Les entrainements mortels du GIGN

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tiboutchou
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Le GIGN (Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale) est un groupe d'élite chargé de missions de contre-terrorisme et de libération d'otages. Ses membres passent beaucoup de temps à s'entrainer afin d'être pleinement opérationnels lors des missions qui leur sont confiées. Cet entrainement intensif a malheureusement un coût : le GIGN recense plus de morts en entraînement qu'en mission.


Tous les commentaires (193)

a écrit : En tout 17morts ... 15 à l'entrainement depuis la creation du groupe! On peut donc se dire à l'inverse que les entrainements sont tres efficaces! Oui et très sélectif!

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android

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a écrit : Juste pour faire taire un ou deux imbéciles qui veulent visiblement faire les ânes (la corrida, ça a pas dérapé, on se rattrape ?), j'ai grandi en Guyane et à Djibouti. Par le plus grand des hasard, cela fait partie des 2 destinations des pires stages que l'armée française a à sa disposition (et en fait profiter aux pays alliés aussi).

Bref, ce que j'ai appris là-bas sur le GIGN (et la légion, mais c'est pas le sujet, quoi que leur "jeux" sont assez "spéciaux", bref...).

Un instructeur là-bas m'a expliqué un ou deux trucs sur le GIGN.

La plupart des infos sur les entrainements ne sont pas secrètes:

Il existe 1 période de recrutement par an. On peut postuler 2 fois.

On est formé à "tout". Le but est d'être le plus polyvalent possible.

Les entrainements sont à armes réelles.

On doit pouvoir intervenir partout, milieu aérien, aquatique,prisons, etc.

Ils savent plonger, grimper, escalader, manier à peu près toutes les armes (ils enseignent au SWAT et à la STAR).

Un membre du GIGN est tenu au secret absolu. Il doit avoir une famille, être une personne stable, intelligente, cultivée (têtes brûlées et impulsifs interdits). Le but étant d'être aussi performant physiquement que mentalement. Ainsi, l'on s'assure de la fiabilité de la personne, qu'elle ne prendra de risques ni pour elle, ni l'équipe, ni les gens à secourir.

Une mission qui fini sur la mort de qui que ce soit est considéré comme un échec (même l'ennemi).

Niveau physique, je sais que l'entrainement principal de Djibouti consiste à aller libérer un prisonnier dans un camp dans le désert (donc approche à découvert), parfois "blessé", en général nus pieds. L'approche s'effectue à pied sur 20 km avec une poutre de 20kg. Il fait 50°C (voire pire, j'avais 43° dans la maison...) et près de 0% d'humidité. Les instructeurs jouent les méchants et mettent des pièges partout. La troupe travaille donc seule et doit se coordonner pour échaffauder un plan.

Pour la Guyane, j'en connais 2. Le principe est le même mais dans la forêt: plus de 35°C, 100% d'humidité. La nuit, moins de 10°C (t'es mouillé tout le temps, tu sèches jamais...). Il faut aller libérer un prisonnier. J'en sais pas plus, seulement que ça dure plus d'une semaine

et qu'au retour, ils viennent à l'hosto pour soigner pieds des tranchés ou palu...

Le 2nd, c'est un entrainement en milieu carcéral dans l'ancienne prison désaffectée de Cayenne.

Niveau arme, je sais que le GiGN utilise un fusil sniper unique avec un système de refroidissement du canon permettant de ne pas se déformer entre les tirs sous l'effet de la chaleur. Ils touchent une pièce de 2€ à 200m. (ce qui demande de savoir calculer la trajectoire de la balle avec le vent, etc.).

Avec des armes de point, ils peuvent toucher une pièce à près de 20m.



Dès que j'allume ma télé, je sais que l'écrasante majorité des gens n'a ni les capacités mentales ni intellectuelles d'un membre du GIGN, mais si on parle de physique, on est à des années-lumières...

En fait un mec du GiGN c'est à un policier lambda ce que Einstein est à un prof de physique-chimie en 6ème...









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Y'a pas de physique chimie en 6eme c'est en 5eme qu'on commence... Nan mais sérieusement c'était plaisant à te lire vraiment

a écrit : Juste pour faire taire un ou deux imbéciles qui veulent visiblement faire les ânes (la corrida, ça a pas dérapé, on se rattrape ?), j'ai grandi en Guyane et à Djibouti. Par le plus grand des hasard, cela fait partie des 2 destinations des pires stages que l'armée française a à sa disposition (et en fait profiter aux pays alliés aussi).

Bref, ce que j'ai appris là-bas sur le GIGN (et la légion, mais c'est pas le sujet, quoi que leur "jeux" sont assez "spéciaux", bref...).

Un instructeur là-bas m'a expliqué un ou deux trucs sur le GIGN.

La plupart des infos sur les entrainements ne sont pas secrètes:

Il existe 1 période de recrutement par an. On peut postuler 2 fois.

On est formé à "tout". Le but est d'être le plus polyvalent possible.

Les entrainements sont à armes réelles.

On doit pouvoir intervenir partout, milieu aérien, aquatique,prisons, etc.

Ils savent plonger, grimper, escalader, manier à peu près toutes les armes (ils enseignent au SWAT et à la STAR).

Un membre du GIGN est tenu au secret absolu. Il doit avoir une famille, être une personne stable, intelligente, cultivée (têtes brûlées et impulsifs interdits). Le but étant d'être aussi performant physiquement que mentalement. Ainsi, l'on s'assure de la fiabilité de la personne, qu'elle ne prendra de risques ni pour elle, ni l'équipe, ni les gens à secourir.

Une mission qui fini sur la mort de qui que ce soit est considéré comme un échec (même l'ennemi).

Niveau physique, je sais que l'entrainement principal de Djibouti consiste à aller libérer un prisonnier dans un camp dans le désert (donc approche à découvert), parfois "blessé", en général nus pieds. L'approche s'effectue à pied sur 20 km avec une poutre de 20kg. Il fait 50°C (voire pire, j'avais 43° dans la maison...) et près de 0% d'humidité. Les instructeurs jouent les méchants et mettent des pièges partout. La troupe travaille donc seule et doit se coordonner pour échaffauder un plan.

Pour la Guyane, j'en connais 2. Le principe est le même mais dans la forêt: plus de 35°C, 100% d'humidité. La nuit, moins de 10°C (t'es mouillé tout le temps, tu sèches jamais...). Il faut aller libérer un prisonnier. J'en sais pas plus, seulement que ça dure plus d'une semaine

et qu'au retour, ils viennent à l'hosto pour soigner pieds des tranchés ou palu...

Le 2nd, c'est un entrainement en milieu carcéral dans l'ancienne prison désaffectée de Cayenne.

Niveau arme, je sais que le GiGN utilise un fusil sniper unique avec un système de refroidissement du canon permettant de ne pas se déformer entre les tirs sous l'effet de la chaleur. Ils touchent une pièce de 2€ à 200m. (ce qui demande de savoir calculer la trajectoire de la balle avec le vent, etc.).

Avec des armes de point, ils peuvent toucher une pièce à près de 20m.



Dès que j'allume ma télé, je sais que l'écrasante majorité des gens n'a ni les capacités mentales ni intellectuelles d'un membre du GIGN, mais si on parle de physique, on est à des années-lumières...

En fait un mec du GiGN c'est à un policier lambda ce que Einstein est à un prof de physique-chimie en 6ème...









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Il n'y a pas de prof de physique chimie en 6eme. Ça démarre en 5eme.

Encore merci à eux avec les derniers événements ... #jesuischarlie

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android

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a écrit : Juste pour faire taire un ou deux imbéciles qui veulent visiblement faire les ânes (la corrida, ça a pas dérapé, on se rattrape ?), j'ai grandi en Guyane et à Djibouti. Par le plus grand des hasard, cela fait partie des 2 destinations des pires stages que l'armée française a à sa disposition (et en fait profiter aux pays alliés aussi).

Bref, ce que j'ai appris là-bas sur le GIGN (et la légion, mais c'est pas le sujet, quoi que leur "jeux" sont assez "spéciaux", bref...).

Un instructeur là-bas m'a expliqué un ou deux trucs sur le GIGN.

La plupart des infos sur les entrainements ne sont pas secrètes:

Il existe 1 période de recrutement par an. On peut postuler 2 fois.

On est formé à "tout". Le but est d'être le plus polyvalent possible.

Les entrainements sont à armes réelles.

On doit pouvoir intervenir partout, milieu aérien, aquatique,prisons, etc.

Ils savent plonger, grimper, escalader, manier à peu près toutes les armes (ils enseignent au SWAT et à la STAR).

Un membre du GIGN est tenu au secret absolu. Il doit avoir une famille, être une personne stable, intelligente, cultivée (têtes brûlées et impulsifs interdits). Le but étant d'être aussi performant physiquement que mentalement. Ainsi, l'on s'assure de la fiabilité de la personne, qu'elle ne prendra de risques ni pour elle, ni l'équipe, ni les gens à secourir.

Une mission qui fini sur la mort de qui que ce soit est considéré comme un échec (même l'ennemi).

Niveau physique, je sais que l'entrainement principal de Djibouti consiste à aller libérer un prisonnier dans un camp dans le désert (donc approche à découvert), parfois "blessé", en général nus pieds. L'approche s'effectue à pied sur 20 km avec une poutre de 20kg. Il fait 50°C (voire pire, j'avais 43° dans la maison...) et près de 0% d'humidité. Les instructeurs jouent les méchants et mettent des pièges partout. La troupe travaille donc seule et doit se coordonner pour échaffauder un plan.

Pour la Guyane, j'en connais 2. Le principe est le même mais dans la forêt: plus de 35°C, 100% d'humidité. La nuit, moins de 10°C (t'es mouillé tout le temps, tu sèches jamais...). Il faut aller libérer un prisonnier. J'en sais pas plus, seulement que ça dure plus d'une semaine

et qu'au retour, ils viennent à l'hosto pour soigner pieds des tranchés ou palu...

Le 2nd, c'est un entrainement en milieu carcéral dans l'ancienne prison désaffectée de Cayenne.

Niveau arme, je sais que le GiGN utilise un fusil sniper unique avec un système de refroidissement du canon permettant de ne pas se déformer entre les tirs sous l'effet de la chaleur. Ils touchent une pièce de 2€ à 200m. (ce qui demande de savoir calculer la trajectoire de la balle avec le vent, etc.).

Avec des armes de point, ils peuvent toucher une pièce à près de 20m.



Dès que j'allume ma télé, je sais que l'écrasante majorité des gens n'a ni les capacités mentales ni intellectuelles d'un membre du GIGN, mais si on parle de physique, on est à des années-lumières...

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Franchement si cela est vraie merci

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a écrit : Franchement avec leurs résultats (décès des preneurs d'otages etc lors des assaults etc...) et à savoir qu'ils meurent en entrainement (en résumé des morts de chaque coté) ben autant prendre des kamikazes! Sans déconner c'est aberrant ce commentaire !!!!!!!

a écrit : et ils meurent de quoi ?? Le dernier est décédé en mer pendant un exercice de nuit sur un bateau.

a écrit : Juste pour faire taire un ou deux imbéciles qui veulent visiblement faire les ânes (la corrida, ça a pas dérapé, on se rattrape ?), j'ai grandi en Guyane et à Djibouti. Par le plus grand des hasard, cela fait partie des 2 destinations des pires stages que l'armée française a à sa disposition (et en fait profiter aux pays alliés aussi).

Bref, ce que j'ai appris là-bas sur le GIGN (et la légion, mais c'est pas le sujet, quoi que leur "jeux" sont assez "spéciaux", bref...).

Un instructeur là-bas m'a expliqué un ou deux trucs sur le GIGN.

La plupart des infos sur les entrainements ne sont pas secrètes:

Il existe 1 période de recrutement par an. On peut postuler 2 fois.

On est formé à "tout". Le but est d'être le plus polyvalent possible.

Les entrainements sont à armes réelles.

On doit pouvoir intervenir partout, milieu aérien, aquatique,prisons, etc.

Ils savent plonger, grimper, escalader, manier à peu près toutes les armes (ils enseignent au SWAT et à la STAR).

Un membre du GIGN est tenu au secret absolu. Il doit avoir une famille, être une personne stable, intelligente, cultivée (têtes brûlées et impulsifs interdits). Le but étant d'être aussi performant physiquement que mentalement. Ainsi, l'on s'assure de la fiabilité de la personne, qu'elle ne prendra de risques ni pour elle, ni l'équipe, ni les gens à secourir.

Une mission qui fini sur la mort de qui que ce soit est considéré comme un échec (même l'ennemi).

Niveau physique, je sais que l'entrainement principal de Djibouti consiste à aller libérer un prisonnier dans un camp dans le désert (donc approche à découvert), parfois "blessé", en général nus pieds. L'approche s'effectue à pied sur 20 km avec une poutre de 20kg. Il fait 50°C (voire pire, j'avais 43° dans la maison...) et près de 0% d'humidité. Les instructeurs jouent les méchants et mettent des pièges partout. La troupe travaille donc seule et doit se coordonner pour échaffauder un plan.

Pour la Guyane, j'en connais 2. Le principe est le même mais dans la forêt: plus de 35°C, 100% d'humidité. La nuit, moins de 10°C (t'es mouillé tout le temps, tu sèches jamais...). Il faut aller libérer un prisonnier. J'en sais pas plus, seulement que ça dure plus d'une semaine

et qu'au retour, ils viennent à l'hosto pour soigner pieds des tranchés ou palu...

Le 2nd, c'est un entrainement en milieu carcéral dans l'ancienne prison désaffectée de Cayenne.

Niveau arme, je sais que le GiGN utilise un fusil sniper unique avec un système de refroidissement du canon permettant de ne pas se déformer entre les tirs sous l'effet de la chaleur. Ils touchent une pièce de 2€ à 200m. (ce qui demande de savoir calculer la trajectoire de la balle avec le vent, etc.).

Avec des armes de point, ils peuvent toucher une pièce à près de 20m.



Dès que j'allume ma télé, je sais que l'écrasante majorité des gens n'a ni les capacités mentales ni intellectuelles d'un membre du GIGN, mais si on parle de physique, on est à des années-lumières...

En fait un mec du GiGN c'est à un policier lambda ce que Einstein est à un prof de physique-chimie en 6ème...









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Respect profond. Il n'y a pas d'autres mots.

a écrit : Juste pour faire taire un ou deux imbéciles qui veulent visiblement faire les ânes (la corrida, ça a pas dérapé, on se rattrape ?), j'ai grandi en Guyane et à Djibouti. Par le plus grand des hasard, cela fait partie des 2 destinations des pires stages que l'armée française a à sa disposition (et en fait profiter aux pays alliés aussi).

Bref, ce que j'ai appris là-bas sur le GIGN (et la légion, mais c'est pas le sujet, quoi que leur "jeux" sont assez "spéciaux", bref...).

Un instructeur là-bas m'a expliqué un ou deux trucs sur le GIGN.

La plupart des infos sur les entrainements ne sont pas secrètes:

Il existe 1 période de recrutement par an. On peut postuler 2 fois.

On est formé à "tout". Le but est d'être le plus polyvalent possible.

Les entrainements sont à armes réelles.

On doit pouvoir intervenir partout, milieu aérien, aquatique,prisons, etc.

Ils savent plonger, grimper, escalader, manier à peu près toutes les armes (ils enseignent au SWAT et à la STAR).

Un membre du GIGN est tenu au secret absolu. Il doit avoir une famille, être une personne stable, intelligente, cultivée (têtes brûlées et impulsifs interdits). Le but étant d'être aussi performant physiquement que mentalement. Ainsi, l'on s'assure de la fiabilité de la personne, qu'elle ne prendra de risques ni pour elle, ni l'équipe, ni les gens à secourir.

Une mission qui fini sur la mort de qui que ce soit est considéré comme un échec (même l'ennemi).

Niveau physique, je sais que l'entrainement principal de Djibouti consiste à aller libérer un prisonnier dans un camp dans le désert (donc approche à découvert), parfois "blessé", en général nus pieds. L'approche s'effectue à pied sur 20 km avec une poutre de 20kg. Il fait 50°C (voire pire, j'avais 43° dans la maison...) et près de 0% d'humidité. Les instructeurs jouent les méchants et mettent des pièges partout. La troupe travaille donc seule et doit se coordonner pour échaffauder un plan.

Pour la Guyane, j'en connais 2. Le principe est le même mais dans la forêt: plus de 35°C, 100% d'humidité. La nuit, moins de 10°C (t'es mouillé tout le temps, tu sèches jamais...). Il faut aller libérer un prisonnier. J'en sais pas plus, seulement que ça dure plus d'une semaine

et qu'au retour, ils viennent à l'hosto pour soigner pieds des tranchés ou palu...

Le 2nd, c'est un entrainement en milieu carcéral dans l'ancienne prison désaffectée de Cayenne.

Niveau arme, je sais que le GiGN utilise un fusil sniper unique avec un système de refroidissement du canon permettant de ne pas se déformer entre les tirs sous l'effet de la chaleur. Ils touchent une pièce de 2€ à 200m. (ce qui demande de savoir calculer la trajectoire de la balle avec le vent, etc.).

Avec des armes de point, ils peuvent toucher une pièce à près de 20m.



Dès que j'allume ma télé, je sais que l'écrasante majorité des gens n'a ni les capacités mentales ni intellectuelles d'un membre du GIGN, mais si on parle de physique, on est à des années-lumières...

En fait un mec du GiGN c'est à un policier lambda ce que Einstein est à un prof de physique-chimie en 6ème...









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Merci pour ces précisions très intéressantes

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a écrit : Bon j'ai du faire un peu de ménage suite aux messages de notre ami qui a évidemment fini par mettre le commentaire de trop.

Désolé pour les messages de ceux qui lui répondaient.
Quel travail de modération pour cette anecdote. La dérive est sérieuse. On se perds un peu dans les corrections des uns et des autres. Je remercie les participants aux débat pour leurs lumières, mais au final dans le chiffres et les fait, je n'ai pas vraiment pu faire la synthèse.
En passant, je salue nos forces armées, je salue les professionnels et particuliers qui s'occupent des autres. Et merci a Philippe et l'équipe de scmb pour leur travail.

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