'Hitler souhaitait, à ses débuts, déportés les Juifs dans une sorte de Juifistan ou alors à Madagascar. (Véridique)
Après oui peut être qu'il a toujours eu en tête de vouloir un jour appliqué une élimination systématique du peuple juif mais cette anecdote n'en est pas une preuve.
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Qui parle de "preuve" ?.. Mais que tu le veuilles ou non, le fait qu'Hitler sauve un juif qu'il aimait bien au début de la guerre démontre (et non pas "prouve") quand même qu'il avait une idée assez précise de ce qu'il comptait leur faire plus tard ; et que ce n'était pas particulièrement gentil, holocauste ou pas... Non ? :)

a écrit : Ayant lui même participé à 14-18 (même si vite réformé car gazé) je pense qu'il a toujours eu un profond respect pour les soldats.

Y'a plein d'exemples avec des membres de la noblesse militaire prussienne qui le contredisent sans être inquiété ou même avec Ernst Junger, opposant au nazisme m
ême s'il eût une période un peu fascisante.

(Ernst junger à des états de service assez incroyables)
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Il respectait peut être l'armée, mais certainement pas les soldats.

En fait, ce sont les humains dans leur ensemble qu'il méprisait, mis à part ses vieux potos, le reste c'était de la crotte de bique à ses yeux.

Pendant la défaite, il a dit haut et fort: Puisque le peuple Allemand n'a pas su se montrer digne de mes ambitions, il n'a qu'à mourir avec le National-Socialisme (enfin, un truc comme ça, je ne me souviens plus de ses mots exacts)