Le putois est l'un des rares mammifères carnivores à constituer des réserves alimentaires : au printemps, il stocke des petits animaux, notamment des grenouilles, dans des caches. Il lui arrive également de conserver des proies vivantes après leur avoir percé le crâne pour les immobiliser.
Nos applications mobilesFacebookTwitterFeeds16425 anecdotes - 337 lecteurs connectés
Le site pour briller en soirée
Commentaires préférés (3)
Une craniectomie opérée par un putois. Et personne n'arrive à croire que la marmotte met le chocolat dans le papier alu ?! ^^
Proies de putois stockées au printemps, concours d’effluves délicieux en été
Alors il mord des amphibiens à la base du crâne, pour sectionner la moelle épinière, afin de les rendre ses proies tétraplégiques. Ainsi il pourra stocker ses proies vivantes et les manger plus tard, toujours fraîches.
Donc, quelque part, du coup... on peut dire qu'il mange aussi des légumes.
Tous les commentaires (10)
Une craniectomie opérée par un putois. Et personne n'arrive à croire que la marmotte met le chocolat dans le papier alu ?! ^^
On l’appel aussi le DHAMMERrus putorius en latin
Proies de putois stockées au printemps, concours d’effluves délicieux en été
Alors il mord des amphibiens à la base du crâne, pour sectionner la moelle épinière, afin de les rendre ses proies tétraplégiques. Ainsi il pourra stocker ses proies vivantes et les manger plus tard, toujours fraîches.
Donc, quelque part, du coup... on peut dire qu'il mange aussi des légumes.
Merci pour le fou rire !
Dans un autre registre, il existe la chrysope perlée qui pour neutraliser une termite lâche un pet afin de la paralyser et la manger ensuite. Bon appétit :)
Dans ce cas, c’est de la termite fumée
Il y a aussi l'homo sapien sapiens qui peut constituer des réserves alimentaires, notamment les survivalistes en prévision d'une éventuelle catastrophe.
Haha première chose à laquelle j’ai pensé aussi ! Je ne comprends pas pourquoi des votes négatifs…
Peut-être par ce que personne n'a compris le jeu de mot. Dû moins, les non-anglophones. Et pourquoi ne pas avoir utilisé le français ? Le Marteleurus Putorius aurait été tout aussi bien, voire mieux que de l'anglais mélangé au latin.