Chez l'humain en bonne santé, la fréquence cardiaque est généralement comprise entre 60 et 70 battements par minute. En prenant une moyenne au repos de 70 bpm, le cœur d'une personne de 80 ans aura déjà battu près de 3 milliards de fois.
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Chez l'humain en bonne santé, la fréquence cardiaque est généralement comprise entre 60 et 70 battements par minute. En prenant une moyenne au repos de 70 bpm, le cœur d'une personne de 80 ans aura déjà battu près de 3 milliards de fois.
Commentaires préférés (3)
Ça permet de se faire une idée des grands nombres. Imaginez donc ce que représente 1 milliard... Pour compter jusqu'à 1 milliard à haute voix, il faut compter près de 60 ans
En réalité il faudrait plus d'une vie pour compter jusqu'à 1 milliard car, sans interruption, il faudrait déjà 95 ans à raison de 3 secondes par nombre en moyenne.
Il y avait eu cette anecdote à ce sujet :
mobile.secouchermoinsbete.fr/65514-vous-ne-pourrez-pas-compter-jusqu-a-un-milliard
D'ailleurs, en médecine, c'est la mort cérébrale qui fait foi, et plus la mort cardiaque, sachant que on arrive à faire reprendre un cœur suite à un arrêt cardiaque. Et la personne est alors toujours vivante.
Tous les commentaires (46)
Fabuleux !!!
Ça permet de se faire une idée des grands nombres. Imaginez donc ce que représente 1 milliard... Pour compter jusqu'à 1 milliard à haute voix, il faut compter près de 60 ans
Le rythme cardiaque peut même monter jusqu'à 100bpm sans être considéré comme pathologique.
Ça donne des chiffres assez impressionnant
Source: Internet et une annecdote sur ce site.
En réalité il faudrait plus d'une vie pour compter jusqu'à 1 milliard car, sans interruption, il faudrait déjà 95 ans à raison de 3 secondes par nombre en moyenne.
Il y avait eu cette anecdote à ce sujet :
mobile.secouchermoinsbete.fr/65514-vous-ne-pourrez-pas-compter-jusqu-a-un-milliard
Le cœur est le seul organe qui ne se repose jamais. Son repos signifie la mort.
1 milliard de secondes correspond à plus de 32 ans
D'ailleurs, en médecine, c'est la mort cérébrale qui fait foi, et plus la mort cardiaque, sachant que on arrive à faire reprendre un cœur suite à un arrêt cardiaque. Et la personne est alors toujours vivante.
A noter que certaines espèces tel que le crocodile parvienne à réduire leur rythme cardiaque à 3bpm afin d'économiser leur forces.
Toute ces detresses sont liés mais la plus importante a ce jour reste celle neurologique.
Pour cause, il existe des poumons et des coeurs artificiels. Mais le cerveau reste encore irremplacable ( Vu sa complexité ce n'est pas étonant) ;)
Il faut savoir aussi que le coeur de grand sportif bat au repos tres faiblement par rapport à celui d'une personne lambda, ce qui correspondrait à une bradychardie pour nous est en fait normal pour eux! Cf mes cours de médecine
Celui de ma compagne bat à 120/140 au repos. Apparement une tachycardie bénigne selon le cardiologue qui la suit.
Fort heureusement pour les personnes sujettes aux syncopes.
En médecine on ne parle pas d'arrêt cardiaque mais d'arrêt cardiorespiratoire. Ce n'est pas la défaillance du cœur en lui-même qui provoque le décès, mais les conséquences de cette défaillance sur la fonction d'oxygénation de l'organisme (anoxie).
Il existe trois formes d'arrêt cardiorespiratoire et l'arrêt soudain des battements (asystolie) est rare, puisque les battements du cœur sont autonomes. Son innervation sert principalement à moduler la fréquence et l'amplitude des contractions musculaires pour les adapter aux besoins de l'organisme en dioxygène. Le cœur est d'ailleurs le seul muscle strié dont la contraction ne dépend pas de la volonté.
Les deux autres types d'arrêts sont la fibrillation ventriculaire (les fibres musculaires se contractent de façon anarchique) et le cœur inefficace (les battements ne sont pas assez toniques pour chasser le sang vers l'aorte).
"Chez l'humain en bonne santé, la fréquence cardiaque est généralement comprise entre 60 et 70 battements par minute."
Tout dépend des besoins de l'organisme à ce moment-là. Il aurait fallu préciser "fréquence normale au repos d'un sujet placé dans un environnement standard optimal il est normal d'avoir le cœur qui accélère dans une atmosphère pauvre en dioxygène, comme la haute montagne par exemple alors qu'on est en bonne santé.