L'alerte aux tsunamis pourrait considérablement progresser

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Le système actuel d'alerte aux tsunamis est très perfectible, car en analysant les ondes sismiques, on a du mal à évaluer précisément et en temps réel la magnitude d'un séisme. Cela pourrait changer grâce aux ondes gravitationnelles : des chercheurs ont créé une I.A. qui analyse en temps réel les ondes gravitationnelles produites par les mouvements des roches et prévoit leur magnitude avec une grande précision, ainsi que leur impact en terme de tsunami.

Le modèle a été développé sur les données du tsunami de 2011 au Japon, mais peut facilement être adapté à d'autres régions.


Commentaires préférés (3)

a écrit : Intelligence Artificielle Disons plutôt un algorithme informatique de traitement de données (« évolutif potentiellement ») car les I.A. n’existent toujours pas ;)

a écrit : Et quand certain.e.s disent que la recherche spatiale ne sert à rien ;) Quand je lis cela, je me dis surtout que c’est l’écriture inclusive qui ne sert à rien.

a écrit : En dehors du fait que "ça" rend le texte le plus simple inintelligible, c'est interdit dans les textes administratifs et déconseillé par l'Académie
mode ou durable? l'avenir le dira

www.youtube.com/results?search_query=idiocracy
Je préfère la féminine universelle, c’est bien plus classe ;). Je ne crois pas que les mots et la façon dont on les écrit puissent soigner les maux. Mais ici on surfe sur une vague bien loin des tsunamis.


Tous les commentaires (117)

Et quand certain.e.s disent que la recherche spatiale ne sert à rien ;)

Je ne suis pas un initié : c’est quoi une I.A ?
Développer une sigle est la moindre des attentions à un large public….
Merci.

a écrit : Je ne suis pas un initié : c’est quoi une I.A ?
Développer une sigle est la moindre des attentions à un large public….
Merci.
Intelligence Artificielle

a écrit : Intelligence Artificielle Disons plutôt un algorithme informatique de traitement de données (« évolutif potentiellement ») car les I.A. n’existent toujours pas ;)

c'est une belle avancée, cela contribuera à n'en point douter a sauver des vies !

a écrit : Et quand certain.e.s disent que la recherche spatiale ne sert à rien ;) Quand je lis cela, je me dis surtout que c’est l’écriture inclusive qui ne sert à rien.

a écrit : Quand je lis cela, je me dis surtout que c’est l’écriture inclusive qui ne sert à rien. En dehors du fait que "ça" rend le texte le plus simple inintelligible, c'est interdit dans les textes administratifs et déconseillé par l'Académie
mode ou durable? l'avenir le dira

www.youtube.com/results?search_query=idiocracy

a écrit : En dehors du fait que "ça" rend le texte le plus simple inintelligible, c'est interdit dans les textes administratifs et déconseillé par l'Académie
mode ou durable? l'avenir le dira

www.youtube.com/results?search_query=idiocracy
Je préfère la féminine universelle, c’est bien plus classe ;). Je ne crois pas que les mots et la façon dont on les écrit puissent soigner les maux. Mais ici on surfe sur une vague bien loin des tsunamis.

a écrit : Quand je lis cela, je me dis surtout que c’est l’écriture inclusive qui ne sert à rien. C'est clair que la forme est bien plus importante que le fond.

Dans la même veine on travaille sur la détection des tremblements de terre et tsunami au travers des câbles fibres optiques sous marins.

De nombreux câbles parcours le plancher océanique de la planète, réussir à isoler les ondes sismiques et les ondes de pression permettra également une détection précoce des tsunami. Le principe est bien expliqué ici:

cloud.google.com/blog/fr/products/infrastructure/detecter-des-seismes-via-des-cables-sous-marins

a écrit : Quand je lis cela, je me dis surtout que c’est l’écriture inclusive qui ne sert à rien. Surtout si c'est pour mal l'écrire ! L'écriture inclusive c'est déjà moche et incompréhensible avec le point du milieu, mais, si, en plus, il y en a certain·e·s qui utilisent le point de ponctuation pour faire de l'écriture inclusive, c'est encore pire !

Sinon on peut aussi simplement observer la faune local.

Certains se penchent aussi sur la possibilité de générer des ondes gravitationnelles permettant de contrer et donc stopper ou atténuer les tsunamis.

a écrit : Surtout si c'est pour mal l'écrire ! L'écriture inclusive c'est déjà moche et incompréhensible avec le point du milieu, mais, si, en plus, il y en a certain·e·s qui utilisent le point de ponctuation pour faire de l'écriture inclusive, c'est encore pire ! On fait avec les moyens qu'on a.

Sérieusement ? Vous allez polémiquer là-dessus au lieu de vous focaliser sur le sujet nettement plus intéressant de l'anecdote ?

Quand on sait qu'il faut des instruments kilométriques (comme le LIGO aux USA) pour détecter l'onde gravitationnelle de la fusion de deux trous noirs, des monstres cosmologiques, celle provoquée par un séisme, aussi puissant soit-il, est infiniment plus faible.
Je me demande quels types de détecteur est utilisé.

a écrit : On fait avec les moyens qu'on a.

Sérieusement ? Vous allez polémiquer là-dessus au lieu de vous focaliser sur le sujet nettement plus intéressant de l'anecdote ?

Quand on sait qu'il faut des instruments kilométriques (comme le LIGO aux USA) pour détecter l'onde gravitationn
elle de la fusion de deux trous noirs, des monstres cosmologiques, celle provoquée par un séisme, aussi puissant soit-il, est infiniment plus faible.
Je me demande quels types de détecteur est utilisé.
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Je peux aussi répondre sur le sujet nettement plus intéressant de l'anecdote puisque tu le réclames.

C'est vrai que c'est un peu perturbant que l'anecdote parle d'ondes gravitationnelles qui ont été si difficiles à mettre en évidence, mais de même qu'on pouvait déjà utiliser la lumière avant qu'on théorise sur les ondes lumineuses, on utilise depuis longtemps la gravité sans avoir besoin de mettre en évidence qu'il s'agit d'ondes ni de mesurer leur vitesse de propagation.

Tu mesures la gravité à chaque fois que tu montes sur un pèse-personne et c'est le même principe qui est utilisé pour détecter les séismes à distance : un léger changement dans la gravité met instantanément en évidence qu'un séisme s'est produit, puisque des masses se sont déplacées, sans attendre l'arrivée des ondes sismiques qui sont beaucoup plus lentes car ce sont des ondes de compression qui se propagent dans les matériaux qui constituent l'écorce terrestre.

C'est la seule raison pour laquelle l'anecdote parle d'ondes gravitationnelle : pour indiquer que le changement de gravité est ressenti instantanément même si on est loin de l'épicentre du séisme.

D'après les dernières théories, la gravitation se propagerait à la vitesse de la lumière mais pour l'utilisation qui nous préoccupe (la détection des séismes), on n'a pas besoin d'installation aussi complexes que le LIGO qui cherchent à mettre en évidence les ondes gravitationnelles et à mesurer leur vitesse (ou même à mettre en évidence un graviton qui serait, à l'instar du photon pour la lumière, le vecteur de la gravitation), on a juste besoin de savoir que la gravitation se propage quasi-instantanément et de savoir la mesurer finement pour détecter les changements indiquant et permettant de calculer l'importance des séismes. Ce qui nécessite un matériel beaucoup plus simple et parfaitement rôdé, beaucoup plus précis qu'un pèse-personne mais néanmoins tout à fait classique et qui n'a rien à voir avec un interféromètre pour ondes gravitationnelles.

a écrit : Je peux aussi répondre sur le sujet nettement plus intéressant de l'anecdote puisque tu le réclames.

C'est vrai que c'est un peu perturbant que l'anecdote parle d'ondes gravitationnelles qui ont été si difficiles à mettre en évidence, mais de même qu'on pouvait déjà utiliser l
a lumière avant qu'on théorise sur les ondes lumineuses, on utilise depuis longtemps la gravité sans avoir besoin de mettre en évidence qu'il s'agit d'ondes ni de mesurer leur vitesse de propagation.

Tu mesures la gravité à chaque fois que tu montes sur un pèse-personne et c'est le même principe qui est utilisé pour détecter les séismes à distance : un léger changement dans la gravité met instantanément en évidence qu'un séisme s'est produit, puisque des masses se sont déplacées, sans attendre l'arrivée des ondes sismiques qui sont beaucoup plus lentes car ce sont des ondes de compression qui se propagent dans les matériaux qui constituent l'écorce terrestre.

C'est la seule raison pour laquelle l'anecdote parle d'ondes gravitationnelle : pour indiquer que le changement de gravité est ressenti instantanément même si on est loin de l'épicentre du séisme.

D'après les dernières théories, la gravitation se propagerait à la vitesse de la lumière mais pour l'utilisation qui nous préoccupe (la détection des séismes), on n'a pas besoin d'installation aussi complexes que le LIGO qui cherchent à mettre en évidence les ondes gravitationnelles et à mesurer leur vitesse (ou même à mettre en évidence un graviton qui serait, à l'instar du photon pour la lumière, le vecteur de la gravitation), on a juste besoin de savoir que la gravitation se propage quasi-instantanément et de savoir la mesurer finement pour détecter les changements indiquant et permettant de calculer l'importance des séismes. Ce qui nécessite un matériel beaucoup plus simple et parfaitement rôdé, beaucoup plus précis qu'un pèse-personne mais néanmoins tout à fait classique et qui n'a rien à voir avec un interféromètre pour ondes gravitationnelles.
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Hello !

Détail sur le début de ton commentaire : la gravité n'est pas une onde (ni en quantique, ni en relativité).

Ce qui est une onde, c'est les variations de gravité ;-) pas de variation de masse -> pas d'onde.

Je suis vraiment perplexe sur cette info ; je comprends pas bien comment c'est possible. On a mis presque un siècle à détecter les signaux générés par les événements les plus énormes de l'univers (du genre fusion de deux trous noirs), et là d'un coup on détecte des masses continentale qui bougeottent. Des masses nettement plus petites, qui bougent de quelques centimètres. Je saisi pas la logique.

Si la distance des phénomènes cosmiques expliquent la difficulté d'oberser les ondes générées, alors ligo pourrait il être utilisé pour détecter les tremblements de terre ?

Il y a un truc qui me chipote avec cette histoire. Et les sources ne m'eclairent pas des masses ;-(

a écrit : Hello !

Détail sur le début de ton commentaire : la gravité n'est pas une onde (ni en quantique, ni en relativité).

Ce qui est une onde, c'est les variations de gravité ;-) pas de variation de masse -> pas d'onde.

Je suis vraiment perplexe sur cette info ; je co
mprends pas bien comment c'est possible. On a mis presque un siècle à détecter les signaux générés par les événements les plus énormes de l'univers (du genre fusion de deux trous noirs), et là d'un coup on détecte des masses continentale qui bougeottent. Des masses nettement plus petites, qui bougent de quelques centimètres. Je saisi pas la logique.

Si la distance des phénomènes cosmiques expliquent la difficulté d'oberser les ondes générées, alors ligo pourrait il être utilisé pour détecter les tremblements de terre ?

Il y a un truc qui me chipote avec cette histoire. Et les sources ne m'eclairent pas des masses ;-(
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J'ai dans idée qu'on n'en sait pas grand chose vu qu'on n'a pas encore prouvé l'existence des gravitons, s'ils existent. Le jour où on saura quel est le vecteur de gravité on pourra peut-être dire si les hypothètiques gravitons se comportent comme des ondes à l'instar des photons, ou pas.

Sinon la masse est invariable, c'est le poids qui varie avec la gravité. (P=m.g)

Pour le reste il a raison. On utilise des gravimètres terrestres, aériens ou spatiaux pour mesurer les variations de gravité. Les gravimètres terrestres utilisent globalement des masses suspendues sur des ressorts. En fonction des fluctuations d'allongement des ressorts on peut déduire des choses sur les variations de gravité. La gravimétrie spatiale elle utilise le calcul de déviation des trajectoires de satellites pour quantifier des fluctuations de gravité. Et des gravimètres quantiques sont à l'étude.

Mesurer les vestiges d'ondes gravitationnelles diffusent datant d'il y 14 milliards d'années est incroyablement plus complexe que de mesurer des fluctuations locales parce que même si l'évènement est plus petit en taille on est aussi beaucoup plus près de la source dans l'espace et le temps.

a écrit : Hello !

Détail sur le début de ton commentaire : la gravité n'est pas une onde (ni en quantique, ni en relativité).

Ce qui est une onde, c'est les variations de gravité ;-) pas de variation de masse -> pas d'onde.

Je suis vraiment perplexe sur cette info ; je co
mprends pas bien comment c'est possible. On a mis presque un siècle à détecter les signaux générés par les événements les plus énormes de l'univers (du genre fusion de deux trous noirs), et là d'un coup on détecte des masses continentale qui bougeottent. Des masses nettement plus petites, qui bougent de quelques centimètres. Je saisi pas la logique.

Si la distance des phénomènes cosmiques expliquent la difficulté d'oberser les ondes générées, alors ligo pourrait il être utilisé pour détecter les tremblements de terre ?

Il y a un truc qui me chipote avec cette histoire. Et les sources ne m'eclairent pas des masses ;-(
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Je ne rentrerai pas dans le débat de savoir à quoi ressemblent les ondes gravitationnelles, car rentrer dans ce débat c'est se fourvoyer complètement sur le sujet de cette anecdote. Comme je l'ai expliqué dans mon commentaire précédent, et si le message n'est pas bien passé, j'insiste à nouveau : l'histoire de l'interféromètre, des trous noirs, etc. c'est pour mettre en évidence les ondes gravitationnelles, or le sujet de l'anecdote ce ne sont pas les ondes gravitationnelles mais tout simplement la gravité.

Pour comprendre (et mesurer) la gravité, la formule de l'attraction universelle suffit amplement. Elle indique que la gravité produite par une masse est inversement proportionnelle au carré de la distance. Et avec cette formule qui est parfaitement connue depuis des siècles, on comprend facilement qu'un morceau d'écorce terrestre qui bouge à l'autre bout de la terre fera beaucoup plus varier la gravité mesurée par un appareil qu'un trou noir situé à l'autre bout de la galaxie, même s'il est super massif.

Donc il ne faut pas se laisser égarer par le fait que l'anecdote parle d'ondes gravitationnelles : je répère que les ondes gravitationnelles ne sont citées dans cette anecdote que pour indiquer que la gravité se communique instantanément (à l'échelle de la Terre) et que c'est donc beaucoup plus rapide que d'attendre les ondes sysmiques (et je pense d'ailleurs que si l'auteur avait pu se douter que le fait de citer les ondes gravitationnelles allait susciter autant de confusion, il aurait évité d'en parler et il se serait contenté de dire que les effets de la gravitation sont ressentis instantanément).

Et pour comprendre le reste, il suffit d'oublier toutes les découvertes récentes sur les ondes gravitationnelles, les interféromètres, les trous noirs etc. et se rappeler tout simplement la formule de l'attraction universelle et les expériences qu'on faisait en classe de physique avec un ressort pour mesurer le poids, et comprendre qu'on peut mesurer beaucoup plus facilement des petites variations de gravité quand une masse bouge à la surface de la terre car on est en présence de distances de l'ordre du millier de kilomètres, que ce qui a été mis en oeuvre pour mesurer les effets de la gravité dans le domaine l'astronomie avec des distances qui se mesurent en années.lumières !

Si tu veux mieux comprendre comment on mesure la gravité et comment ça permet de détecter les tremblements de terre, tu peux chercher "Gravimètre" c'est le nom de l'appareil qui permet de mesurer la gravité, et tu verras que ça n'a rien à voir avec le LIGO et qu'il ne faut surtout pas entrer dans des considérations d'ondes gravitationnelles quand on s'intéresse tout simplement à la mesure de la gravité sur Terre.

Onde gravitationnelle ? Êtes vous sur ? Il faut la fusion de deux trous noir et des détecteurs immenses pour les détecter ( ligo et virgo ) et cela avec une précision démentielle.

a écrit : Je ne rentrerai pas dans le débat de savoir à quoi ressemblent les ondes gravitationnelles, car rentrer dans ce débat c'est se fourvoyer complètement sur le sujet de cette anecdote. Comme je l'ai expliqué dans mon commentaire précédent, et si le message n'est pas bien passé, j'insiste à nouveau : l'histoire de l'interféromètre, des trous noirs, etc. c'est pour mettre en évidence les ondes gravitationnelles, or le sujet de l'anecdote ce ne sont pas les ondes gravitationnelles mais tout simplement la gravité.

Pour comprendre (et mesurer) la gravité, la formule de l'attraction universelle suffit amplement. Elle indique que la gravité produite par une masse est inversement proportionnelle au carré de la distance. Et avec cette formule qui est parfaitement connue depuis des siècles, on comprend facilement qu'un morceau d'écorce terrestre qui bouge à l'autre bout de la terre fera beaucoup plus varier la gravité mesurée par un appareil qu'un trou noir situé à l'autre bout de la galaxie, même s'il est super massif.

Donc il ne faut pas se laisser égarer par le fait que l'anecdote parle d'ondes gravitationnelles : je répère que les ondes gravitationnelles ne sont citées dans cette anecdote que pour indiquer que la gravité se communique instantanément (à l'échelle de la Terre) et que c'est donc beaucoup plus rapide que d'attendre les ondes sysmiques (et je pense d'ailleurs que si l'auteur avait pu se douter que le fait de citer les ondes gravitationnelles allait susciter autant de confusion, il aurait évité d'en parler et il se serait contenté de dire que les effets de la gravitation sont ressentis instantanément).

Et pour comprendre le reste, il suffit d'oublier toutes les découvertes récentes sur les ondes gravitationnelles, les interféromètres, les trous noirs etc. et se rappeler tout simplement la formule de l'attraction universelle et les expériences qu'on faisait en classe de physique avec un ressort pour mesurer le poids, et comprendre qu'on peut mesurer beaucoup plus facilement des petites variations de gravité quand une masse bouge à la surface de la terre car on est en présence de distances de l'ordre du millier de kilomètres, que ce qui a été mis en oeuvre pour mesurer les effets de la gravité dans le domaine l'astronomie avec des distances qui se mesurent en années.lumières !

Si tu veux mieux comprendre comment on mesure la gravité et comment ça permet de détecter les tremblements de terre, tu peux chercher "Gravimètre" c'est le nom de l'appareil qui permet de mesurer la gravité, et tu verras que ça n'a rien à voir avec le LIGO et qu'il ne faut surtout pas entrer dans des considérations d'ondes gravitationnelles quand on s'intéresse tout simplement à la mesure de la gravité sur Terre.
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Mais un gravimètre ne mesure pas les ondes gravitationnelles qui sont des oscillations de la courbure de l'espace-temps. D'où les interféromètres pour les détecter. L'auteur(e) de l'anecdote ne fait d'ailleurs que reprendre les termes utilisés dans ses sources. Se fourvoient-elles aussi ?

Je me dis juste qu'une telle onde due à un séisme doit être infiniment plus difficile à détecter que celle due à la fusion de deux trous noirs, même distants de plusieurs millions d'a.l. Juste une impression personnelle hein ?!

Les gravimètres terrestres les plus précis fonctionnent en faisant tomber une masse dans un tube à vide dont la vitesse de chute est mesurée par laser. Ils atteignent le micro-gal. Les océaniques atteignent le milli-gal. Ils ne mesurent que l'intensité de la gravité à un instant donné.
Le mouvement d'une "simple" plaque tectonique est-il suffisant pour être détecté ? Apparemment oui.