Les deux poètes Paul Verlaine et Arthur Rimbaud ont entretenu une relation passionnelle pendant plusieurs années, jusqu'en juillet 1873 à Bruxelles. Verlaine, sous l'effet de l'alcool, en proie à des sentiments envers sa femme Mathilde et n'assumant pas son homosexualité, tira sur son amant, qui sera blessé au poignet mais ne voudra plus le revoir.
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C'est un détail
Mais j'aurai plutôt dis:
Sera blesse au poignet Et ....
Pas mais ne voudra plus le revoir
Ouais je sais on s'en fout mais ça m'a fait Tiquer
Au passage y'a un très beau film avec DiCaprio sur leur histoire qui s'appelle TOTAL ÉCLIPSE.
Moi j'aime bien Rimbaud I mais le II et le III sont nuls ;-)
On peut avoir l'intelligence de se dire que toutes les sexualités sont légitimes, que chacun peut faire ce qu'il veut de son cul. Que chacun peut aimer n'importe qui, parce que l'amour ça s'explique pas. Qu'on peut aussi coucher avec qui on veut sans être amoureux.se, juste pour le plaisir, entre personnes consentantes.
Parce qu'on n'est pas obligé.e.s d'avoir envie de procréer, nous, espèce humaine se croyant la plus évoluée des espèces.
Mais juste avoir la présence d'esprit de laisser les gens libre d'avoir les préférences qu'ils ont, choisies ou non, sans se heurter à des préjugés stupides.
Parce que jusqu'à preuve du contraire, nous espèce humaine, on a la chance de pouvoir mener la vie qu'on veut, de baiser avec qui on veut, de faire l'amour avec qui on veut, de bander et de mouiller sur qui on veut, de fantasmer de ce qu'on veut, et de tomber amoureux.se de n'importe qui.
Concernant le virus du S.I.D.A., moi j'ai vu dans un reportage Arte qu'une des hypothèses était que les soignants venus vacciner les populations pauvres de certains pays d'Afrique avaient été peu scrupuleux quant à la propreté de leur matériel. Donc matériel contaminé par le virus (porté par des singes il me semble), vaccination de masse, et hop, virus transmis à l'humain. Comme quoi, chacun ses sources.
S'il y a eu à un moment l'idée que seuls les gays contractaient le S.I.D.A. c'est parce qu'il y a plus de risque de contamination par la sodomie (fissures, donc saignements...), pas pratiquée par tous les gays, certes, mais à l'époque très mal vue et très peu (pour pas dire pas du tout) pratiquée par les couples hétéro, relique des principes d'une Église trop imposante.
Voilà
Du coup j'ai sûrement mal interprété.
Ensuite concernant le "baiser", tout dépend de ce qu'on entend par ce terme, à mon sens baiser n'empêche pas le respect mutuel, n'empêche pas d'être amoureux.se, n'oblige pas à ne pas l'être...
Pour moi c'est juste pour faire la différence entre les deux "manières" de pratiquer l'acte sexuel, l'acte fait par amour et l'acte fait par plaisir (qui encore une fois n'empêche pas d'être amoureux.se)
Bref, j'ai simplement inclus ce terme dans mon énumération parce qu'il fait partie de la sexualité au même titre que les autres termes que j'ai cités
Si toi tu n'aimes pas "baiser" libre à toi, tu n'es pas le.a seul.e, personne n'a à te juger sur ta sexualité, mais ne juge pas ceux qui aiment en disant que tu trouves ça "dégueulasse".
Non, juste t'aimes pas, ça ne t'attire pas, mais t'as pas à le juger, les gens qui baisent n'ont pas des pratiques plus dégueulasses que les autres, tout comme, dans l'autre sens, les gens qui font uniquement l'amour, ou même ceux qui n'ont aucun désir sexuel n'ont pas à subir les jugements des autres, genre "non mais moi je trouve que ceux qui baisent pas ça fait un peu coincé du cul".
Voilà, tout ça pour dire que dans tes commentaires transparaissent beaucoup de jugements, peut-être inconscients, mais c'est ça qui m'a fait réagir. Ce qui est logique à tes yeux ne l'est pas pour tout le monde, personne ne détiens la logique ultime. Et s'il y'a bien un domaine où on devrait pas avoir à subir le jugement des autres c'est la sexualité. Que chacun.e la mène comme iel veut. La seule règle qui doit exister c'est le consentement mutuel (et évidemment la protection).
Pour conclure je dirais : vivons libres, arrêtons de juger, acceptons-nous, respectons-nous rendons-nous heureux.