L'ail améliore l'odeur du corps

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Si l'ail donne mauvaise haleine, il améliore l'odeur corporelle. Une étude tchèque a montré qu'un panel de 82 femmes testeurs préférait l'odeur des aisselles de 42 hommes ayant consommé une dose importante d'ail à celle de personnes n'en ayant pas ingéré. Les chercheurs pensent que les qualités antibactériennes de l'ail expliqueraient cette différence.


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a écrit : Mais l'amertume, par exemple, vient des papilles gustatives. On peut apprécier l'odeur du café mais le trouver horriblement amer quand on le goûte. C'est d'ailleurs ce que les fabricants font pour pouvoir donner une bonne odeur aux shampoings sans risquer que les enfants les boivent : ils mettent dedans un amérisant qui leur donnera un goût horrible (aux shampoings, pas aux enfants). De même un plat peut avoir un fumet appétissant mais se révéler horriblement salé quand on le goûte... Afficher tout Je ne savais pas que ça dépendait des goûts et cela explique beaucoup.

Mais effectivement, cela a du sens ce que tu expliques.
je l'observe avec une proche atteinte du covid. 1 an après sa contamination, elle ne sens toujours grand chose ( odorat ) mais est capable de repérer les goûts acide et piquant notamment.
Les goûts moins forts c'est néant

a écrit : Je ne savais pas que ça dépendait des goûts et cela explique beaucoup.

Mais effectivement, cela a du sens ce que tu expliques.
je l'observe avec une proche atteinte du covid. 1 an après sa contamination, elle ne sens toujours grand chose ( odorat ) mais est capable de repérer les goûts acid
e et piquant notamment.
Les goûts moins forts c'est néant
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La langue a des récepteurs simples indispensables à la survie: sucré, salé, acide, amer et umami (ce dernier est pas trop dans la culture européenne, pour certains elle existe pas mais serait en gros le goût d'une tomate bien bien mûre). Et non les zones sont dispersées, c est pas juste le sucré par exemple sur le bout de la langue comme on le simplifie souvent(bon les capteurs sont quand même plus concentrés par zone et pour ceux qui se posent la question le salé serait plutôt sur les côté de la langue, l umami au centre. L amer au fond pour donner envie de vomir)
Le reste serait plutôt les cellules olfactives mais je doute que ce soit uniquement ça: une personne de ma famille avait perdu l'odorat suite à une maladie (testé etc..) et certes sentait rien mais avait quand même un peu de goût, continuait de détester le goût de certains trucs un peu fade donc non liés aux "saveur de bases"(y en a plus: l astringence, le piquant, le brulant-pour certains c est pas une saveur mais une nociception) bref pas sur qu'il y ait de consensus sur le sujet ni si je suis exhaustif.
Après son aversion était peut être psychologique, j'ai jamais essayer de la piéger ^^. Mais pour sur les 80% énoncés plus haut je l'ai déjà lu après je pense que c est pour donner une proportion. Difficile de le calculer scientifiquement.
A noter que j 'ai vu une pub pour une gourde(non mon ex femme passe pas à la télé) qui se vante de donner un goût à l'eau plate, justement en ayant l'odeur du goût voulu (air up). Ça me donne envie de tester mais pas au point de payer 35 euro pour une gourde perso^^

a écrit : C'est ce que disait @Lhelha à qui je donnais une réponse possible à sa dernière phrase. Qu'un bon plats n'a pas, à sa connaissance, une mauvaise odeur. Peut-être pas un plat cuisiné mais il existe des nourritures qui ont une odeur repoussante et qui ne sont pas mauvais quand on les mange, comme certains fromages ou d'autres choses que je me suis forcé à goûter et qui m'ont agréablement surpris. Même si l'odorat intervient je suppose qu'il n'interprète pas les signaux de la même façon si l'expérience est de sentir l'odeur ou de goûter...

a écrit : Peut-être pas un plat cuisiné mais il existe des nourritures qui ont une odeur repoussante et qui ne sont pas mauvais quand on les mange, comme certains fromages ou d'autres choses que je me suis forcé à goûter et qui m'ont agréablement surpris. Même si l'odorat intervient je suppose qu'il n'interprète pas les signaux de la même façon si l'expérience est de sentir l'odeur ou de goûter... Afficher tout Quand j'étais ados, je détestais le camembert et son odeur. Pendant mon service militaire, un autre bidasse m'a "appris" à l'aimer (le camembert ^^) et, depuis, je l'aime autant que son parfum ... le camembert ;)

Donc justement. Si, malgré l'odeur, le goût te plaît, tu finiras, par association, par aimer l'odeur.
C'est pour ça que, comme le dit Lhehah (j'ai fini par l'écrire correctement :p), qu'il n'y a pas, ou peu, de goût apprécié dont l'odeur ne l'est pas non plus.

Et comme tu le soulignes, l'inverse n'est pas vrai.