Joyeux Noël, une phrase historique

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Tellement en avance sur son temps qu'il envoie "Joyeux Noël" avant le 25 décembre.

Les fameux 160 octets correspondent à de l’espace inutilisé dans les paquets envoyés pour contrôler la gestion des téléphones avec l’antenne réceptrice la plus proche. Donc quand les opérateurs vous facturaient des prix de fous pour un sms dans les années 90, ils ne faisaient que vendre un service qui ne leur coûtait rien.

a écrit : Non, mais ça leurs avait coûté. Dans le prix d'un service, il y a énormément de frais qui sont pris en compte, dont la recherche et développement, marketing, achat de la fréquence,... C’est une fois tout le service téléphonique en place, les tours, les serveurs, le marketing etc qu’ils se sont rendu compte qu’ils avaient 160 octets qui ne servaient à rien. Les paquets de gestion de traffic étaient envoyés tout de même (car nécessaires), ils n’ont eu qu’à faire une mise à jour logicielle au niveau des roues, et quelques serveurs dans le centre. Donc oui il y a eu un coût supplémentaire (r&d, déploiement du logiciel) mais qui a été absolument dérisoire comparé aux revenus:
Pour donner une idée, en 2002, plus de 250 milliards de messages SMS était envoyés chaque années dans le monde. En 2010, environ 6,1 trillions de messages SMS ont été envoyés globalement, et ca en une seule année.

Prenons le marché américain en 2008 comme exemple, vu que c’est en 2007 que les américains ont commencé à échanger plus de sms que d’appels téléphoniques:

- À l’époque, envoyer un message texte en 2008 aux us coûtait environ 0.15$ par message.

- Supposons 100 millions d’utilisateurs (estimation conservative).
- Nombre moyen de messages par utilisateur par mois : 100 messages.
- Nombre annuel de messages : 100 messages/utilisateur/mois * 12 mois * 100 millions d’utilisateurs = 120 milliards de messages.
- Revenus à 15 cents par message : 120 milliards de messages * 0,15 $/message = 18 milliards de dollars annuellement.

Étant donné le faible coût de développement et les revenues élevés des SMS, les marges bénéficiaires pour les entreprises de télécommunications étaient tout simplement énormes…


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Tellement en avance sur son temps qu'il envoie "Joyeux Noël" avant le 25 décembre.

Vivement la prochaine anecdote pour savoir quel sera le tout dernier ;-)

Les fameux 160 octets correspondent à de l’espace inutilisé dans les paquets envoyés pour contrôler la gestion des téléphones avec l’antenne réceptrice la plus proche. Donc quand les opérateurs vous facturaient des prix de fous pour un sms dans les années 90, ils ne faisaient que vendre un service qui ne leur coûtait rien.

a écrit : Les fameux 160 octets correspondent à de l’espace inutilisé dans les paquets envoyés pour contrôler la gestion des téléphones avec l’antenne réceptrice la plus proche. Donc quand les opérateurs vous facturaient des prix de fous pour un sms dans les années 90, ils ne faisaient que vendre un service qui ne leur coûtait rien. Afficher tout Non, mais ça leurs avait coûté. Dans le prix d'un service, il y a énormément de frais qui sont pris en compte, dont la recherche et développement, marketing, achat de la fréquence,...

a écrit : Non, mais ça leurs avait coûté. Dans le prix d'un service, il y a énormément de frais qui sont pris en compte, dont la recherche et développement, marketing, achat de la fréquence,... Et surtout les déploiements des infrastructures nécessaires à l'envoi de SMS.

a écrit : Non, mais ça leurs avait coûté. Dans le prix d'un service, il y a énormément de frais qui sont pris en compte, dont la recherche et développement, marketing, achat de la fréquence,... C’est une fois tout le service téléphonique en place, les tours, les serveurs, le marketing etc qu’ils se sont rendu compte qu’ils avaient 160 octets qui ne servaient à rien. Les paquets de gestion de traffic étaient envoyés tout de même (car nécessaires), ils n’ont eu qu’à faire une mise à jour logicielle au niveau des roues, et quelques serveurs dans le centre. Donc oui il y a eu un coût supplémentaire (r&d, déploiement du logiciel) mais qui a été absolument dérisoire comparé aux revenus:
Pour donner une idée, en 2002, plus de 250 milliards de messages SMS était envoyés chaque années dans le monde. En 2010, environ 6,1 trillions de messages SMS ont été envoyés globalement, et ca en une seule année.

Prenons le marché américain en 2008 comme exemple, vu que c’est en 2007 que les américains ont commencé à échanger plus de sms que d’appels téléphoniques:

- À l’époque, envoyer un message texte en 2008 aux us coûtait environ 0.15$ par message.

- Supposons 100 millions d’utilisateurs (estimation conservative).
- Nombre moyen de messages par utilisateur par mois : 100 messages.
- Nombre annuel de messages : 100 messages/utilisateur/mois * 12 mois * 100 millions d’utilisateurs = 120 milliards de messages.
- Revenus à 15 cents par message : 120 milliards de messages * 0,15 $/message = 18 milliards de dollars annuellement.

Étant donné le faible coût de développement et les revenues élevés des SMS, les marges bénéficiaires pour les entreprises de télécommunications étaient tout simplement énormes…

Sous quelle forme l'a-t-il reçu du coup ? Si c'était le premier SMS de l'histoire et qu'il l'a reçu sur un téléphone portable de l'époque, il n'avait pas de boîte de réception de SMS, si ?
Ou alors il l'a reçu sur un prototype qui le permettait ?

a écrit : Sous quelle forme l'a-t-il reçu du coup ? Si c'était le premier SMS de l'histoire et qu'il l'a reçu sur un téléphone portable de l'époque, il n'avait pas de boîte de réception de SMS, si ?
Ou alors il l'a reçu sur un prototype qui le permettait ?
“A l’époque, les GSM pouvaient recevoir des messages, mais ne pouvaient pas en envoyer. Et donc, il fallait utiliser une interface sur l’ordinateur. On y introduisait le numéro de téléphone et on envoyait le message au GSM. Il a fallu attendre encore un an avant que le téléphone puisse envoyer des SMS”, explique Papworth

a écrit : “A l’époque, les GSM pouvaient recevoir des messages, mais ne pouvaient pas en envoyer. Et donc, il fallait utiliser une interface sur l’ordinateur. On y introduisait le numéro de téléphone et on envoyait le message au GSM. Il a fallu attendre encore un an avant que le téléphone puisse envoyer des SMS”, explique Papworth Afficher tout Et on peut toujours envoyer et recevoir des SMS sur PC ;)

Mon 1er com à foiré (ou pas mais je ne le vois pas) donc je reformule :

Ce pourrait-il que Marvel y ai fait allusion dans Iron man?

Pour ceux qui n'ont pas la référence c'est une IA hyper développé qui aide le héro.

a écrit : Sous quelle forme l'a-t-il reçu du coup ? Si c'était le premier SMS de l'histoire et qu'il l'a reçu sur un téléphone portable de l'époque, il n'avait pas de boîte de réception de SMS, si ?
Ou alors il l'a reçu sur un prototype qui le permettait ?
Porteur spécial

a écrit : Mon 1er com à foiré (ou pas mais je ne le vois pas) donc je reformule :

Ce pourrait-il que Marvel y ai fait allusion dans Iron man?

Pour ceux qui n'ont pas la référence c'est une IA hyper développé qui aide le héro.
J'y ai pensé aussi mais, après recherche, le personnage Edwin Jarvis apparaît pour la première fois dans son comic book n°59 en novembre 1964.

Il y a deux version de l’histoire du premier sms.
Sema ou Vodafone ? Collègue ou patron?
La date est similaire.
JMC Moins Sûr !
Il semble que Neil l’émetteur bossait pour Sema group et Richard le récepteur pour Vodafone. Le sms partit d’un ordinateur (de Niel, développeur) et arriva sur un téléphone.
Le premier SMS souhaitait un joyeux Noël:
secouchermoinsbete.fr/58584-le-premier-sms-souhaitait-un-joyeux-noel via @moinsbete