Une grotte monumentale en petit train

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a écrit : Cool, moi qui aime les trains et la spéléologie, je vais me régaler! ;) Tu peux aussi visiter la grotte de Harrison (Harrison's Cave) à la Barbade : il y a aussi un petit train et c'est très amusant (en l'occurrence il n'y a pas de rails mais une piste en béton : c'est un train sur pneus comme les petits trains touristiques qu'on voit dans les rues de certaines villes).

C'est d'ailleurs la plus grande attraction touristique du pays, comme en Slovénie.

a écrit : Un train sans rails... c'est un repas sans fromage! C'est un enfant sans la tendresse d'une mère! :( C'est une rose sans parfum...

Merci pour l'info, soit dit, c'est merveilleux, fascinant! :) Je note.
C'est bien pourquoi j'ai précisé que c'est un train sans rails, pour que tu ne sois pas déçu si tu t'attendais, après avoir parcouru plus de 8000 km pour y aller, à voir une locomotive à vapeur sur des rails...

a écrit : Tu peux aussi visiter la grotte de Harrison (Harrison's Cave) à la Barbade : il y a aussi un petit train et c'est très amusant (en l'occurrence il n'y a pas de rails mais une piste en béton : c'est un train sur pneus comme les petits trains touristiques qu'on voit dans les rues de certaines villes).

C'est d'ailleurs la plus grande attraction touristique du pays, comme en Slovénie.
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Une chose qui m'a impressionné à propos de cette grotte à la Barbade (je ne sais pas si c'est la même chose en Slovénie), c'est que ce n'est pas un gouffre qu'on peut découvrir en entier suspendu à une corde comme nos célèbres avens français (tels que l'aven d'Orgnac ou l'aven Armand) : les spéléologues y ont accédé en se glissant dans des petits boyaux. Et donc je n'ai aucun mal à imaginer que les géomètres suspendus à une corde à l'entrée du gouffre aient pu déterminer où il fallait creuser pour faire entrer le public par un ascenseur, un escalier, ou un funiculaire, mais je me demande comment ils ont réussi, à la Barbade, à modéliser le tunnel qu'il allait falloir creuser pour que le petit train traverse les salles les plus intéressantes sans détruire les concrétions les plus jolies au passage ! Et tout ça avec une pente douce compatible avec le petit train. La grotte a été explorée au début des années 1970 et le tunnel creusé à la fin de ces années 1970, alors bien sûr, même si on n'avait pas la puissance des ordinateurs actuels, on savait déjà faire des modèles 3D, mais comment reporter sur le modèle la configuration de la grotte : ça ne devait pas être très facile quand même de se répérer après avoir rampé dans des boyaux tortueux, je me demande quels genres d'instruments ont été utilisés et comment !


Tous les commentaires (20)

Cool, moi qui aime les trains et la spéléologie, je vais me régaler! ;)

a écrit : Cool, moi qui aime les trains et la spéléologie, je vais me régaler! ;) ... et les réseaux ^^

a écrit : Cool, moi qui aime les trains et la spéléologie, je vais me régaler! ;) Tu peux aussi visiter la grotte de Harrison (Harrison's Cave) à la Barbade : il y a aussi un petit train et c'est très amusant (en l'occurrence il n'y a pas de rails mais une piste en béton : c'est un train sur pneus comme les petits trains touristiques qu'on voit dans les rues de certaines villes).

C'est d'ailleurs la plus grande attraction touristique du pays, comme en Slovénie.

a écrit : Tu peux aussi visiter la grotte de Harrison (Harrison's Cave) à la Barbade : il y a aussi un petit train et c'est très amusant (en l'occurrence il n'y a pas de rails mais une piste en béton : c'est un train sur pneus comme les petits trains touristiques qu'on voit dans les rues de certaines villes).

C'est d'ailleurs la plus grande attraction touristique du pays, comme en Slovénie.
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Un train sans rails... c'est un repas sans fromage! C'est un enfant sans la tendresse d'une mère! :( C'est une rose sans parfum...

Merci pour l'info, soit dit, c'est merveilleux, fascinant! :) Je note.

a écrit : Un train sans rails... c'est un repas sans fromage! C'est un enfant sans la tendresse d'une mère! :( C'est une rose sans parfum...

Merci pour l'info, soit dit, c'est merveilleux, fascinant! :) Je note.
C'est bien pourquoi j'ai précisé que c'est un train sans rails, pour que tu ne sois pas déçu si tu t'attendais, après avoir parcouru plus de 8000 km pour y aller, à voir une locomotive à vapeur sur des rails...

a écrit : Tu peux aussi visiter la grotte de Harrison (Harrison's Cave) à la Barbade : il y a aussi un petit train et c'est très amusant (en l'occurrence il n'y a pas de rails mais une piste en béton : c'est un train sur pneus comme les petits trains touristiques qu'on voit dans les rues de certaines villes).

C'est d'ailleurs la plus grande attraction touristique du pays, comme en Slovénie.
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Une chose qui m'a impressionné à propos de cette grotte à la Barbade (je ne sais pas si c'est la même chose en Slovénie), c'est que ce n'est pas un gouffre qu'on peut découvrir en entier suspendu à une corde comme nos célèbres avens français (tels que l'aven d'Orgnac ou l'aven Armand) : les spéléologues y ont accédé en se glissant dans des petits boyaux. Et donc je n'ai aucun mal à imaginer que les géomètres suspendus à une corde à l'entrée du gouffre aient pu déterminer où il fallait creuser pour faire entrer le public par un ascenseur, un escalier, ou un funiculaire, mais je me demande comment ils ont réussi, à la Barbade, à modéliser le tunnel qu'il allait falloir creuser pour que le petit train traverse les salles les plus intéressantes sans détruire les concrétions les plus jolies au passage ! Et tout ça avec une pente douce compatible avec le petit train. La grotte a été explorée au début des années 1970 et le tunnel creusé à la fin de ces années 1970, alors bien sûr, même si on n'avait pas la puissance des ordinateurs actuels, on savait déjà faire des modèles 3D, mais comment reporter sur le modèle la configuration de la grotte : ça ne devait pas être très facile quand même de se répérer après avoir rampé dans des boyaux tortueux, je me demande quels genres d'instruments ont été utilisés et comment !

a écrit : Une chose qui m'a impressionné à propos de cette grotte à la Barbade (je ne sais pas si c'est la même chose en Slovénie), c'est que ce n'est pas un gouffre qu'on peut découvrir en entier suspendu à une corde comme nos célèbres avens français (tels que l'aven d'Orgnac ou l'aven Armand) : les spéléologues y ont accédé en se glissant dans des petits boyaux. Et donc je n'ai aucun mal à imaginer que les géomètres suspendus à une corde à l'entrée du gouffre aient pu déterminer où il fallait creuser pour faire entrer le public par un ascenseur, un escalier, ou un funiculaire, mais je me demande comment ils ont réussi, à la Barbade, à modéliser le tunnel qu'il allait falloir creuser pour que le petit train traverse les salles les plus intéressantes sans détruire les concrétions les plus jolies au passage ! Et tout ça avec une pente douce compatible avec le petit train. La grotte a été explorée au début des années 1970 et le tunnel creusé à la fin de ces années 1970, alors bien sûr, même si on n'avait pas la puissance des ordinateurs actuels, on savait déjà faire des modèles 3D, mais comment reporter sur le modèle la configuration de la grotte : ça ne devait pas être très facile quand même de se répérer après avoir rampé dans des boyaux tortueux, je me demande quels genres d'instruments ont été utilisés et comment ! Afficher tout Les romains y arrivaient, je sais plus comment ca s'appelle, un simple tube creux pour viser un point au loin.

Après, ont ils agrandi une galerie déjà existante où l'ont ils percée. Je ne le sais...

a écrit : Tu peux aussi visiter la grotte de Harrison (Harrison's Cave) à la Barbade : il y a aussi un petit train et c'est très amusant (en l'occurrence il n'y a pas de rails mais une piste en béton : c'est un train sur pneus comme les petits trains touristiques qu'on voit dans les rues de certaines villes).

C'est d'ailleurs la plus grande attraction touristique du pays, comme en Slovénie.
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Moins loin (et sûrement sans trajet en avion nécessaire), il y'a en Dordogne la grotte de Rouffignac. 8 km de recensé pour le moment...

www.grottederouffignac.fr/index.php/fr/train-electrique

J'ai été surpris à la lecture de la page wikipédia : on aurait pu comprendre que le mécanisme de formation des stalagmites et des stalactites était une particularité de cette grotte, et que le château faisait partie de la grotte... C'est corrigé (j'espère que les administrateurs conserveront ma correction).

a écrit : Moins loin (et sûrement sans trajet en avion nécessaire), il y'a en Dordogne la grotte de Rouffignac. 8 km de recensé pour le moment...

www.grottederouffignac.fr/index.php/fr/train-electrique
Très intéressant, d'autant plus que c'est une grotte ornée de dessins préhistoriques ! Le train permet donc d'accélerer et regrouper le flux de visiteurs pour minimiser les perturbations (éclairage, respiration) à chaque point de passage de la grotte.

Mais je trouve que c'est quand même moins bluffant de faire passer un petit train dans une grotte qui était déjà accessible à plat et à pied depuis des millénaires, que de forer un tunnel à travers la roche en visant pour réjoindre différentes cavités inacessibles !

Et moins loin... Je suppose que tu parlais de Nico, parce que sinon, ça dépend pour qui...

a écrit : Les romains y arrivaient, je sais plus comment ca s'appelle, un simple tube creux pour viser un point au loin.

Après, ont ils agrandi une galerie déjà existante où l'ont ils percée. Je ne le sais...
Tu veux dire qu'ils utilisaient des rayons qui permettent de traverser des km de roche, ou tu n'as pas remarqué que j'ai parlé de ramper dans des boyaux torteux (donc on ne peut pas viser au loin d'une salle à l'autre) ?

a écrit : Tu veux dire qu'ils utilisaient des rayons qui permettent de traverser des km de roche, ou tu n'as pas remarqué que j'ai parlé de ramper dans des boyaux torteux (donc on ne peut pas viser au loin d'une salle à l'autre) ? Non, je me demandais juste comment ils ont fait pour creuser où agrandir les tunnels et tomber juste pour construire cette voie ferrée.

Pour creuser le tunnel sous la Manche et tomber juste, ils ont utilisé un viseur laser, mais comme d'habitude, dès que je te pose une question, je me prend une pastèque dans la tronche.
Je m'y habitue :)

a écrit : Non, je me demandais juste comment ils ont fait pour creuser où agrandir les tunnels et tomber juste pour construire cette voie ferrée.

Pour creuser le tunnel sous la Manche et tomber juste, ils ont utilisé un viseur laser, mais comme d'habitude, dès que je te pose une question, je me prend une pastèq
ue dans la tronche.
Je m'y habitue :)
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Creuser sous la Manche ce n'est pas pareil : on sait où on veut aller, on creuse en ligne droite, et on peut donc viser en surface et garder la même direction sous terre. De même pour le tunnel sous le Mont Blanc, et al. Ce que je faisais remarquer c'est que, s'agissant de cavités situées en plein milieu de la roche et qu'on ne pouvait atteindre qu'après avoir rampé dans des boyaux tortueux, je me demande comment on faisait, après être ressorti en faisant tous ces détours et ces montées et descentes dans le boyau, pour savoir où viser depuis l'extérieur pour tomber sur la cavité située quelquepart dans la roche ! Et ensuite viser la cavité suivante, et ainsi de suite... Et tout ça en prévoyant un chemin idéalement légèrement incurvé et en pente douce pour relier tout ça hamonieusement !

De nos jours, je suppose que même un simple smarphone pourrait se repérer grâce à sa centrale inertielle, et qu'on pourrait ensuite modéliser en 3D le chemin parcouru dans une application facile à télécharger. Mais je ne sais pas si à l'époque on avait ce genre de centrales inertielles, ou s'il fallait viser et calculer des angles à chaque coude du boyau, ou s'il y avait encore une autre méthode à laquelle je n'ai pas pensé...

Je viens de faire une recherche : les centrales inertielles existaient déjà dans les années 1960 et servaient notamment pour guider des fusées, mais ça ne me dit pas si pour modéliser les grottes de Harrison on a pu utiliser ce genre de matériel (s'il y avait des modèles adaptés au transport dans une grotte en rampant, s'ils ne dérivaient pas trop rapidement après avoir fait de nombreux virages et subi des chocs, et si on avait la capacité de traiter les informations qu'ils donnaient pour reconstituer le chemin parcouru).

a écrit : Creuser sous la Manche ce n'est pas pareil : on sait où on veut aller, on creuse en ligne droite, et on peut donc viser en surface et garder la même direction sous terre. De même pour le tunnel sous le Mont Blanc, et al. Ce que je faisais remarquer c'est que, s'agissant de cavités situées en plein milieu de la roche et qu'on ne pouvait atteindre qu'après avoir rampé dans des boyaux tortueux, je me demande comment on faisait, après être ressorti en faisant tous ces détours et ces montées et descentes dans le boyau, pour savoir où viser depuis l'extérieur pour tomber sur la cavité située quelquepart dans la roche ! Et ensuite viser la cavité suivante, et ainsi de suite... Et tout ça en prévoyant un chemin idéalement légèrement incurvé et en pente douce pour relier tout ça hamonieusement !

De nos jours, je suppose que même un simple smarphone pourrait se repérer grâce à sa centrale inertielle, et qu'on pourrait ensuite modéliser en 3D le chemin parcouru dans une application facile à télécharger. Mais je ne sais pas si à l'époque on avait ce genre de centrales inertielles, ou s'il fallait viser et calculer des angles à chaque coude du boyau, ou s'il y avait encore une autre méthode à laquelle je n'ai pas pensé...

Je viens de faire une recherche : les centrales inertielles existaient déjà dans les années 1960 et servaient notamment pour guider des fusées, mais ça ne me dit pas si pour modéliser les grottes de Harrison on a pu utiliser ce genre de matériel (s'il y avait des modèles adaptés au transport dans une grotte en rampant, s'ils ne dérivaient pas trop rapidement après avoir fait de nombreux virages et subi des chocs, et si on avait la capacité de traiter les informations qu'ils donnaient pour reconstituer le chemin parcouru).
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Je me posais justement la même question que toi.

Comment ils ont fait?

Dans les Hautes-Pyrénées, les Grottes de Betharram propose une partie de la visite en train et une petite portion en bateau.

Dans la section mode de transport original dans une grotte, il y a la possibilité dans la grotte de la salamandre (Gard) de se faire accrocher sous un ballon et de voler dans la grande salle avec cet aéroplume pour 75 euros !

a écrit : Je me posais justement la même question que toi.

Comment ils ont fait?
A l’ancienne: boussole, ruban à mesurer, inclinomètre et un simple mais astucieux tube rempli d’eau (pour mesurer les différences de hauteur entre 2 salles reliées par un petit passage comme Nico disait). Et pas mal d’estime dans les passages difficiles.

Et puis, pour les tunnels, à l’époque ils se contentaient d’une précision moindre: une fois que tu sais où aller, tu creuse, tu regardes ou tu arrives, et tu corriges si nécessaire.

Aujourd’hui, et les sonars et lidars aident beaucoup. Les signaux radios peuvent aussi être utilisés.
Beaucoup de cartes de systèmes de grotte restent approximatives par manque de moyens, car faites par des clubs de spéléologie. Ça prends du temps, ça coûte cher et ne rapporte rien. Pour les mines par contre, des centrales inertielles spécifiques ont été développées depuis un moment (1990 au Canada).

en.wikipedia.org/wiki/Cave_survey

a écrit : A l’ancienne: boussole, ruban à mesurer, inclinomètre et un simple mais astucieux tube rempli d’eau (pour mesurer les différences de hauteur entre 2 salles reliées par un petit passage comme Nico disait). Et pas mal d’estime dans les passages difficiles.

Et puis, pour les tunnels, à l’époque ils se content
aient d’une précision moindre: une fois que tu sais où aller, tu creuse, tu regardes ou tu arrives, et tu corriges si nécessaire.

Aujourd’hui, et les sonars et lidars aident beaucoup. Les signaux radios peuvent aussi être utilisés.
Beaucoup de cartes de systèmes de grotte restent approximatives par manque de moyens, car faites par des clubs de spéléologie. Ça prends du temps, ça coûte cher et ne rapporte rien. Pour les mines par contre, des centrales inertielles spécifiques ont été développées depuis un moment (1990 au Canada).

en.wikipedia.org/wiki/Cave_survey
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Merci pour les précisions, effectivement, les cartes spéléo ne sont pas très précises, mais elles n'ont pas besoin de l'être, c'est un peu comme les voies d'escalade, ça sert à avoir une idée de la difficulté et du temps de parcours, et dans le cas de la spéléo, surtout à ne pas se perdre. ^^

a écrit : A l’ancienne: boussole, ruban à mesurer, inclinomètre et un simple mais astucieux tube rempli d’eau (pour mesurer les différences de hauteur entre 2 salles reliées par un petit passage comme Nico disait). Et pas mal d’estime dans les passages difficiles.

Et puis, pour les tunnels, à l’époque ils se content
aient d’une précision moindre: une fois que tu sais où aller, tu creuse, tu regardes ou tu arrives, et tu corriges si nécessaire.

Aujourd’hui, et les sonars et lidars aident beaucoup. Les signaux radios peuvent aussi être utilisés.
Beaucoup de cartes de systèmes de grotte restent approximatives par manque de moyens, car faites par des clubs de spéléologie. Ça prends du temps, ça coûte cher et ne rapporte rien. Pour les mines par contre, des centrales inertielles spécifiques ont été développées depuis un moment (1990 au Canada).

en.wikipedia.org/wiki/Cave_survey
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Merci pour le lien. En plus de toutes les techniques dont je pouvais me douter, j'ai découvert qu'un tuyau rempli d'eau reliant 2 points peut non seulement permettre de vérifier que les 2 points sont à la même hauteur (le classique niveau d'eau très utile dans le bâtiment) mais également de mesurer des hauteurs en utilisant en bas une boite transparente contenant une montre de plongée qui fait profondimètre ! (et en appliquant un coefficient de correction car la montre de plongée est faite pour être utilisée en mer et affiche donc la profondeur calculée pour la densité de l'eau salée alors qu'on remplit le tube avec de l'eau douce).

A propos de ta remarque sur "tu regardes où tu arrives et tu corriges si nécessaire", ça marche effectivement pour les tunnels. Il me semble me souvenir qu'il y avait 1 ou 2 mètres d'écart seulement entre les 2 parties quand les équipes se sont rencontrées au milieu sous le Mont Blanc, c'est facile à corriger en effet et ce n'est donc pas grave mais cette précision était due au fait que le tunnel était creusé en ligne droite, c'est plus facile de viser dans ces conditions. Ce qui m'impressionne dans le cas de Harrison Cave, c'est que non seulement c'était moins facile de viser compte tenu de tous les détours du relevé fait par le boyau d'accès naturel, mais de plus il n'était pas creusé en ligne droite, et surtout tu n'avais pas droit à l'erreur car tu ne voulais pas deboucher au hasard à quelques mètres près en risquant de détruire les plus belles concrétions de la salle !

Une attraction qui consiste à rentrer et sortir d’un trou pendant des heures…hum