La drôle de peinture d'une toile du Louvre

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Une peinture à l'huile du musée du Louvre, « Intérieur d’une cuisine », passe plutôt inaperçue, car la scène représentée n’a pas grand intérêt. Pourtant, elle est très particulière : les pigments utilisés dans l’huile furent obtenus à partir des cœurs momifiés de différentes familles royales, dont la française.


Commentaires préférés (3)

Pas grand intérêt ou non, personnellement, c'est dans ce type de tableau que je perçois pour ma part de l'art. Tout y est, la profondeur, le relief, les teintes realistes, le sentiment de mouvement, on dirait presque une photo. Chapeau l'artiste !

a écrit : Morbide... Plus jamais je me ferais un sang d'encre, pas envie de finir en cartouche d'imprimante ;)


Tous les commentaires (46)

Pas grand intérêt ou non, personnellement, c'est dans ce type de tableau que je perçois pour ma part de l'art. Tout y est, la profondeur, le relief, les teintes realistes, le sentiment de mouvement, on dirait presque une photo. Chapeau l'artiste !

C'est un pigment que l'on appelle le brun de momie car conçu à part d'organe momifié. La pratique a été très répendu au XIXe siècle. Pour une partie de ces pigments, ce fut de véritable momies embaumees dans de la résine de l'Égypte antique et broyées. La réalité semble moins mystique car une partie des pigments sur le marché était une forme de bitume et d'asphalte au propriété similaire car "momie" voulant surtout désigné une huile brune séchant rapidement.
Pour le tableau "intérieur d'une cuisine", Martin Drolling c'est en effet fourni auprès de Louis François Petit Radel qui s'est emparé, lors de la profanation de la chapelle Saint Anne, s'empara de 13 reliquaires contenant les cœurs de plusieurs personnalités royales ou princières.

Fun fact: les plaques des reliquaires (avec le nom) ont été dispersé rue Castex après la mort de Petit Radel.

a écrit : Morbide... Plus jamais je me ferais un sang d'encre, pas envie de finir en cartouche d'imprimante ;)

@Madbob c'est plutôt macabre que morbide !

J’adore ce tableau. Je suis photographe amateur, et je retrouve un.esprit tres… photographique

Peinte en 1815 par Martin Drölling, peintre français du XIXéme siècle. En pleine révolution française, les coeurs de la famille royale étaient conservés dans la chapelle Sainte-Anne au Val-de-Grâce et ils auraient été ensuite revendus à certains peintre. Drölling aurait ensuite produit le "brun de momie" permettant d'obtenir un pigment brun rouge. Cette couleur pouvait aussi être produite en broyant des momies venues d'Egypte.
D'après ce que j'ai lu, il y a quand même beaucoup de mystères qui entourent cette histoire. Dans les sources choisies, on remarque l'emploi du conditionnel autour de l'utilisation de ce pigment par le
peintre.

a écrit : C'est un pigment que l'on appelle le brun de momie car conçu à part d'organe momifié. La pratique a été très répendu au XIXe siècle. Pour une partie de ces pigments, ce fut de véritable momies embaumees dans de la résine de l'Égypte antique et broyées. La réalité semble moins mystique car une partie des pigments sur le marché était une forme de bitume et d'asphalte au propriété similaire car "momie" voulant surtout désigné une huile brune séchant rapidement.
Pour le tableau "intérieur d'une cuisine", Martin Drolling c'est en effet fourni auprès de Louis François Petit Radel qui s'est emparé, lors de la profanation de la chapelle Saint Anne, s'empara de 13 reliquaires contenant les cœurs de plusieurs personnalités royales ou princières.

Fun fact: les plaques des reliquaires (avec le nom) ont été dispersé rue Castex après la mort de Petit Radel.
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Que de fautes et coquilles dans un commentaire de quelques lignes... ça pique !

a écrit : C'est un pigment que l'on appelle le brun de momie car conçu à part d'organe momifié. La pratique a été très répendu au XIXe siècle. Pour une partie de ces pigments, ce fut de véritable momies embaumees dans de la résine de l'Égypte antique et broyées. La réalité semble moins mystique car une partie des pigments sur le marché était une forme de bitume et d'asphalte au propriété similaire car "momie" voulant surtout désigné une huile brune séchant rapidement.
Pour le tableau "intérieur d'une cuisine", Martin Drolling c'est en effet fourni auprès de Louis François Petit Radel qui s'est emparé, lors de la profanation de la chapelle Saint Anne, s'empara de 13 reliquaires contenant les cœurs de plusieurs personnalités royales ou princières.

Fun fact: les plaques des reliquaires (avec le nom) ont été dispersé rue Castex après la mort de Petit Radel.
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Je viens de me rendre compte que mon commentaire explique plus ou moins les mêmes choses que le tiens donc ne m'en voulez pas ;-)

a écrit : Macabre, morbide = lié à la maladie (comme dans obésité morbide). Morbide oui, mais macabre c'est relatif a la mort

a écrit : Que de fautes et coquilles dans un commentaire de quelques lignes... ça pique ! Quelques fautes dans un commentaire de quelques lignes, c'est pas pire que réussir à faire une faute dans un commentaire d'un seul mot (le commentaire qui dit : "Morbide") !

a écrit : Quelques fautes dans un commentaire de quelques lignes, c'est pas pire que réussir à faire une faute dans un commentaire d'un seul mot (le commentaire qui dit : "Morbide") ! Tout à fait. Dans ma jeunesse, j'ai été "enduit d'erreur" avec ce terme, qui me fait confondre macabre et morbide. Mes culpa, mais je ne pense pas que ça pique les yeux de lire le mot (je ne pense pas avoir fait de faute d'orthographe en l'écrivant...).
Merci à ceux qui ont corrigé ma faute de vocabulaire.

a écrit : Tout à fait. Dans ma jeunesse, j'ai été "enduit d'erreur" avec ce terme, qui me fait confondre macabre et morbide. Mes culpa, mais je ne pense pas que ça pique les yeux de lire le mot (je ne pense pas avoir fait de faute d'orthographe en l'écrivant...).
Merci à ceux qui ont corrigé ma faute de vocabulaire.
Tu peux être rassuré, en ce qui me concerne c'est plutôt l'expression "piquer les yeux" à propos de fautes d'orhographe que je trouve plus désagréable que les fautes d'orthographe elles-mêmes...

C'est vraiment IN-CROY-ABLE le talent de certains peintres, l'admiration des artistes d'imaginer quelque chose et de la peindre. A chaque fois je fais cela, même pour le visage de quelqu'un, je me retrouve toujours avec une sorte de smiley comme ceci: { =)}

a écrit : Tu peux être rassuré, en ce qui me concerne c'est plutôt l'expression "piquer les yeux" à propos de fautes d'orhographe que je trouve plus désagréable que les fautes d'orthographe elles-mêmes... J'étais déjà de ton avis et depuis que j'ai des "petits soucis cognitifs" qui me font faire beaucoup d'erreurs (oui erreur, la faute est intentionnelle) orthographiques, alors que je n'en faisais pas, je trouve ça encore plus déplacé ... On reprend des personnes sur des choses où, la plupart du temps, elles n'ont aucune prise.

a écrit : Que de fautes et coquilles dans un commentaire de quelques lignes... ça pique ! Comme dit plus bas, la plupart de temps, les personnes qui font des erreurs orthographiques ne peuvent pas faire autrement, elles n'en ont pas conscience, sinon elles feraient autrement. Celles qui les relèvent le font sciemment. Dans quel but? Besoin d'asseoir une supériorité orthographique, là où elle vous est naturelle et ne vous demande aucun effort? Je sais ce que c'est j'ai 35 années de perfection orthographique qui ne m'ont jamais rien "coûté" et 8 mois de problèmes cognitifs qui me les font collectionner...

Tout est dans les ombres du tableau…

a écrit : Que de fautes et coquilles dans un commentaire de quelques lignes... ça pique ! Vous vous ennuyez dans votre vie ? Vous n’avez rien d’autres à faire que de relever les fautes de gens qui poste ses commentaires très intéressant en plus sur les anecdotes… écrivez quelque chose d’intéressant sinon retenez vous ! On se fiche des fautes d’orthographe ! Personnes n’écris une lettre de motivation ou un mail professionnel à ce que je sache non ?