La fourmi avec bouclier thermique intégré

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a écrit : En gros ça reflète la chaleur comme un miroir? Ca reflète un peu la lumière, c'est vrai, mais là il s'agit d'évacuer la chaleur environnante que capte la fourmi (l'air) sous forme de rayonnements.
C'est un peu comme nous quand on émet des infrarouges, c'est une partie de notre chaleur interne qui s'évacue ainsi.

a écrit : Et pour ne pas se bruler les pattes, elle court à 648 km/h. C'est rapide ^^. Ah ah ah ! 648 km/hr si on l'amenait à taille humaine.

La deuxième source parle d'une vitesse de 1 m/s, soit 3.6 km/hr, tandis que sur wikipedia, c'est un peu moins avec 0.855 m/s (3.078 km/hr).

On compare souvent les vitesses des insectes rampants avec l'humain en comparant leurs tailles. C'est pour moi un non-sens, l'homme étant en station debout.
Ne serait-ce pas plus pertinent en comparant les enjambées ?

a écrit : Le même principe de fonctionnement est utilisé sur les satellites et la station spatiale (qui génère beaucoup de chaleur mais ne peut pas l’évacuer autrement que par rayonnement). C'est exact, sur les satellites, on se contente de les exposer au soleil qu'une partie du temps (ca chauffe d'un coté, ca refroidit sur l'autre) en les faisant tourner sur eux-mêmes et sur l'ISS il y a des panneaux spéciaux perpendiculaires aux panneaux solaires qui jouent ce rôle. C'est les trucs blancs plats, je me suis demandé pendant longtemps à quoi ca servait avant d'apprendre qu'en orbite terrestre, le Soleil est quatre fois plus "méchant" que dans le Sahara. ^^


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a écrit : En gros ça reflète la chaleur comme un miroir? Ca reflète un peu la lumière, c'est vrai, mais là il s'agit d'évacuer la chaleur environnante que capte la fourmi (l'air) sous forme de rayonnements.
C'est un peu comme nous quand on émet des infrarouges, c'est une partie de notre chaleur interne qui s'évacue ainsi.

Et pour ne pas se bruler les pattes, elle court à 648 km/h. C'est rapide ^^.

a écrit : Et pour ne pas se bruler les pattes, elle court à 648 km/h. C'est rapide ^^. Ah ah ah ! 648 km/hr si on l'amenait à taille humaine.

La deuxième source parle d'une vitesse de 1 m/s, soit 3.6 km/hr, tandis que sur wikipedia, c'est un peu moins avec 0.855 m/s (3.078 km/hr).

On compare souvent les vitesses des insectes rampants avec l'humain en comparant leurs tailles. C'est pour moi un non-sens, l'homme étant en station debout.
Ne serait-ce pas plus pertinent en comparant les enjambées ?

a écrit : Ah ah ah ! 648 km/hr si on l'amenait à taille humaine.

La deuxième source parle d'une vitesse de 1 m/s, soit 3.6 km/hr, tandis que sur wikipedia, c'est un peu moins avec 0.855 m/s (3.078 km/hr).

On compare souvent les vitesses des insectes rampants avec l'humain en comparan
t leurs tailles. C'est pour moi un non-sens, l'homme étant en station debout.
Ne serait-ce pas plus pertinent en comparant les enjambées ?
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Est ce qu'un insecte (6pattes) peut réellement ramper ? Ci-dessous les 2 premières définition du Larousse du verbe ramper :
1. En parlant de certains animaux (reptiles, vers, gastropodes, etc.), progresser par reptation, c'est-à-dire par des mouvements divers du corps qui prend appui par sa face ventrale ou inférieure.

2. Avancer lentement, le ventre au contact du sol et en s'aidant des quatre membres : Fantassins qui rampent vers les lignes ennemies.

Du coup, ramper pour un insecte ne peut pas être lié à la première définition et signifierait qu'il adapte sa façon de se déplacer au contexte (pour être moins repérable par ex) ce qui n'est pas le cas : il est prêt du sol parce qu'il est petit, non ?

Je pose la question parce que j'ai rigolé en lisant "comparer les enjambées" en parlant d'un insecte rampant ...

a écrit : Ah ah ah ! 648 km/hr si on l'amenait à taille humaine.

La deuxième source parle d'une vitesse de 1 m/s, soit 3.6 km/hr, tandis que sur wikipedia, c'est un peu moins avec 0.855 m/s (3.078 km/hr).

On compare souvent les vitesses des insectes rampants avec l'humain en comparan
t leurs tailles. C'est pour moi un non-sens, l'homme étant en station debout.
Ne serait-ce pas plus pertinent en comparant les enjambées ?
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C'est ce que j'ai calculé, avec 47 enjambées par seconde (source 1) et 80 cm par enjambée, ça nous donne :
0,8x47=37,6m/s, soit 135,36km/h...
Ça, c'est de la marche rapide !!!...^^

a écrit : Et pour ne pas se bruler les pattes, elle court à 648 km/h. C'est rapide ^^. Sur les vidéos effectivement, vu leur taille, c'est stupéfiant de vitesse^^

Cela dit, elles ne cavalent pas aussi vite pour ne pas se bruler les pattes, mais pour effectuer leur tâche le plus rapidement possible avant de cuire toute entière, retournent dans leur nid pour se rafraichir et repartent aussitôt.

a écrit : Est ce qu'un insecte (6pattes) peut réellement ramper ? Ci-dessous les 2 premières définition du Larousse du verbe ramper :
1. En parlant de certains animaux (reptiles, vers, gastropodes, etc.), progresser par reptation, c'est-à-dire par des mouvements divers du corps qui prend appui par sa face ventra
le ou inférieure.

2. Avancer lentement, le ventre au contact du sol et en s'aidant des quatre membres : Fantassins qui rampent vers les lignes ennemies.

Du coup, ramper pour un insecte ne peut pas être lié à la première définition et signifierait qu'il adapte sa façon de se déplacer au contexte (pour être moins repérable par ex) ce qui n'est pas le cas : il est prêt du sol parce qu'il est petit, non ?

Je pose la question parce que j'ai rigolé en lisant "comparer les enjambées" en parlant d'un insecte rampant ...
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Je me referais à la pub pour Baygon avec Michel Leeb. C'est dire... ^^

a écrit : C'est ce que j'ai calculé, avec 47 enjambées par seconde (source 1) et 80 cm par enjambée, ça nous donne :
0,8x47=37,6m/s, soit 135,36km/h...
Ça, c'est de la marche rapide !!!...^^
C'est déjà nettement moins que les 648 km/h de la deuxième source ;)

moi, je vois "fourmi argentée"... j'me dis, tiens, les fourmis ont des sous maintenant?

Le même principe de fonctionnement est utilisé sur les satellites et la station spatiale (qui génère beaucoup de chaleur mais ne peut pas l’évacuer autrement que par rayonnement).

a écrit : Le même principe de fonctionnement est utilisé sur les satellites et la station spatiale (qui génère beaucoup de chaleur mais ne peut pas l’évacuer autrement que par rayonnement). C'est exact, sur les satellites, on se contente de les exposer au soleil qu'une partie du temps (ca chauffe d'un coté, ca refroidit sur l'autre) en les faisant tourner sur eux-mêmes et sur l'ISS il y a des panneaux spéciaux perpendiculaires aux panneaux solaires qui jouent ce rôle. C'est les trucs blancs plats, je me suis demandé pendant longtemps à quoi ca servait avant d'apprendre qu'en orbite terrestre, le Soleil est quatre fois plus "méchant" que dans le Sahara. ^^