Au Canada, les forêts ont des milliers d'anneaux

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Les forêts du nord du Canada sont parsemées de milliers d'anneaux. D'un diamètre allant de 50 mètres à 2 kilomètres, ils sont principalement constitués de mélèzes. On ne sait pas exactement comment ils se forment mais la théorie la plus plausible est liée à des poches de méthane qui créeraient une différence d'humidité, favorable aux mélèzes.


Commentaires préférés (3)

a écrit : On pourra remarquer que l'article de Radio Canada se conclut par une nouvelle proposition de recherche de la chercheuse qui a déterminé l'origine de ce phénomène. C'est une constante dans les articles scientifiques : il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire, vous pouvez vérifier sur tous les articles qui vous tombent sous la main si vous n'avez pas encore remarqué. Je suppose que c'est lié aux demandes de subventions : quand un chercheur a fini une étude, il va devoir chercher des financement pour une étude suivante afin de ne pas être au chômage et quel meilleur endroit que la conclusion de son étude pour faire un appel du pied aux financements ? C'est parfois tellement cousu de fil blanc, comme dans cet article, que ça en devient risible. Afficher tout C'est certainement très mal résumé par radio canada, mais oui un article scientifique se conclut toujours par une ouverture ->"il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire" -> c'est bien normal vu que c'est le mode de rédaction standard (pour ne pas dire obligatoire) des articles, pour essayer de voir comment aller plus loin avec son propre travail de recherche et qui intervient en général après la discussions des limites de la-dite étude ; c'est assez prétentieux de penser que son propre travail de recherche suffit à apporter une réponse définitive à la question, la science avance par la répétition/réplication des conditions expérimentales ;
Que ce soit les limites ou l'ouverture, c'est très utile pour quelqu'un qui voudra soit répliquer soit aller plus loin, de bâtir sur les conclusions précédemment apportées.
Donc désolé y'a pas nécessairement besoin de financements pour réaliser une étude (tout dépend de ce que l'étude va nécessiter, à titre personnel mon simple salaire et les rares frais de service engendrés me suffisent, si il faut mobiliser plusieurs laboratoires ou centre d'études c'est effectivement une autre histoire, mais ça me semble pas être nécessaire ici)

a écrit : On pourra remarquer que l'article de Radio Canada se conclut par une nouvelle proposition de recherche de la chercheuse qui a déterminé l'origine de ce phénomène. C'est une constante dans les articles scientifiques : il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire, vous pouvez vérifier sur tous les articles qui vous tombent sous la main si vous n'avez pas encore remarqué. Je suppose que c'est lié aux demandes de subventions : quand un chercheur a fini une étude, il va devoir chercher des financement pour une étude suivante afin de ne pas être au chômage et quel meilleur endroit que la conclusion de son étude pour faire un appel du pied aux financements ? C'est parfois tellement cousu de fil blanc, comme dans cet article, que ça en devient risible. Afficher tout C'est aussi et surtout que par définition la recherche ne se termine jamais, les articles pointent souvent les directions dans lesquelles ils pourraient aller plus loin, parfois sans doute bien sûr avec en arrière pensée un argumentatif pour des sponsorts/subventions comme tu le soulignes.

a écrit : On pourra remarquer que l'article de Radio Canada se conclut par une nouvelle proposition de recherche de la chercheuse qui a déterminé l'origine de ce phénomène. C'est une constante dans les articles scientifiques : il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire, vous pouvez vérifier sur tous les articles qui vous tombent sous la main si vous n'avez pas encore remarqué. Je suppose que c'est lié aux demandes de subventions : quand un chercheur a fini une étude, il va devoir chercher des financement pour une étude suivante afin de ne pas être au chômage et quel meilleur endroit que la conclusion de son étude pour faire un appel du pied aux financements ? C'est parfois tellement cousu de fil blanc, comme dans cet article, que ça en devient risible. Afficher tout C’est simplement une convention dans la méthode IMRAD.


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On pourra remarquer que l'article de Radio Canada se conclut par une nouvelle proposition de recherche de la chercheuse qui a déterminé l'origine de ce phénomène. C'est une constante dans les articles scientifiques : il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire, vous pouvez vérifier sur tous les articles qui vous tombent sous la main si vous n'avez pas encore remarqué. Je suppose que c'est lié aux demandes de subventions : quand un chercheur a fini une étude, il va devoir chercher des financement pour une étude suivante afin de ne pas être au chômage et quel meilleur endroit que la conclusion de son étude pour faire un appel du pied aux financements ? C'est parfois tellement cousu de fil blanc, comme dans cet article, que ça en devient risible.

a écrit : On pourra remarquer que l'article de Radio Canada se conclut par une nouvelle proposition de recherche de la chercheuse qui a déterminé l'origine de ce phénomène. C'est une constante dans les articles scientifiques : il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire, vous pouvez vérifier sur tous les articles qui vous tombent sous la main si vous n'avez pas encore remarqué. Je suppose que c'est lié aux demandes de subventions : quand un chercheur a fini une étude, il va devoir chercher des financement pour une étude suivante afin de ne pas être au chômage et quel meilleur endroit que la conclusion de son étude pour faire un appel du pied aux financements ? C'est parfois tellement cousu de fil blanc, comme dans cet article, que ça en devient risible. Afficher tout C'est certainement très mal résumé par radio canada, mais oui un article scientifique se conclut toujours par une ouverture ->"il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire" -> c'est bien normal vu que c'est le mode de rédaction standard (pour ne pas dire obligatoire) des articles, pour essayer de voir comment aller plus loin avec son propre travail de recherche et qui intervient en général après la discussions des limites de la-dite étude ; c'est assez prétentieux de penser que son propre travail de recherche suffit à apporter une réponse définitive à la question, la science avance par la répétition/réplication des conditions expérimentales ;
Que ce soit les limites ou l'ouverture, c'est très utile pour quelqu'un qui voudra soit répliquer soit aller plus loin, de bâtir sur les conclusions précédemment apportées.
Donc désolé y'a pas nécessairement besoin de financements pour réaliser une étude (tout dépend de ce que l'étude va nécessiter, à titre personnel mon simple salaire et les rares frais de service engendrés me suffisent, si il faut mobiliser plusieurs laboratoires ou centre d'études c'est effectivement une autre histoire, mais ça me semble pas être nécessaire ici)

a écrit : On pourra remarquer que l'article de Radio Canada se conclut par une nouvelle proposition de recherche de la chercheuse qui a déterminé l'origine de ce phénomène. C'est une constante dans les articles scientifiques : il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire, vous pouvez vérifier sur tous les articles qui vous tombent sous la main si vous n'avez pas encore remarqué. Je suppose que c'est lié aux demandes de subventions : quand un chercheur a fini une étude, il va devoir chercher des financement pour une étude suivante afin de ne pas être au chômage et quel meilleur endroit que la conclusion de son étude pour faire un appel du pied aux financements ? C'est parfois tellement cousu de fil blanc, comme dans cet article, que ça en devient risible. Afficher tout C'est aussi et surtout que par définition la recherche ne se termine jamais, les articles pointent souvent les directions dans lesquelles ils pourraient aller plus loin, parfois sans doute bien sûr avec en arrière pensée un argumentatif pour des sponsorts/subventions comme tu le soulignes.

a écrit : C'est certainement très mal résumé par radio canada, mais oui un article scientifique se conclut toujours par une ouverture ->"il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire" -> c'est bien normal vu que c'est le mode de rédaction standard (pour ne pas dire obligatoire) des articles, pour essayer de voir comment aller plus loin avec son propre travail de recherche et qui intervient en général après la discussions des limites de la-dite étude ; c'est assez prétentieux de penser que son propre travail de recherche suffit à apporter une réponse définitive à la question, la science avance par la répétition/réplication des conditions expérimentales ;
Que ce soit les limites ou l'ouverture, c'est très utile pour quelqu'un qui voudra soit répliquer soit aller plus loin, de bâtir sur les conclusions précédemment apportées.
Donc désolé y'a pas nécessairement besoin de financements pour réaliser une étude (tout dépend de ce que l'étude va nécessiter, à titre personnel mon simple salaire et les rares frais de service engendrés me suffisent, si il faut mobiliser plusieurs laboratoires ou centre d'études c'est effectivement une autre histoire, mais ça me semble pas être nécessaire ici)
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J'ai dit "je suppose", je n'ai pas dit que c'est la seule raison. Tu avoueras quand même que cet exercice obligé semble parfois un peu forcé, comme "l'opening joke" des Américains : un Américain ne peut pas prendre la parole sans commencer obligatoirement par une blague, ça peut être une péripétie lors de son arrivée, ou une remarque sur le temps qu'il fait, peu importe, pourvu qu'il fasse une et une seule blague. Et quand on a entendu sa blague, on ne peut pas s'empêcher de se dire "ça y est la blague est faite, le discours va commencer". Pour les articles à propos de recherche scientifique, on se dit "il propose une nouvelle recherche, c'est la fin de l'article". On pourrait aussi comparer ça à la formule de politesse "Veuillez agréer mes salutations distinguées", qui est devenue obligatoire par tradition.

a écrit : J'ai dit "je suppose", je n'ai pas dit que c'est la seule raison. Tu avoueras quand même que cet exercice obligé semble parfois un peu forcé, comme "l'opening joke" des Américains : un Américain ne peut pas prendre la parole sans commencer obligatoirement par une blague, ça peut être une péripétie lors de son arrivée, ou une remarque sur le temps qu'il fait, peu importe, pourvu qu'il fasse une et une seule blague. Et quand on a entendu sa blague, on ne peut pas s'empêcher de se dire "ça y est la blague est faite, le discours va commencer". Pour les articles à propos de recherche scientifique, on se dit "il propose une nouvelle recherche, c'est la fin de l'article". On pourrait aussi comparer ça à la formule de politesse "Veuillez agréer mes salutations distinguées", qui est devenue obligatoire par tradition. Afficher tout Ah qu'on ait pas pas envie d'ouvrir (c'est un peu pénible parfois, les conventions) ou qu'on le fasse mal, ça je comprends ^^

a écrit : On pourra remarquer que l'article de Radio Canada se conclut par une nouvelle proposition de recherche de la chercheuse qui a déterminé l'origine de ce phénomène. C'est une constante dans les articles scientifiques : il se concluent obligatoirement, absolument tous, par une proposition de recherche supplémentaire, vous pouvez vérifier sur tous les articles qui vous tombent sous la main si vous n'avez pas encore remarqué. Je suppose que c'est lié aux demandes de subventions : quand un chercheur a fini une étude, il va devoir chercher des financement pour une étude suivante afin de ne pas être au chômage et quel meilleur endroit que la conclusion de son étude pour faire un appel du pied aux financements ? C'est parfois tellement cousu de fil blanc, comme dans cet article, que ça en devient risible. Afficher tout C’est simplement une convention dans la méthode IMRAD.

a écrit : C’est simplement une convention dans la méthode IMRAD. Excellente explication. J'ai dû chercher sur Google car je ne la connaissais pas (ou j'avais oublié si on en parlait déjà quand j'ai fait mes études). Et pour l'opening joke, tu as aussi une explication ? J'en ai profité pour chercher ça aussi, mais à part des listes de blagues toutes plus saugrenues les unes que les autres, je n'ai rien trouvé !

a écrit : Excellente explication. J'ai dû chercher sur Google car je ne la connaissais pas (ou j'avais oublié si on en parlait déjà quand j'ai fait mes études). Et pour l'opening joke, tu as aussi une explication ? J'en ai profité pour chercher ça aussi, mais à part des listes de blagues toutes plus saugrenues les unes que les autres, je n'ai rien trouvé ! Afficher tout Ce dont tu parles est plutôt une méthode pour captiver l'attention de son public avec généralement de la métahumour histoire de ne froisser personne. Je dirais simplement que les nord-américains sont plus doués pour les discours que les européens et ils savent raconter une "histoire" et attraper l'attention des spectateurs.

Ca me fais penser aux cercles de champignons cette affaire...

a écrit : Excellente explication. J'ai dû chercher sur Google car je ne la connaissais pas (ou j'avais oublié si on en parlait déjà quand j'ai fait mes études). Et pour l'opening joke, tu as aussi une explication ? J'en ai profité pour chercher ça aussi, mais à part des listes de blagues toutes plus saugrenues les unes que les autres, je n'ai rien trouvé ! Afficher tout C’est aussi que la science, durant les dernières décennies, a beaucoup progressé pour devenir plus inclusive et accessible. La petite blague pour détendre l’atmosphère aide à établir un rapport plus humain entre le public et le présentateur.