Un coureur du Tour de France est reparti en sens inverse

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Durant le Tour de France 1950, Abdel-Kader Zaaf, cycliste algérien, eut un malaise et s'écroula sur le bord de la route. Des vignerons qui se trouvaient là l'adossèrent à un arbre, et n'ayant pas d'eau, l'aspergèrent de vin. Empestant le vin, il reprit la course, mais en sens inverse et finit par croiser la voiture balai.


Tous les commentaires (32)

a écrit : Sauf que la Bretagne , le pays basque ou l Alsace sont toujours française
Ce qui porte moins à confusion
De toute façon chacun aura compris les subtilités de l anecdote je pense
Quelle remarque ridicule. Il était algérien, que le pays appartenait à la France ou non.

a écrit : Ouah! C'est la première fois que je vois cette expression correctement orthographiée ! Merci

a écrit : Ou alors simplement dire le coureur français de confession musulmane peut être ? Depuis quand la religion c'est une nationalité?

a écrit : Sauf erreur de ma part
Il était un coureur français en 1950
Car l Algérie était française à cette date !
Et donc on ne peut pas être un coureur Alsacien parce que l'Alsace est française par exemple ?

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a écrit : Petite précision rigolote mais sans importance, en Algérie Zaaf (qui se prononce "zèhèf") signifie énervé. Plutôt "énervement". Énervé se dira plus "za ´fan" (la lettre ´ correspond au début de Aicha, sans équivalent en français).

a écrit : C'est de la faute à la poire !!! Ah le film La vache, je viens de le voir, très sympa ! (désolée pour le hors sujet)

a écrit : Plutôt "énervement". Énervé se dira plus "za ´fan" (la lettre ´ correspond au début de Aicha, sans équivalent en français). C'est pas faux!

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a écrit : Ouah! C'est la première fois que je vois cette expression correctement orthographiée ! Les 2 orthographes coexistent

Mais n'ont pas le même sens !

a écrit : Plutôt "énervement". Énervé se dira plus "za ´fan" (la lettre ´ correspond au début de Aicha, sans équivalent en français). +1 vous avez tout dit

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a écrit : Personne n'était à quelques mètres pour l'avoir vu s'évanouir mais surtout pour lui signaler qu'il était pourtant arrivé de l'autre côté duquel il part :/ On était en 1950, le Tour de France n'était pas ce qu'il est aujourd'hui. Il n'y avait pas des rangées de spectateurs tout le long du trajet, des hélicoptères pour filmer depuis le ciel et des ambulances derrière. D'ailleurs, de nos jours, ce ne sont probablement pas des riverains qui l'auraient secouru avec les moyens du bord, mais des équipes médicales qui auraient surgi dans la minute qui suit.