En Belgique, le permis de conduire n’existe que depuis 1967

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Le permis de conduire fit son apparition en Belgique en 1967. Avant cette date, les Belges pouvaient conduire dans tout le pays sans aucun permis. De 1967 à 1969, aucun examen n’était requis. Il fallait simplement aller demander le permis au niveau de l’administration communale et il était délivré.

De 1969 à 1977, seul un examen théorique était imposé. C’est seulement à partir de 1977 que l’examen pratique fut mis en place. Cette évolution, couplée à l’amélioration constante des véhicules, contribua à faire diminuer le nombre de tués sur la route.


Commentaires préférés (3)

a écrit : Une restriction de liberté au profit de l’intérêt général… ;-) Non c'est pas une restriction de liberté.

Tout le monde peut rouler sous condition de réussir l'examen.
Et tout le monde peut avoir accès à cet examen.

Il n'y a que ceux condamnés par la justice à une interdiction de repasser le permis de conduire qui, effectivement, ont une restriction de liberté. Mais ce sont des délinquants ou des criminels.

En France, c'est le 31 mai 1889 que Léon Serpollet passe le premier examen de conduite et, en 1891, la première autorisation de circuler à ... 16 km/h.

C'est aussi en mai 1898 que la duchesse d'Uzès fût la première femme à obtenir le certificat de capacité de conduire, ainsi que celle de recevoir la première contravention pour excès de vitesse, supérieure à ... 20 km/h.

a écrit : Une restriction de liberté au profit de l’intérêt général… ;-) Jusqu’en 1946 le lancer de couteau était autorisé en France dans les rues sans aucune restrictions.
Suite à quelques accidents et personnes en deuil qui souhaitaient porter plainte, ce fut tout bonnement et simplement interdit.
Saleté de dictature


Tous les commentaires (57)

Une restriction de liberté au profit de l’intérêt général… ;-)

a écrit : Une restriction de liberté au profit de l’intérêt général… ;-) Non c'est pas une restriction de liberté.

Tout le monde peut rouler sous condition de réussir l'examen.
Et tout le monde peut avoir accès à cet examen.

Il n'y a que ceux condamnés par la justice à une interdiction de repasser le permis de conduire qui, effectivement, ont une restriction de liberté. Mais ce sont des délinquants ou des criminels.

En France, c'est le 31 mai 1889 que Léon Serpollet passe le premier examen de conduite et, en 1891, la première autorisation de circuler à ... 16 km/h.

C'est aussi en mai 1898 que la duchesse d'Uzès fût la première femme à obtenir le certificat de capacité de conduire, ainsi que celle de recevoir la première contravention pour excès de vitesse, supérieure à ... 20 km/h.

a écrit : En France, c'est le 31 mai 1889 que Léon Serpollet passe le premier examen de conduite et, en 1891, la première autorisation de circuler à ... 16 km/h.

C'est aussi en mai 1898 que la duchesse d'Uzès fût la première femme à obtenir le certificat de capacité de conduire, ainsi que celle de rec
evoir la première contravention pour excès de vitesse, supérieure à ... 20 km/h. Afficher tout
Alors ce qui m'intéresse dans ton commentaire, c'est comment ils ont fait pour déterminer l'excès de vitesse a cette époque la? Ils avaient pas de radar

a écrit : Une restriction de liberté au profit de l’intérêt général… ;-) L'amplitude de Liberté de tout un chacun...
S'arrête là où commence celle d'autrui.

Dans un modèle de Société collective comme est l'humaine, une Liberté mettant en danger (supposé ou avéré) l'intégrité physique -voire même la vie- de la ou des personnes de son entourage, n'est aucunement acceptable, au nom des Libertés individuelles.

Dans mon cercle de connaissances, se trouve/trouvait une personne qui s'est faite flasher (et arrêter 200 mètres plus loin), pour conduire en état d'ébriété à 92 kms/h, sur une voie limitée à 50.
10 mois de retrait de permis.
Penses-tu qu'il ait appris de cette sanction ?
Non.
Il continue de conduire son véhicule comme si de rien n'était...
Et de boire avec une déraison (de 20 à 25 canettes de bière par jour ) qui est devenu un handicap dans sa vie professionnelle, ainsi que familiale.
Sa femme l'a d'ailleurs plaquée en janvier dernier, ne supportant plus ses "Libertés individuelles" conduisant à un manque à gagner financier flagrant dans leur ménage, ainsi que les insultes et les menaces qu'il proférait envers elle.
Cette personne, individualiste et égocentrique au possible, est actuellement au "volant de la voiture de sa vie, en franche pente descendante et avec les freins qui ont lâché".

Tout ceci doit-il, pour autant, mettre en situation de danger, d'autres personnes, au Sacro-saint nom de la "Liberté individuelle" ?...


Ah, cette personne n'est plus dans ma liste de contacts de WhatsApp, depuis un mois.

a écrit : Alors ce qui m'intéresse dans ton commentaire, c'est comment ils ont fait pour déterminer l'excès de vitesse a cette époque la? Ils avaient pas de radar Ils ont couru à côté de la voiture…

a écrit : Non c'est pas une restriction de liberté.

Tout le monde peut rouler sous condition de réussir l'examen.
Et tout le monde peut avoir accès à cet examen.

Il n'y a que ceux condamnés par la justice à une interdiction de repasser le permis de conduire qui, effectivement, ont u
ne restriction de liberté. Mais ce sont des délinquants ou des criminels. Afficher tout
Et les pauvres

a écrit : L'amplitude de Liberté de tout un chacun...
S'arrête là où commence celle d'autrui.

Dans un modèle de Société collective comme est l'humaine, une Liberté mettant en danger (supposé ou avéré) l'intégrité physique -voire même la vie- de la ou des personnes de son entourage
, n'est aucunement acceptable, au nom des Libertés individuelles.

Dans mon cercle de connaissances, se trouve/trouvait une personne qui s'est faite flasher (et arrêter 200 mètres plus loin), pour conduire en état d'ébriété à 92 kms/h, sur une voie limitée à 50.
10 mois de retrait de permis.
Penses-tu qu'il ait appris de cette sanction ?
Non.
Il continue de conduire son véhicule comme si de rien n'était...
Et de boire avec une déraison (de 20 à 25 canettes de bière par jour ) qui est devenu un handicap dans sa vie professionnelle, ainsi que familiale.
Sa femme l'a d'ailleurs plaquée en janvier dernier, ne supportant plus ses "Libertés individuelles" conduisant à un manque à gagner financier flagrant dans leur ménage, ainsi que les insultes et les menaces qu'il proférait envers elle.
Cette personne, individualiste et égocentrique au possible, est actuellement au "volant de la voiture de sa vie, en franche pente descendante et avec les freins qui ont lâché".

Tout ceci doit-il, pour autant, mettre en situation de danger, d'autres personnes, au Sacro-saint nom de la "Liberté individuelle" ?...


Ah, cette personne n'est plus dans ma liste de contacts de WhatsApp, depuis un mois.
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L’erreur est souvent d’opposer liberté et lois alors qu’au contraire l’un ne va pas sans l’autre.

L'Humain est à la fois libre et soumis à des lois car la liberté ne peut se concevoir que dans le cadre de lois naturelles ou sociétales. Sans une nature ordonnée, la liberté humaine serait sans effet. Sans une société normée, la liberté humaine serait sans garantie. Sans loi, pas de liberté.

a écrit : Et les pauvres Il y a des financements possible, le permis b peut être financé par la région et pôle emploi puisqu'il est quasi obligatoire pour travailler maintenant.

Mais il doit toujours y avoir des cas particuliers effectivement.

a écrit : Une restriction de liberté au profit de l’intérêt général… ;-) Jusqu’en 1946 le lancer de couteau était autorisé en France dans les rues sans aucune restrictions.
Suite à quelques accidents et personnes en deuil qui souhaitaient porter plainte, ce fut tout bonnement et simplement interdit.
Saleté de dictature

a écrit : Non c'est pas une restriction de liberté.

Tout le monde peut rouler sous condition de réussir l'examen.
Et tout le monde peut avoir accès à cet examen.

Il n'y a que ceux condamnés par la justice à une interdiction de repasser le permis de conduire qui, effectivement, ont u
ne restriction de liberté. Mais ce sont des délinquants ou des criminels. Afficher tout
C'est très a la mode en ce moment de considérer la moindre mesure comme un abus dictatorial...
La liberté d'un individu s'arrête la ou commence celle de ses pairs. C'est la seule façon pour la liberté de trouver un équilibre, sinon la liberté des uns devient moindre que celle de ceux qui pensent que leur liberté n'a de limite que leurs envies et pulsions...

a écrit : C'est très a la mode en ce moment de considérer la moindre mesure comme un abus dictatorial...
La liberté d'un individu s'arrête la ou commence celle de ses pairs. C'est la seule façon pour la liberté de trouver un équilibre, sinon la liberté des uns devient moindre que celle de ceux qui pense
nt que leur liberté n'a de limite que leurs envies et pulsions... Afficher tout
Tant que j'ai la liberté d'aller au restaurant comme mon voisin vacciné ça me va.

(C'est bon la bombe est lâché, on peut commencer à s'écharper)

a écrit : Alors ce qui m'intéresse dans ton commentaire, c'est comment ils ont fait pour déterminer l'excès de vitesse a cette époque la? Ils avaient pas de radar Peut être via une simple division?

Un ami s'est pris une monumentale prune pour excès de vitesse aux USA, sans radar, le flic a simplement noté l'heure d'entrée sur l'autoroute et celle d'arrivée au péage, il a divisé le nombre de kilomètres parcourus par le temps que ça a pris et hop! ^^

Après, on peut, en France, se faire aligner pour conduite dangereuse si pas de radar, mais c'est une amende fixe et c'est au juger du policier, et on ne peut pas perdre de points ni son permis. Ca a plutôt du se passer comme ça.

Sinon, pour l'anecdote, on peut encore conduire sans permis bien qu'il faille maintenant un petit brevet.

-"Vous êtes trop dangereux. Vous n'aurez pas le permis, vous aurez QUE la bagnole!" (vous savez, les pots de yaourt, la... et je parle même pas des pétrolettes à deux temps.^^)

@Epoxy, on en a tous connu un comme ça qui se croit tout permis, en général ca commence par: -Non, je monterai pas dans ta caisse. Mais pourquoi? Parce que je tiens à ma peau. ... Allez, à dégager! ^^

a écrit : Une restriction de liberté au profit de l’intérêt général… ;-) Vous avez 12 ans?

De même, les belges ayant eu leur permis voiture avant 1988 peuvent librement conduire des motos sans limitation de cylindrée ou de puissance. Avant 1988 le permis A était en effet tamponé avec le permis B (comme les 125 en france)

a écrit : De même, les belges ayant eu leur permis voiture avant 1988 peuvent librement conduire des motos sans limitation de cylindrée ou de puissance. Avant 1988 le permis A était en effet tamponé avec le permis B (comme les 125 en france) En France, il fallait faire tamponner le permis A en 2005 (je crois) en préfecture, et vu que le gouvernement s'est bien gardé de le signaler, j'ai appris l'année dernière que je conduisais ma moto sans permis depuis 15 ans.

MERCI! (bande de trouducs...)

Le pire c'est que je me suis fait contrôler plusieurs fois, même les flics étaient pas au courant. ^^

a écrit : En France, il fallait faire tamponner le permis A en 2005 (je crois) en préfecture, et vu que le gouvernement s'est bien gardé de le signaler, j'ai appris l'année dernière que je conduisais ma moto sans permis depuis 15 ans.

MERCI! (bande de trouducs...)

Le pire c'est
que je me suis fait contrôler plusieurs fois, même les flics étaient pas au courant. ^^ Afficher tout
La tu parles du permis A1 (moto 125cc). En Belgique c'était toutes les motos sans limitation de puissance!

Incroyable le nombre de belges ayant eu leur permis entre 1967 et 1969 qui roulent encore de nos jour en France.

a écrit : Alors ce qui m'intéresse dans ton commentaire, c'est comment ils ont fait pour déterminer l'excès de vitesse a cette époque la? Ils avaient pas de radar Car connaissant la "vitesse maximale" du vehicule (donnée constructeur). Il suffisait que la jeune femme reconnaisse rouler "a fond" pour calculer l ecart potentiel.