Louis de Funès fut menacé par un fou

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En 1968, Louis De Funès fut victime d'un maître chanteur qui exigeait de l'argent tout en le menaçant de mort. Le maître chanteur fut confondu et la police l’arrêta : Il s'agissait de Jacques Robert, 34 ans, un mythomane échappé de l'hôpital psychiatrique où il fut interné après avoir tué son père. Il s'illustra également en 1974 par une prise d'otage en plein direct de l'émission "Les routiers sont sympas" sur RTL.

En 1977 il fut à l'origine de la prise d'otage de la Caravelle F-BNKK où il garda pendant 7 heures 94 personnes dont le député Lucien Neuwirth et un ancien ministre, Philippe Malaud. L'assaut du GIGN mit fin à leur calvaire mais Jacques Robert eut le temps de lancer une grenade : le bilan fut d'un mort et quatre blessés.


Tous les commentaires (27)

C était les prémices du joker ?

a écrit : En l'occurrence l'homme dont on parle dans l'anecdote sortait d'un hôpital psychiatrique. Donc non je maintiens, ce dont il avait besoin c'était de soins médicaux, pas d'être exécuté.
La violence appelle à la violence, la société n'a pas à tomber dans cette barbarie. Quand quel
qu'un est irrécupérable, on l'enferme à vie, ce qui manque grandement en France je vous l'accorde, mais on ne le tue sûrement pas. Afficher tout
Le problème avec les fous dangereux, c'est qu'ils sont dangereux parce qu'on arrive pas à les diagnostiquer. Les fous fous, ben ça se voit tellement qu'ils sont givrés qu'on les garde en cage où qu'on les bourre de médocs à vie quoi, mais les fous dangereux qui n'ont pas l'air fous? Les Fourniret, les machins comme ça quoi?
Il arrive que des internés soient libérés parce qu'ils avaient l'air d'avoir guéri et qu'ils repètent les plombs dehors et recommencent. Il arrive aussi que des fous soient tellement convaincants et manipulent les gens et le système au point qu'on les laisse ressortir sans surveillance!
Il faudrait un suivi drastique, un genre de mise à l'épreuve, un flic au cul jour et nuit pour le surveiller de pas trop loin et au premier dérapage, la cage à perpète (la vraie perpète, pas la perpète pendant 20 ans et moins si affinités) mais faudrait des sous, beaucoup beaucoup de sous...
Où alors, si on juge la première connerie trop grave(j'vais pas en faire la liste hein, vous m'comprenez), on soude la porte de la cage, pas de seconde chance, et honnêtement, quelqu'un qui tue quelqu'un d'autre pour le plaisir, pour cacher une connerie où parce qu'il se rends pas compte que c'est pas bien de tuer les gens(y'en a), faut jamais qu'il ressorte parce qu'il recommencera.

Pour conclure, le problème avec la peine de mort, c'est déjà que ça coûte horriblement cher au contribuable (plus que la perpète et de loin), et ensuite que l'erreur judiciaire est toujours possible et dans ce cas, c'est le système entier qui est un meurtrier, c'est à dire nous tous.

a écrit : Poutou sors de ce corps!! Non ! Poutou est vindicatif mais intelligent !

a écrit : Non ! Poutou est vindicatif mais intelligent ! Mort de rire

a écrit : Si. C'est bien lui le maître chanteur. "Confondu" a un autre sens dans le domaine de la justice. Je sais pas comment tu as fait pour comprendre ce qui l'avait induit en erreur...

et en 1971 il s'en inspire pour le film Jo

a écrit : Les assassins, surtout s'ils sont fous, sont forcément minoritaires dans un pays. Or la France protège ses minorités, quelles qu'elles soient, ce qui explique que les assassins y soient si souvent relâchés. Sinon, ce serait du fascisme, c'est-à-dire la loi de la majorité La loi de la majorité c’est aussi la démocratie.
Aujourd’hui nous sommes dirigés par une minorité qui pratique le népotisme. Visiblement ça te convient.