Captain Canada a fait 10 Jeux olympiques

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Commentaires préférés (3)

Euh...si sa première participation était en 1972 et la dernière en 2012, ça fait 11 olympiades, non ?
Bon ok, j'ai lu les sources trop tard. Il n'a pas participé aux JO de Moscou en 1980.

Ça s’pour toi mon Jean-Jean !

a écrit : Et écarter les femmes trans des compétitions féminines reviendrait à les discriminer.

Sinon pour info si vous avez déjà entendus ces termes et que vous vous êtes demandé ce qu'ils signifiaient :
"Femme cis" : terme pour déterminer une femme cisgenre c'est-à-dire "née femme
"
"Femme trans" : terme pour déterminer une femme transgenre c'est-à-dire "qui a une identité de genre différente de celle celle qui lui a été attribuée à la naissance".

Devrait-on écarter les "hommes cis" des jeux olympiques masculins pour ne pas désavantager les "hommes trans"?
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Effectivement, ta première phrase est tout à fait vrai mais également justifiable.

Le sport, les records et les compétitions en général se basent sur un principe de performances physiques. Pour que la compétition soit équitable (peu importe le sport d'ailleurs), il faut soit que les performances physiques soit équivalentes (par exemple : en boxe, en natation, en course à pied) soit que les performances physiques soit équilibrées (notamment avec des sports mixtes comme les doubles mixte en tennis ou badminton) soit que les performances physiques ne changent rien aux performances sportives (certaines disciplines d'équitation ou de voile).

Or biologiquement, les personnes nés hommes et nés femmes ne partagent pas du tout les mêmes compétences physiques car il existe des différences fondamentales liées à la biologie du corps humain. De la même manière, il existe des différences de performance selon l'âge ou le poids des personnes selon les sports.

Ainsi, pour que les compétitions soient équitables il faut séparer les humains par catégorie (sexe, âge, poids).

Faire participer les femmes transgenres à des compétitions féminines, c'est complètement inéquitables pour les femmes nées femmes inscrites à la compétition car la femme transgenre et donc née homme va bénéficier d'un avantage biologique non négligeable.

Je me fiche bien de connaître le genre des sportifs. Par contre, pour une compétition basée sur la performance sportive et donc intrinsèquement lié à la biologie humaine, il est indispensable (selon le sport) de faire une discrimination selon le sexe des participants et des participantes.

A partir du moment où un sport possède plusieurs catégories, on fait de la discrimination. Cela ne veut pas dire que c'est mal. Cela veut dire qu'on cherche à réaliser une compétition équitable que ce soit en discriminant sur l'âge, le poids ou le sexe.

Ne plus faire de discriminations liées à la biologie engendrent d'autres discriminations. On voit bien les problèmes que ça engendrent dans les compétitions universitaires américaines...


Tous les commentaires (26)

Euh...si sa première participation était en 1972 et la dernière en 2012, ça fait 11 olympiades, non ?
Bon ok, j'ai lu les sources trop tard. Il n'a pas participé aux JO de Moscou en 1980.

Ça s’pour toi mon Jean-Jean !

65 ans pour sa dernière participation ! Chapeau.

Certes recordman de participation aux JO mais pas recordman de médailles

En france ce record est détenu par jeannie Longo en télé d'âge ayant plus de 60ans et fait rarissime une nageuse française il y as un peux moins de 40ans as concouru chez les valides puis en handisport après sont accident
Sinon Marie amelie le fur as fait pas mal de discipline en même temps en athlétisme ainsi que du vélo de route (à voir)
Il y as aussi un transgenre américain championne du monde en vélo de piste
Prochainement au Jo de Pékin un patineur canadien il me semble qui est non binaire
Et une canadienne il me semble qui participa au JO d'été et d'hiver

a écrit : En france ce record est détenu par jeannie Longo en télé d'âge ayant plus de 60ans et fait rarissime une nageuse française il y as un peux moins de 40ans as concouru chez les valides puis en handisport après sont accident
Sinon Marie amelie le fur as fait pas mal de discipline en même temps en athlétisme ain
si que du vélo de route (à voir)
Il y as aussi un transgenre américain championne du monde en vélo de piste
Prochainement au Jo de Pékin un patineur canadien il me semble qui est non binaire
Et une canadienne il me semble qui participa au JO d'été et d'hiver
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S’il existe bien un truc anti-féministe, c’est d’accepter les femmes transgenres dans les compétitions sportives féminines. Mais peut être qu’on s’en rendra compte un jour quand plus aucune femme (née femme) ne gagnera de médailles.

Je me suis demandé pourquoi préciser "d'été" dans l'anecdote. Le site du CIO indique qu' "Il est le seul athlète à avoir participé à dix éditions des Jeux Olympiques" tout court, sans préciser "d'été". Apparemment il n'y a pas mieux, même si on prend en compte les jeux olympiques d'hiver, donc ce n'était pas la peine de préciser "d'été". A la rigueur on pourrait préciser "de l'ère moderne" pour le cas où il y aurait eu un athlète qui aurait participé à plus de 10 éditions dans les jeux olympiques de la Grèce antique.

a écrit : S’il existe bien un truc anti-féministe, c’est d’accepter les femmes transgenres dans les compétitions sportives féminines. Mais peut être qu’on s’en rendra compte un jour quand plus aucune femme (née femme) ne gagnera de médailles. Et écarter les femmes trans des compétitions féminines reviendrait à les discriminer.

Sinon pour info si vous avez déjà entendus ces termes et que vous vous êtes demandé ce qu'ils signifiaient :
"Femme cis" : terme pour déterminer une femme cisgenre c'est-à-dire "née femme"
"Femme trans" : terme pour déterminer une femme transgenre c'est-à-dire "qui a une identité de genre différente de celle celle qui lui a été attribuée à la naissance".

Devrait-on écarter les "hommes cis" des jeux olympiques masculins pour ne pas désavantager les "hommes trans"?

a écrit : Et écarter les femmes trans des compétitions féminines reviendrait à les discriminer.

Sinon pour info si vous avez déjà entendus ces termes et que vous vous êtes demandé ce qu'ils signifiaient :
"Femme cis" : terme pour déterminer une femme cisgenre c'est-à-dire "née femme
"
"Femme trans" : terme pour déterminer une femme transgenre c'est-à-dire "qui a une identité de genre différente de celle celle qui lui a été attribuée à la naissance".

Devrait-on écarter les "hommes cis" des jeux olympiques masculins pour ne pas désavantager les "hommes trans"?
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Effectivement, ta première phrase est tout à fait vrai mais également justifiable.

Le sport, les records et les compétitions en général se basent sur un principe de performances physiques. Pour que la compétition soit équitable (peu importe le sport d'ailleurs), il faut soit que les performances physiques soit équivalentes (par exemple : en boxe, en natation, en course à pied) soit que les performances physiques soit équilibrées (notamment avec des sports mixtes comme les doubles mixte en tennis ou badminton) soit que les performances physiques ne changent rien aux performances sportives (certaines disciplines d'équitation ou de voile).

Or biologiquement, les personnes nés hommes et nés femmes ne partagent pas du tout les mêmes compétences physiques car il existe des différences fondamentales liées à la biologie du corps humain. De la même manière, il existe des différences de performance selon l'âge ou le poids des personnes selon les sports.

Ainsi, pour que les compétitions soient équitables il faut séparer les humains par catégorie (sexe, âge, poids).

Faire participer les femmes transgenres à des compétitions féminines, c'est complètement inéquitables pour les femmes nées femmes inscrites à la compétition car la femme transgenre et donc née homme va bénéficier d'un avantage biologique non négligeable.

Je me fiche bien de connaître le genre des sportifs. Par contre, pour une compétition basée sur la performance sportive et donc intrinsèquement lié à la biologie humaine, il est indispensable (selon le sport) de faire une discrimination selon le sexe des participants et des participantes.

A partir du moment où un sport possède plusieurs catégories, on fait de la discrimination. Cela ne veut pas dire que c'est mal. Cela veut dire qu'on cherche à réaliser une compétition équitable que ce soit en discriminant sur l'âge, le poids ou le sexe.

Ne plus faire de discriminations liées à la biologie engendrent d'autres discriminations. On voit bien les problèmes que ça engendrent dans les compétitions universitaires américaines...

a écrit : Effectivement, ta première phrase est tout à fait vrai mais également justifiable.

Le sport, les records et les compétitions en général se basent sur un principe de performances physiques. Pour que la compétition soit équitable (peu importe le sport d'ailleurs), il faut soit que les performances phys
iques soit équivalentes (par exemple : en boxe, en natation, en course à pied) soit que les performances physiques soit équilibrées (notamment avec des sports mixtes comme les doubles mixte en tennis ou badminton) soit que les performances physiques ne changent rien aux performances sportives (certaines disciplines d'équitation ou de voile).

Or biologiquement, les personnes nés hommes et nés femmes ne partagent pas du tout les mêmes compétences physiques car il existe des différences fondamentales liées à la biologie du corps humain. De la même manière, il existe des différences de performance selon l'âge ou le poids des personnes selon les sports.

Ainsi, pour que les compétitions soient équitables il faut séparer les humains par catégorie (sexe, âge, poids).

Faire participer les femmes transgenres à des compétitions féminines, c'est complètement inéquitables pour les femmes nées femmes inscrites à la compétition car la femme transgenre et donc née homme va bénéficier d'un avantage biologique non négligeable.

Je me fiche bien de connaître le genre des sportifs. Par contre, pour une compétition basée sur la performance sportive et donc intrinsèquement lié à la biologie humaine, il est indispensable (selon le sport) de faire une discrimination selon le sexe des participants et des participantes.

A partir du moment où un sport possède plusieurs catégories, on fait de la discrimination. Cela ne veut pas dire que c'est mal. Cela veut dire qu'on cherche à réaliser une compétition équitable que ce soit en discriminant sur l'âge, le poids ou le sexe.

Ne plus faire de discriminations liées à la biologie engendrent d'autres discriminations. On voit bien les problèmes que ça engendrent dans les compétitions universitaires américaines...
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quelles autres discriminations?

Peux tu m'en dire plus? Parce que ce que je vois le plus souvent c'est que les hommes détestent se faire battre par des femmes, sauf sur les points de couture (encore que...)

J'ai vu des bonnes femmes qui font de l'haltérophilie... et ce sont pas des transgenres, elles sont musclées, c'est tout.

Peut être que nous avons peur d'être vaincus par ces dames au bras de fer?

Un jour un pote que je battais royalement au bras de fer a fait élaguage, et reviens me voir trois ans après et pour rigoler me propose un bras de fer...
J'ai refusé, forcément, il s'est entrainé pendant trois ans, alors que de mon coté je battais les trois quarts de mes potes avec mes petits bras maigres mais qui bossaient ailleurs que devant un bureau et un clavier!!!

Les muscles, ca se forge! Ca n'apparait pas comme par magie autour des os. ;)

a écrit : Effectivement, ta première phrase est tout à fait vrai mais également justifiable.

Le sport, les records et les compétitions en général se basent sur un principe de performances physiques. Pour que la compétition soit équitable (peu importe le sport d'ailleurs), il faut soit que les performances phys
iques soit équivalentes (par exemple : en boxe, en natation, en course à pied) soit que les performances physiques soit équilibrées (notamment avec des sports mixtes comme les doubles mixte en tennis ou badminton) soit que les performances physiques ne changent rien aux performances sportives (certaines disciplines d'équitation ou de voile).

Or biologiquement, les personnes nés hommes et nés femmes ne partagent pas du tout les mêmes compétences physiques car il existe des différences fondamentales liées à la biologie du corps humain. De la même manière, il existe des différences de performance selon l'âge ou le poids des personnes selon les sports.

Ainsi, pour que les compétitions soient équitables il faut séparer les humains par catégorie (sexe, âge, poids).

Faire participer les femmes transgenres à des compétitions féminines, c'est complètement inéquitables pour les femmes nées femmes inscrites à la compétition car la femme transgenre et donc née homme va bénéficier d'un avantage biologique non négligeable.

Je me fiche bien de connaître le genre des sportifs. Par contre, pour une compétition basée sur la performance sportive et donc intrinsèquement lié à la biologie humaine, il est indispensable (selon le sport) de faire une discrimination selon le sexe des participants et des participantes.

A partir du moment où un sport possède plusieurs catégories, on fait de la discrimination. Cela ne veut pas dire que c'est mal. Cela veut dire qu'on cherche à réaliser une compétition équitable que ce soit en discriminant sur l'âge, le poids ou le sexe.

Ne plus faire de discriminations liées à la biologie engendrent d'autres discriminations. On voit bien les problèmes que ça engendrent dans les compétitions universitaires américaines...
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Le golf est un sport qui a peut-être un début de solution, pour les sports individuels au moins... Au golf il existe des niveaux individuels (appellés des "handicaps") ; il y a des "handicaps" différents pour hommes et pour femmes qui ne partent pas de la même ligne de départ, et cela a pour effet d'éliminer la différence physique pour chaque trou à jouer d'un parcours. Et en fonction de chaque trou il y a des différences de distances de départs selon la difficulté "physique" de chacun d'eux. Ces départs sont matérialisés sur tous les parcours par des différences de couleurs des plots de départs.
Ainsi, au moins au niveau amateur, les compétitions sont mixtes ; ce n'est plus la différence de puissance physique qui est au centre du débat. Ils ne sont pas encore allés jusqu'aux compétitions "professionnelles", sauf quelques exibitions, mais ce sport serait déjà techniquement prêt à mettre le doigt dans la mixité globale.
On pourrait dès lors imaginer la même chose pour nombre de sports individuels... Une course à pieds mixte au JO avec des distances de départs différentes, par exemple ; une compétitions d'haltérophilie avec des équivalences de poids à soulever ; ou des lancers avec des distances d'équivalences ; tant d'autres...
On aurait ainsi un-e seul-e vainqueur-e dans les sports (au moins certains) aux JO...
En allant encore plus loin, il y a au golf depuis deux ans des distances de départs sur chaque trou pour, outre les hommes et les femmes, les jeunes, les séniors... Et sur la licence il y a notée la couleur de départ de chacun en fonction du sexe, de l'âge, du niveau acquis, etc...

a écrit : quelles autres discriminations?

Peux tu m'en dire plus? Parce que ce que je vois le plus souvent c'est que les hommes détestent se faire battre par des femmes, sauf sur les points de couture (encore que...)

J'ai vu des bonnes femmes qui font de l'haltérophilie... et ce sont
pas des transgenres, elles sont musclées, c'est tout.

Peut être que nous avons peur d'être vaincus par ces dames au bras de fer?

Un jour un pote que je battais royalement au bras de fer a fait élaguage, et reviens me voir trois ans après et pour rigoler me propose un bras de fer...
J'ai refusé, forcément, il s'est entrainé pendant trois ans, alors que de mon coté je battais les trois quarts de mes potes avec mes petits bras maigres mais qui bossaient ailleurs que devant un bureau et un clavier!!!

Les muscles, ca se forge! Ca n'apparait pas comme par magie autour des os. ;)
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Imagine que tu sois une des meilleures femmes dans un sport donné et que du jour au lendemain tu te fasses battre par une femme trans (née homme) car biologiquement elle est plus forte.
C’est ce qui arrive dans les compétitions universitaires américaines de natation de certains états.

Sous couvert d’égalité, on est en train de réinventer l’injustice. On ne peut pas mélanger genre et sexe dans le sport.

Bien entendu que sur l’humanité complète certaines femmes sont plus fortes que les hommes ce n’est pas la question. En compétition professionnelle les niveaux deviennent de plus en plus proche dans chaque catégorie. Si on mélange les catégories alors les niveaux ne sont plus les mêmes. De la même façon qu’il serait impensable voire dangereux de mettre un boxeur léger en face d’un boxeur lourd.

a écrit : Le golf est un sport qui a peut-être un début de solution, pour les sports individuels au moins... Au golf il existe des niveaux individuels (appellés des "handicaps") ; il y a des "handicaps" différents pour hommes et pour femmes qui ne partent pas de la même ligne de départ, et cela a pour effet d'éliminer la différence physique pour chaque trou à jouer d'un parcours. Et en fonction de chaque trou il y a des différences de distances de départs selon la difficulté "physique" de chacun d'eux. Ces départs sont matérialisés sur tous les parcours par des différences de couleurs des plots de départs.
Ainsi, au moins au niveau amateur, les compétitions sont mixtes ; ce n'est plus la différence de puissance physique qui est au centre du débat. Ils ne sont pas encore allés jusqu'aux compétitions "professionnelles", sauf quelques exibitions, mais ce sport serait déjà techniquement prêt à mettre le doigt dans la mixité globale.
On pourrait dès lors imaginer la même chose pour nombre de sports individuels... Une course à pieds mixte au JO avec des distances de départs différentes, par exemple ; une compétitions d'haltérophilie avec des équivalences de poids à soulever ; ou des lancers avec des distances d'équivalences ; tant d'autres...
On aurait ainsi un-e seul-e vainqueur-e dans les sports (au moins certains) aux JO...
En allant encore plus loin, il y a au golf depuis deux ans des distances de départs sur chaque trou pour, outre les hommes et les femmes, les jeunes, les séniors... Et sur la licence il y a notée la couleur de départ de chacun en fonction du sexe, de l'âge, du niveau acquis, etc...
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C’est effectivement une bonne idée mais ça me paraît très compliqué à calculer pour tous les sports.

a écrit : Imagine que tu sois une des meilleures femmes dans un sport donné et que du jour au lendemain tu te fasses battre par une femme trans (née homme) car biologiquement elle est plus forte.
C’est ce qui arrive dans les compétitions universitaires américaines de natation de certains états.

Sous couve
rt d’égalité, on est en train de réinventer l’injustice. On ne peut pas mélanger genre et sexe dans le sport.

Bien entendu que sur l’humanité complète certaines femmes sont plus fortes que les hommes ce n’est pas la question. En compétition professionnelle les niveaux deviennent de plus en plus proche dans chaque catégorie. Si on mélange les catégories alors les niveaux ne sont plus les mêmes. De la même façon qu’il serait impensable voire dangereux de mettre un boxeur léger en face d’un boxeur lourd.
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Imagine que tu te fasse battre à la course à pied par un noir...

On a qu'à faire des catégories au poids/taille, comme en boxe où en course hippique. Ca simplifiera les choses:)

La génétique a toujours été injuste, à force de faire des catégories, ca devient complexe...

Me souviens d'une époque où j'ai battu à plate couture un géant (très gentil) à la course de fond qui quand je l'ai doublé, m'a lancé:
-Mais s'POPOSSIB, comment tu fais, t'est une crevette!
-Beh... je sais pas... Je suis maigre et élancé, je n'y peux rien.

s'trop inzuuuste!!! ;)

a écrit : Imagine que tu te fasse battre à la course à pied par un noir...

On a qu'à faire des catégories au poids/taille, comme en boxe où en course hippique. Ca simplifiera les choses:)

La génétique a toujours été injuste, à force de faire des catégories, ca devient complexe...

Me souviens d'une époque où j'ai battu à plate couture un géant (très gentil) à la course de fond qui quand je l'ai doublé, m'a lancé:
-Mais s'POPOSSIB, comment tu fais, t'est une crevette!
-Beh... je sais pas... Je suis maigre et élancé, je n'y peux rien.

s'trop inzuuuste!!! ;)
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Quel rapport avec la couleur de peau ?

Prenons un exemple simple : l'haltérophilie.
Pour les moins de 73 kilos hommes, le record (arraché + épaulé-jeté) est de 363 kg.
Pour les moins de 76 kilos femmes, le record est de 278 kg soit 85 kg d'écart.

Je veux bien qu'on fasse des catégories uniquement par poids et taille sans distinction de sexe mais ça risque de ne pas plaire à tout le monde. Les catégories permettent d'apporter l'équité et la sécurité dans le sport.

Et ça ne m'empêche pas non plus de soulever moins lourd sur certains mouvements que certaines copines mais on n'est pas en compétition officielle.

a écrit : Quel rapport avec la couleur de peau ?

Prenons un exemple simple : l'haltérophilie.
Pour les moins de 73 kilos hommes, le record (arraché + épaulé-jeté) est de 363 kg.
Pour les moins de 76 kilos femmes, le record est de 278 kg soit 85 kg d'écart.

Je veux bien qu'on
fasse des catégories uniquement par poids et taille sans distinction de sexe mais ça risque de ne pas plaire à tout le monde. Les catégories permettent d'apporter l'équité et la sécurité dans le sport.

Et ça ne m'empêche pas non plus de soulever moins lourd sur certains mouvements que certaines copines mais on n'est pas en compétition officielle.
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Ça a un rapport avec la couleur de peau : les noirs ont un métabolisme (légèrement) différent qui les avantage dans les sports explosifs et c'est pourquoi il n'y a que des noirs sur les podiums de course de vitesse et d'une manière générale en athlétisme, alors que, inversement ils sont défavorisés en natation par exemple et il n'y a aucun noir sur les podiums. C'est pourquoi, si on fait des catégories, il faudrait des catégories différentes pour les différentes couleurs de peau, et encore d'autres catégories pour les métis, en plus des catégories par sexe et des catégories pour les transgenres, et des catégories handisport bien sûr ! Le gros avantage de toutes ces catégories, pour ceux qui aiment le sport, c'est que les compétitions dureraient toute l'année et il y aurait toujours une épreuve d'une catégorie en cours à regarder à la télévision !
De toute façon comme on va vers l'inclusion et qu'il faut inclure tout le monde et laisser à chacun une chance de gagner il faudra aussi prévoir des catégories pour ceux qui sont tout simplement moins bons que les autres sans que ça ait un rapport avec leur couleur, leur sexe ou un handicap quelconque.

a écrit : Ça a un rapport avec la couleur de peau : les noirs ont un métabolisme (légèrement) différent qui les avantage dans les sports explosifs et c'est pourquoi il n'y a que des noirs sur les podiums de course de vitesse et d'une manière générale en athlétisme, alors que, inversement ils sont défavorisés en natation par exemple et il n'y a aucun noir sur les podiums. C'est pourquoi, si on fait des catégories, il faudrait des catégories différentes pour les différentes couleurs de peau, et encore d'autres catégories pour les métis, en plus des catégories par sexe et des catégories pour les transgenres, et des catégories handisport bien sûr ! Le gros avantage de toutes ces catégories, pour ceux qui aiment le sport, c'est que les compétitions dureraient toute l'année et il y aurait toujours une épreuve d'une catégorie en cours à regarder à la télévision !
De toute façon comme on va vers l'inclusion et qu'il faut inclure tout le monde et laisser à chacun une chance de gagner il faudra aussi prévoir des catégories pour ceux qui sont tout simplement moins bons que les autres sans que ça ait un rapport avec leur couleur, leur sexe ou un handicap quelconque.
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Tu as oublié la catégorie de l'altitude du lieu de naissance qui peut favoriser les kenyans qui s'entrainent dès l'enfance à courir en milieu peu oxygéné sur les hauts plateaux de la Vallée du Rift.
Puis également la richesse des parents qui permet à un jeune un meilleur entrainement dans les plus grandes écoles de sport.
Ou encore la pauvreté des enfants qui permet de faire émerger de grands talents au football car ils ne vont pas à l'école.
En ce qui concerne la couleur de peau et l'action éventuel du gêne ACTN3, c'est encore en débat. Et même si on prouve que ce gêne permet à haut niveau d'octroyer un avantage pour les noirs à la course, cette avantage peut être balayé très rapidement par des raisons culturelles : les Nord-américains qui constituent la moitié des coureurs noirs à passer sous la barre des 10 secondes ne sont que 18% à posséder ce gêne. La qualité des infrastructures américaines pour l'entrainement doit y être pour quelque chose (ou les technologies de dopage, je ne sais pas).

C'est aussi culturel car plus les noirs gagnent et plus les enfants noirs se mettent à l'athlétisme et plus de nouveaux talents émergent. Même chose avec la natation pour les blancs. Sans oublier que les infrastructures de piscine sont bien plus présentes dans les pays à population blanche que dans les pays à population noire.
Si ça se trouve, les asiatiques possèdent un gêne en forme de raquette qui leur permet de surpasser le reste du monde en sport de raquettes.

Bon plus sérieusement, les catégories (âge, sexe, poids) existent déjà et elles sont très bien comme elles sont.

a écrit : Tu as oublié la catégorie de l'altitude du lieu de naissance qui peut favoriser les kenyans qui s'entrainent dès l'enfance à courir en milieu peu oxygéné sur les hauts plateaux de la Vallée du Rift.
Puis également la richesse des parents qui permet à un jeune un meilleur entrainement dans les plus
grandes écoles de sport.
Ou encore la pauvreté des enfants qui permet de faire émerger de grands talents au football car ils ne vont pas à l'école.
En ce qui concerne la couleur de peau et l'action éventuel du gêne ACTN3, c'est encore en débat. Et même si on prouve que ce gêne permet à haut niveau d'octroyer un avantage pour les noirs à la course, cette avantage peut être balayé très rapidement par des raisons culturelles : les Nord-américains qui constituent la moitié des coureurs noirs à passer sous la barre des 10 secondes ne sont que 18% à posséder ce gêne. La qualité des infrastructures américaines pour l'entrainement doit y être pour quelque chose (ou les technologies de dopage, je ne sais pas).

C'est aussi culturel car plus les noirs gagnent et plus les enfants noirs se mettent à l'athlétisme et plus de nouveaux talents émergent. Même chose avec la natation pour les blancs. Sans oublier que les infrastructures de piscine sont bien plus présentes dans les pays à population blanche que dans les pays à population noire.
Si ça se trouve, les asiatiques possèdent un gêne en forme de raquette qui leur permet de surpasser le reste du monde en sport de raquettes.

Bon plus sérieusement, les catégories (âge, sexe, poids) existent déjà et elles sont très bien comme elles sont.
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C'est triste de dire que les catégories actuelles seraient très bien comme elles sont, il faut toujours garder l'espoir qu'on peut s'améliorer, et c'est vrai dans tous les domaines ! Sinon on communiquerait toujours en criant d'une montagne à l'autre à l'aide d'un porte-voix et si on voulait avoir la météo sur le même appareil qui sert à communiquer, il faudrait regarder si le porte-voix est mouillé !

a écrit : Effectivement, ta première phrase est tout à fait vrai mais également justifiable.

Le sport, les records et les compétitions en général se basent sur un principe de performances physiques. Pour que la compétition soit équitable (peu importe le sport d'ailleurs), il faut soit que les performances phys
iques soit équivalentes (par exemple : en boxe, en natation, en course à pied) soit que les performances physiques soit équilibrées (notamment avec des sports mixtes comme les doubles mixte en tennis ou badminton) soit que les performances physiques ne changent rien aux performances sportives (certaines disciplines d'équitation ou de voile).

Or biologiquement, les personnes nés hommes et nés femmes ne partagent pas du tout les mêmes compétences physiques car il existe des différences fondamentales liées à la biologie du corps humain. De la même manière, il existe des différences de performance selon l'âge ou le poids des personnes selon les sports.

Ainsi, pour que les compétitions soient équitables il faut séparer les humains par catégorie (sexe, âge, poids).

Faire participer les femmes transgenres à des compétitions féminines, c'est complètement inéquitables pour les femmes nées femmes inscrites à la compétition car la femme transgenre et donc née homme va bénéficier d'un avantage biologique non négligeable.

Je me fiche bien de connaître le genre des sportifs. Par contre, pour une compétition basée sur la performance sportive et donc intrinsèquement lié à la biologie humaine, il est indispensable (selon le sport) de faire une discrimination selon le sexe des participants et des participantes.

A partir du moment où un sport possède plusieurs catégories, on fait de la discrimination. Cela ne veut pas dire que c'est mal. Cela veut dire qu'on cherche à réaliser une compétition équitable que ce soit en discriminant sur l'âge, le poids ou le sexe.

Ne plus faire de discriminations liées à la biologie engendrent d'autres discriminations. On voit bien les problèmes que ça engendrent dans les compétitions universitaires américaines...
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L'évidence ne semblent pas être évident pour tous.

Hâte de voir débarquer en France les compétitions majeurs sans aucune discrimination.

a écrit : L'évidence ne semblent pas être évident pour tous.

Hâte de voir débarquer en France les compétitions majeurs sans aucune discrimination.
Tu veux des compétitions toute âge, tous poids et tout sexe confondus ? (La boxe, le rugby, la lutte vont devenir des pujilats…).

A partir du moment où tu fais des catégories, tu discrimines et donc tu fais de la discrimination (même dans une compétition femme qui accepte les femmes trans, tu discrimines les hommes).

A la limite on pourrait justifier comme l’on fait les derniers JO en haltérophilie de taux hormonaux équivalents pour tous les participants d’une catégorie. Mais ce serait partir du principe que la force physique est dépendante uniquement et seulement du taux hormonal et rien n’est encore certain la dessus.

Bref, les lobbys trans reproche toujours à la terre entière de confondre sexe et genre sauf qu’ici c’est justement la confusion qui est faite par « l’inclusion » à tout prix.

Permet moi de te demander alors : ne penses tu pas qu’inclure les femmes trans dans les compétitions féminines n’est pas profondément injuste pour les femmes (nées femmes) ?